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Lot 94
Paysans dans la cour de la ferme Toile. Restaurations. 39 x 45,5 cm
2 000 € - 3 000 €

Lot 95
Baigneuses près d'un rivage Toile. 40 x 55 cm Signée et datée en bas à gauche : J. Vernet. F. 1779. Au revers du châssis, un cachet de cire rouge, JD. Cadre en bois sculpté et doré d'époque Louis XVI. Célèbre pour ses vues de mer, Joseph Vernet a su assimiler son étude des tableaux de Claude Gellée Le Lorrain et son apprentissage auprès de Pannini puis de Manglard. On rapporte que c'est lors de son arrivée à Marseille que Joseph Vernet ressentit un profond bouleversement devant la mer redoublé ensuite lors d'une tempête en mer avant d'arriver à Rome. C'est à l'occasion de la commande de Louis XV en 1753 que Vernet montra particulièrement la grandeur de son talent : dans la série des Ports de France, il représente dans un souci permanent de vérité les différents aspects urbains de notre littoral (voir les tableaux exposés dans leur quasi totalité à Paris au Musée National de la Marine, dépôt du musée du Louvre). Soucieux de représenter dans ces ports les architectures comme la nature, Vernet se préoccupe aussi d'humaniser ces vues mettant en scène les gens du peuple, marchands et marins dans une activité vivante et fantaisiste. Ce souci est omniprésent dans son oeuvre. Dans les tempêtes et les orages, un homme tente toujours de s'opposer au déchaînement des éléments. Dans un climat plus paisible, notre tableau met ainsi en scène des baigneuses au premier plan tandis qu'à l'arrière plan se déploie un port, dominé par une tour, dans lequel pénètre un grand voilier. Les baigneuses, les rochers comme la tour ronde sont récurrents dans l'art de Vernet. On peut rapprocher notre tableau des Baigneuses signé et daté de 1759 (toile, 66,5 x 82,5 cm) ayant figuré à la vente à Cologne, Lempertz, 17 novembre 2007 : on retrouve des baigneuses semblables dans leur attitude tout comme dans la variété de leur position et la même présence d'une côte rocheuse. Quant à la tour, elle peut être comparée à celle représentée dans le tableau Matin signé et daté de 1780 (toile, 88 x 131 cm) ayant figuré à la vente à New York, Sotheby's, 15 janvier 1993, sous le n° 63. Vendu en collaboration avec l'Hôtel des Ventes du Boischaut, 18200 Saint-Amand-Montrond.
30 000 € - 40 000 €
Adjugé : 50 000 €

Lot 96
Portrait présumé de Madame de Pompadour Pastel sur papier beige, ovale. 30 x 24 cm Signé en bas à gauche : Peinte par Delatour. Provenance : Marquise de Ganay, 1908 Exposition : Exposition de cent pastels du XVIIIe siècle, Galerie Georges Petit, Paris, 18 mai - 10 juin 1908, n° 51. Bibliographie : - A. Besnard et Georges Wildenstein, La Tour, Paris, 1928, n° 402, repr. fig. 94. - X. Salmon, Quentin de La Tour : le voleur d'âme, cat. exp., musée national du château de Versailles et de Trianon, Versailles, 2004, p. 152. - N. Jeffarès, Dictionary of pastellists before 1800, Londres, 2006, p. 301 (repr.). Formé à la peinture dans l'atelier du peintre Jean-Jacques Spoëde, Maurice Quentin de la Tour se forme seul à l'art du pastel. Agréé à l'Académie royale en 1737, il est reçu comme peintre de portraits au pastel en 1746 avec le Portrait de Restout, peintre (pastel, Paris, musée du Louvre). Il participe alors aux expositions du Louvre. En 1743, il commence sa galerie de portraits officiels, parmi lesquels figure le célèbre Portrait de Honoré-Armand, duc de Villars (pastel, 95 x 76 cm, Aix-en-Provence, musée Granet). Nommé conseiller de l'Académie Royale en 1750, il montre au Salon de 1755 le grand portrait, Portrait de Madame de Pompadour, aujourd'hui au Louvre. C'est en rapport avec cette oeuvre qu'il faut considérer notre préparation : publiée dernièrement par Neil Jeffarès comme le portrait de Madame de Pompadour, notre étude reparaît après un siècle d'absence.
30 000 € - 40 000 €
Adjugé : 40 000 €

