DUPLESSIS - BERTAUX, attribué à Cavalier et cheval s’abreuvant Huile sur toile (rentoilée). 24,5 x 29,5 cm

Ecole du début du XIXe siècle Pont sur fond de village fortifié Huile sur panneau. (verni chanci) 32,5 x 39,5 cm

Ecole du début du XVIIIe siècle La Montespan en Marie-Madeleine pénitente Gouache sur vélin ovale (petite déchirure). 24 x 31 cm

École rhénane (Cologne ?) vers 1530 Adam et Eve (panneaux extérieurs) saint Pierre et un donateur et quatre enfants ; sainte Marthe et une donatrice et trois enfants Deux volets extérieurs de triptyque (restaurations anciennes). Dimensions hors tout : Hauteur : 106 cm - Largeur : 38 cm Nous remercions Monsieur Christian HECK, de son aide à la description de ces tableaux, à partir de photos numériques

TENIERS, dans le goût de Scène de taverne Huile sur toile (rentoilée). 38 x 29 cm

Ecole flamande dans le style du XVIIe siècle Les joueurs de cartes Huile sur panneau (restauration, transposée sur un panneau). 18 x 34 cm

Charles KUWASSEG fils (1833-1904) Personnages au bord de la falaise par temps d’orage Huile sur toile, signée en bas à gauche avec dédicace à son ami le docteur Bernardin et datée 1861. 46 x 55 cm

John Lewis BROWN (1829-1890) Homme en habit rouge à cheval Huile sur toile, signée en bas à droite (reprise à la signature). 37 x 45 cm

Louis CARRIER-BELLEUSE (1848-1913) Fillette au bouquet de muguet Huile sur toile, signée en bas à droite Louis Carrier Belleuse et datée 75. (sans cadre) 146 x 75 cm

G. GOSTIAUX (1838- ?) Le jugement dernier et les trompettes de l’Apocalypse Projet de plafond. Dessin, signé en bas à gauche (petites déchirures, pliures, rousseurs). 31 x 47 cm

Antonio SENAPE (1788-1850) Place animée de personnages dans la baie de Naples Plume et encre de Chine sur papier. Dimensions à vue : 24 x 64 cm

Antonio SENAPE (1788-1850) Temple de Vénus à Baja-Naples, Italie Plume et encre de Chine sur papier. Dimensions à vue : 23 x 33 cm

Antonio SENAPE (1788-1850) Le palais Chiatamone, vue de la place de la Victoire à Naples animée de calèches et nombreux personnages sur la place Plume et encre de Chine sur papier. Dimensions à vue : 23 x 32,5 cm

Frederick CRUICKSHANK (Angleterre, 1800-1868) Portrait miniature ovale, non signé, représentant une jeune femme en buste de trois-quarts à droite, la tête tournée à gauche, en robe blanche et veste rouge, sur fond de ciel bleu, cerclée de bronze doré, dans un cadre rectangulaire en bois noirci. Vers 1840. Au dos l’étiquette d’origine du miniaturiste inscrite F. Cruickshank /4Jermyn Street, légendée postérieurement vient de chez Schidlof, antiquaire, achetée en 1941. Miniature : Hauteur : 10 cm - Largeur : 8,5 cm Provenance : Léo R. SCHIDLOF (1886-1966). Achetée en 1941, puis collection privée.

