Long collier en or 18k (750‰) texturé, articulé de maillons oblongs. Monogrammé Van Cleef & Arpels et numéroté B4092R14, Longueur : environ 70 cm - Poids : 23,3 g

Bracelet en maillons de bakélite verte montés sur élastiques. Travail des années 1950. Largeur : environ 5,2 cm

Montre de dame en or 18k (750‰), cadran rond, fond signé OMEGA LADYMATIC, bracelet ruban en or 18k (750‰). Longueur : environ 15,5 cm - Poids brut : 31 g 150 / 300 € Fonctionnement non garanti.

Pendentif en argent centré d’une miniature polychrome sur porcelaine représentant un putto, la monture soulignée d’émail, agrémentée de béryls verts, ornée de pâtes de verre sur paillons roses. Travail de la seconde moitié du XIXe siècle. Hauteur : environ 6,3 cm - Poids brut : 11,6 g

Deux chaînes très fines en or 18k (750‰). Poids : 6,5 g

Médaille astrologique en or 18k (750‰), gravée du signe du lion. Hauteur environ : 2,5 cm - Poids : 1,8 g

Lot de deux broches en or 18k (750‰), l’une ornée d’un saphir rose entouré et épaulé de diamants de taille ancienne, l’autre formant une couronne sertie de rubis et de diamants alternés. Travail français de la fin du XIXe siècle. Dimensions : environ 3,1 cm et 0,9 cm (diamètre) - Poids brut : 3,7 g

Paire de boutons en or 18k (750‰), chacun orné d’un camée trois couches sur agate, sculpté de deux profils à l’Antique. Travail de la fin du XIXe siècle (chocs avec manques de matière). Conservés dans leur écrin. Diamètre : environ 2,3 cm - Poids brut : 16,3 g

Paire de boutons en or 18k (750‰), chacun orné d’un camée sculpté au portrait de Christophe Colomb. Travail daté au revers 1877 (égrisures). Diamètre : environ 2,5 cm - Poids brut : 19,3 g

Bague en deux tons d’or 18k (750‰), ornée d’une améthyste de forme ovale. Porte une signature. Jean Vendôme ? Tour de doigt : 48 - Poids brut : 6,5 g

Paire de boutons de col en or 18k (750‰), l’un serti d’un aureus en or d’Antonin le Pieux, l’autre orné d’un aureus d’Hadrien. Travail de la fin du XIXe siècle. Conservés dans leur écrin, Maison TABURET. Diamètre : environ 2,9 cm - Poids : 22,5 g

Montre de col en or jaune à remontoir, le cadran émaillé à chiffres arabes. Signée BREGUET sur le cadran et portant numéro 1766, un cadran séparé pour les secondes. Fin du XIXe siècle (usure sans garantie d’état de fonctionnement) Dans un écrin doré au petit fer et monogrammé AM. Poids brut : 80,01 g

Montre de poche en or jaune ((750‰)), à double boîtier, le cadran émaillé blanc à chiffres romains. monogrammée (usure, sans garantie d’état de fonctionnement). Poids brut : 74,31 g

Bracelet en or 18k (750‰) articulé de maillons biseautés. Longueur : environ 20 cm - Poids : 14,7 g

Lot de deux bijoux en or 18k (750‰) comprenant une bague ornée d’un camée coquille sculpté du profil d’une jeune fille et un pendentif représentant une balance. Poids brut : 4,7 g

Bracelet en or 18k (750‰), orné de saphirs ovales scandés de paires de diamants ronds 8/8. Longueur : 18,8 g - Poids brut : 8,7 g

Collier de trois rangs de perles de culture en chute, fermoir en or gris 18k (750‰). Longueur : environ 47,5 cm - Poids brut : 74,3 g

Bracelet de cinq rangs de perles de culture, fermoir en or gris 18k (750‰), serti de saphirs ronds cabochons. Dimensions : environ 2,7 x 18 cm - Poids brut : 41 g

Sautoir à transformation composé de perles de culture, scandé de trois fermoirs en or 18k (750‰) et serti d’une ligne de saphirs calibrés entourés de diamants ronds 8/8 (peut se transformer en deux ou trois colliers ; à renfiler). Longueur : environ 72,5 cm - Poids brut : 105,6 g

Bague de cocktail toi et moi en or 18k (750‰) texturé, sertie d’un corail cabochon et d’un lapislazuli cabochon. Tour de doigt : 44 muni d’un anneau réducteur - Poids brut : 11,5 g Spécimen en corallium spp n’est pas soumis à la réglementation française (CE) car corail non prélevé sur les côtes françaises. De ce fait, ce spécimen n’est pas soumis au régime d’interdiction du code de l’environnement français. L’utilisation commerciale de ce spécimen est permise dans l’UE car la matière n’est pas brute mais travaillée sous forme de bijou. En revanche, pour une sortie de l’UE, un CITES de ré-export sera nécessaire, celui-ci étant à la charge du futur acquéreur.