Lot 97
« Oiseau sur fond de X » Lithographie en couleurs. Porte une dédicace, signée et datée 1962 en bas à droite. 27 x 22 cm Référence VALLIER N° 122 Cette lithographie est citée dans l'ouvrage « Braque lithographie » 1958 A servi à la revue XXe siècle N°11 de NOËL 1958.
1 000 € - 2 000 €

Lot 98
Course de trot attelé Huile sur toile, signée en bas à gauche. 53 x 65 cm
800 € - 1 200 €
Adjugé : 1 100 €
Lot 99
Le saut de l'obstacle Huile sur toile, signée en bas au milieu. 73 x 59,5 cm
800 € - 1 200 €
Adjugé : 1 300 €

Lot 100
Hommage à Morandi, nature morte au broc Métal émaillé compressé sur panneau, signé et daté "74" et situé "Nice" en bas à droite. 69 x 59,5 cm
8 000 € - 12 000 €

Lot 101
Roses et Tangras, 1917 Huile sur toile marouflée sur panneau, signée en bas à droite. 37 x 56,5 cm Bibliographie : Xavier TRICOT, « James ENSOR, catalogue raisonné des peintures » tome II, N° 482, décrit et reproduit.
25 000 € - 30 000 €
Adjugé : 90 000 €

Lot 102
Souvenirs des marais de Sin Huile sur toile, signée en bas à droite. 39 x 31 cm Bibliographie : Deuxième supplément à "L'oeuvre de Corot" par Alfred Robaut, par Jean Dieterle et André Schoeller, éditions "Quatre chemins Editart", Paris, 1956, sous le n° 96. Provenance : Exécutée par Corot pour Madame Ollagnier, Collection Ollagnier, Paris, 1942 Un courrier de Martin Dieterle et Claire Lebeau, en date du 17 décembre 2007, confirmant l'authenticité de ce tableau sera remis à l'acquéreur.
50 000 € - 60 000 €
Adjugé : 50 000 €

Lot 103
Bords de Seine Huile sur toile, signée en bas à droite. 73 x 92 cm Une attestation du Wildenstein Institute en date du 19 février 2008 sera remise à l'acquéreur. Né en 1876 à Paris, Maurice de Vlaminck commence à peindre sur les bords de la Seine dès l'âge de 17 ans et à partir de 1900 avec André DERAIN, rencontré dans le train de Chatou à Paris, hasard décisif pour les deux artistes. A partir de 1907 et après le choc d'une exposition Cézanne, Maurice de Vlaminck tempère sa palette et ordonne ses compositions, imbriquant les volumes et synthétisant les formes. Maïthé Vallès-Bled, en introduction à l'exposition "Vlaminck, un instinct fauve" actuellement au Musée du Luxembourg à Paris écrit "On observe (...) à cette période une difficulté à renoncer à la couleur, vers laquelle il ne cesse de revenir. Une palette plus modérée côtoie alors des fulgurances chromatiques, de la même manière qu'une structuration des formes, un traitement de l'espace par facettes coexistent avec des paysages aux tendances plus naturalistes, vers lesquels il se tournera au lendemain de la guerre". Dans ?Les bords de Seine? ici présenté, la construction s'articule autour de lignes horizontales - les berges, les maisons, l'eau - que viennent scander les arbres encadrant la composition. Vlaminck joue de contrastes entre les différents plans: aux vif orangé et rouge du premier plan, il oppose les couleurs plus sourdes, apaisées du ciel et du fleuve. Faute de moyens pour voyager, c'est exclusivement ce périmètre, situé à l'ouest de Paris, qui offre à Maurice de Vlaminck matière à ses expériences esthétiques. Ces paysages de bords de Seine voient le motif devenir en réalité un prétexte, l'expression par la couleur et l'acte de peindre s'avérant être l'unique objet du tableau. Maurice de Vlaminck restera fidèle aux motifs de la Vallée de la Seine jusqu'à sa mobilisation pour la première guerre en 1914-1915. Provenance : - Galerie Louis Manteau, Bruxelles. - Collection particulière, Paris. (acquis à la galerie Manteau à Bruxelles dans les années 50).
120 000 € - 150 000 €
Adjugé : 135 000 €