Cécile VILLENEUVE (Paris, 1824-1901) Portrait miniature ovale, signé Cécile Villeneuve à gauche, d’Adélaïde des ROYS (1861-1937), âgée de 3 ans. Portrait identifié à l’intérieur : Adélaïde des Roys, Paris, 1864. Dans son cadre d’origine ovale en or double face, avec armoiries sous verre au revers peintes à l’or et à la gouache sur soie. Hauteur : 3,5 cm - Largeur : 4,4 cm Jeanne Nathalie Adélaïde des ROYS (d’ESCHANDELYS) est née le 11 novembre 1861 à Paris Ier et décédée le 17 décembre 1937 à Laneuvevilledevant- Nancy (Meurthe-et-Moselle). Elle est la fille d’Ernest Gabriel des ROYS (D’ESCHANDELYS), marquis des ROYS (1836-1903) et Marie Jeannette Mathilde PARENT. Elle épouse, le 28 février 1885 à Paris VIIe et le 2 mars 1885 en l’église Saint-Pierre-du-Gros-Caillou, Paris VIIe, le comte Robert Jean Marie Gaspard O’GORMAN, né le 12 novembre 1859 à Nancy (Meurthe-et-Moselle), dont elle divorce le 10 février 1920 par décision du tribunal civil de Nancy. Il est le fils de Ferdinand ALFRED (1825-1900) et Marguerite Alix d’HOFFELIZE (1834-1913). Ils ont une fille Ethne Gabrielle Marie Odile, née le 19 juillet 1896 à Laneuveville-devant-Nancy, qui épouse, le 18 octobre 1919 à la mairie de Paris Ier, Gustave Emile OUDINOT, né le 28 avril 1893 à Paris Ier, décédé le 1er décembre 1960 à Paris Xe, et dont elle divorce le 11 octobre 1938. Descendance chez son frère Jacques qui épouse, en 1901, Marie Charlotte Yvonne de ROBIN de BARBENTANE. C’est lui qui fait part, avec ses fils François et Jean, lors de son décès. Nom éteint en 2009 avec Etienne des ROYS, né le 31 mai 1935 à Paris XVIe, et décédé le 19 décembre 2009.

Cécile VILLENEUVE (Paris, 1824-1901) Portrait miniature rond, signé en bas à droite Cécile Villeneuve, de Marie Thérèse Marthe Charlotte Eudoxie HUTTEAU d’ORIGNY (1871-1963) âgée de 4 ans. Inscription au dos de la miniature : Marie Thérèse d’Origny, Paris, 1875. Incrustée sur le couvercle d’une boîte ronde en écaille brune, doublée et montée en or. Paris, 1809-1819. Diamètre : 5 cm Boîte : Hauteur : 2,5 cm - Diamètre : 6,8 cm - Poids brut : 72,48 g Marie Thérèse Marthe Charlotte Eudoxie HUTTEAU D’ORIGNY, née le 5 avril 1871 à Vernantes (49), décédée 2 avril 1963 à Paris VIe, fille d’Antoine HUTTEAU, vicomte d’ORIGNY, et Marie Thérèse Hyacinthe MAILLÉ de La TOUR LANDRY. Elle épouse le 18 mars 1892 à Paris VIIIe, et le lendemain en l’église Saint-Pierre-de-Chaillot à Paris XVIe, Léon de MAZENOD, capitaine de vaisseau, officier LH, né le 23 septembre 1948 à Saint-Vrain (91), décédé le 18 avril 1934 à Paris VIIe, fils d’Henri de MAZENOD et d’Esther SOIZEAU SAINT-MARTIN. Dont 3 filles, l’aînée Juliette (1893-1972), seule avec alliance, épouse, en 1924, Gaston, comte de GOUSSENCOURT (1875-1944), dont descendance.

Antoine BOREL (Pesmes, 1777-Besançon, 1838) Portrait miniature rond, signé et daté en bas à droite Borel. 1818, d’Adèle Le BAS de GIRANGY (1796-) âgée de 22 ans. Dans un cadre rectangulaire en bois noirci, à vue ronde cerclée de laiton doré. Diamètre : 6,5 cm Marie Xavière Adèle Le BAS de GIRANGY, née le 14 novembre 1796 à Hanovre (Allemagne) et décédée le 16 janvier 1857 à Dôle (Jura), fille de Charles Le BAS de GIRANGY (1760-1831) et de Victoire BOQUET de COURBOUZON (1774-1866). Elle épouse, le 26 novembre 1817 à Courbouzon (Jura), Paul Eugène GARNIER de FALLETANS, officier de la maison du roi CHARLES X, chevalier de Malte, né le 16 mai 1785 à Dôle (Jura) et décédé le 27 juillet 1862 à Dôle. Dont trois filles : Philippine Octavie (1818-1849), sans alliance, Eugénie (1823-1906), comtesse O’MAHONY, dont descendance jusqu’à ce jour, et Mélanie (1825-1899), sans alliance. Son petit-fils Maurice, comte O’MAHONY (1849-1920), est l’auteur du texte au dos de la miniature.