Lot 104
Le berger et son troupeau Huile sur panneau, signée et portant une trace de dédicace grattée en bas à gauche. 42 x 72 cm Bibliographie : A. Burdin Hellebranth "Felix Ziem" T.II décrit et reproduit N° 1427 p 190.
6 000 € - 8 000 €
Adjugé : 8 000 €

Lot 105
Thésée combattant le centaure Bienor (2ème réduction). Epreuve en bronze patiné, signée, porte le cachet or "collection F. Barbedienne Paris", annotée F Barbedienne Fondeur Paris. Hauteur : 75 cm - Longueur : 54 cm (terrasse). Bibliographie : - S. Pivar " The Barye Bronzes catalogue raisonné" 1974, voir F 21, - M.Poletti, A.Richarme "Barye catalogue raisonné des sculptures" Gallimard, Paris 2000, notice F 34.
12 000 € - 15 000 €
Adjugé : 9 800 €

Lot 106
Buste en bronze à patine brune, le visage en argent. Il représente une jeune femme orientale. Le socle de forme ovale en pierre dure. Signé L. Savine. Porte le cachet du fondeur avec le N° 2. France, vers 1900. Hauteur : 21 cm - Largeur : 21,5 cm - Profondeur : 13 cm L. Savine est cité dans l'ouvrage « Paris Salons » Volume V, page 478 avec la représentation d'un vase.
600 € - 1 000 €
Adjugé : 700 €

Lot 107
Petite aiguière en verre de couleur vert émaillé polychrome. (éclat au bec). Turquie fin du XIXe, début du XXe siècle. Hauteur : 16,5 cm
300 € - 400 €

Lot 108
Aiguière en verre vert pâle gravé et émaillé polychrome. Turquie, XIXe siècle. Eclat au bec. Hauteur : 22,5 cm
300 € - 400 €

Lot 109
Mobilier de salon en bois de cèdre tourné et incrusté de nacre. Il est composé d'une banquette à étagère incorporée, quatre chaises et deux petites banquettes Banquette : Hauteur : 125 cm - Largeur : 171 cm - Profondeur : 46,5 cm Chaises : Hauteur : 100 cm - Largeur : 41 cm - Profondeur : 40 cm Deux banquettes : Hauteur : 60 cm - Largeur : 79 cm - Profondeur : 45,5 cm Accidents. Ce mobilier de salon a été conçu et fabriqué au Caire vers 1896 sous la direction du grand-père de notre vendeur.
4 000 € - 5 000 €
Adjugé : 4 000 €
Lot 110
Sans description
Sans estimations
Adjugé : 1 500 €

Lot 111
« Scène de rue » (Maroc) Huile sur toile. Signée en bas à droite. 55 x 38 cm Peintre d'origine espagnole, il débute dans l'atelier de Sorola, poursuit sa formation à Madrid puis se rend à Paris et entre dans l'atelier de Roybet. Il voyage au Maroc et en Algérie à partir de 1905 et peindra le plafond de l'Opéra d'Oran.
10 000 € - 12 000 €
Lot 112
« Ruelle dans la Médina » Deux huiles sur toile pouvant former pendant. Signées en bas à droite. 55,5 x 37,5 cm et 55 x 38 cm
500 € - 800 €

Lot 113
« Femmes nues noires à la couverture » Gouache sur papier cartonné, crème rehaussé de poussières or. Signée en bas à gauche J. majorelle et située Marrakech. 50 x 63,5 cm Bibliographie : Félix Marcilhac, « Jacques Majorelle, un peintre du Maroc » ACR édition internationale, Paris Courbevoie, composition similaire provenant de la collection Benjelloun référencée et reproduite p 181. Ce chef-d'oeuvre évoque la beauté noire dite sauvage.
120 000 € - 150 000 €
Adjugé : 190 000 €