Joseph PARENT (Naples, c. 1780-Paris, 1837) Miniaturiste, peut-être élève d’ISABEY, exposa au Salon de Paris en 1822, 1824 et 1833. Portrait miniature ovale, signé en bas à gauche J. Parent, de Louise Joséphine MÉLITE de SALPERWICK (1799-1821). Incrustée sur le couvercle d’une boîte ronde en écaille brune dans une monture en or. Hauteur : 7,5 cm - Largeur : 5,7 cm Boîte : Hauteur : 2 cm - Diamètre : 8,5 cm - Poids brut : 107,51 g Louise Joséphine MÉLITE de SALPERWICK (Celle, 1799-Versailles, 1821), fille d’Eugène, marquis de SALPERWICK et de GRIGNY (1765-1851) et d’Antoinette de VIDARD de SAINT CLAIR (1769-1803). Elle épouse, le 28 avril 1819 à Versailles, Marie Amable CADIER, baron de VEAUCE (1786-1834), chef d’escadron à l’état-major de la garde nationale de Paris, chevalier de l’ordre royal de la Légion d’honneur, fils d’André CADIER, baron de VEAUCE (1749-1794) et de Bénigne PERROTIN de BARMOND (1762-1791). Dont deux enfants, Charles (1820-1884) et Marie Agathe (1821-1837). Descendance dans les familles de CADIER de VEAUCE, CHAMPAGNE, de CHASTENET de PUYSÉGUR, MARTY, THOUANEL, etc. (la famille de SALPERWICK est aujourd’hui éteinte). Provenance : Achat à la galerie JAEGY-THEOLEYRE en 2015.

Savinien Edmé DUBOURJAL (Paris, 1795-1853), élève de GIRODET Portrait miniature ovale, signé et daté en bas à droite Dubourjal 1837, de Raymond Philippe d’AGOULT (1824-1888), sous un verre convexe. Dans son cadre d’origine en bois précieux cerclé de bronze ciselé et doré. Hauteur : 6,5 cm - Largeur : 5,3 cm Cadre : Hauteur : 17,5 cm - Largeur : 13,5 cm Raymond, vicomte d’AGOULT, fils d’Alphonse Charles, comte d’AGOULT (1784-1864), lieutenant des gardes du corps du roi, colonel de cavalerie, et d’Elisabeth Stéphanie DESCHAMPS de La VARENNE, colonel au 1er régiment de hussards, était commandeur de la Légion d’honneur (1882). Né le 10 octobre 1824 à Montluçon (Allier), décédé le 24 mai 1888 au château de La Varenne à Sauvagny (Allier), il épousa, le 25 mars 1851, à Paris, Louise Françoise Eulalie GUIGNES de MORETON de CHABRILLAN, née le 22 octobre 1827 à Saint-Vallier (Drôme), décédée le 23 mars 1894 à Paris VIIIe, fille d’Alfred GUIGNES de MORETON, marquis de CHABRILLAN (1800-1871) et de Pauline de La CROIX de CHEVRIÈRES (1803-1859). De ce mariage, naquirent deux enfants, morts jeunes, sans alliance.

Michel Jean Maximilien VILLERS (Saint Martin du Parc, 1769-Paris, 1839), attribué à Portrait miniature ovale, non signé, d’Anne Suzanne TASSIN de VILLEPION (1761-1801). Dans un cadre en velours cramoisi, inscrit « Suzanne de Barante / née Tassin de Vilpion », incrusté de cheveux tressés sous verre, cerclages en bronze doré. Hauteur : 4,4 cm - Largeur : 3,5 cm Cadre : Hauteur : 16,5 cm - Largeur : 12,5 cm Fille de Prosper Guillaume TASSIN de VILLEPION (1733-1803) et Anne Suzanne Le CLERC de DOUŸ (1743-1825), elle est née le 21 mars 1761 à Orléans (Loiret) et décédée le 29 juillet 1801 à Carcassonne (Aude). Elle épouse, le 11 mars 1780 à la paroisse Saint-Eustache à Paris, Claude Ignace BRUGIÈRE, premier baron de BARANTE (14 février 1810), né le 10 décembre 1755 à Riom (Puy-de-Dôme) et décédé le 20 mai 1814 au château de Barante, Dorat (Puy-de-Dôme). Issu d’une famille noble janséniste, le baron de BARANTE se destinait à une carrière judiciaire. La Révolution bouscula ses projets. S’il accueillit favorablement les idées de 1789, il en blâma rapidement les excès. Son ancien rang le rendait suspect. Emprisonné durant cinq mois, il fut libéré au lendemain de la victoire de Fleurus et se retira de la vie publique, attendant selon ses écrits la venue d’un sage législateur. En effet, les troubles révolutionnaires apaisés, il accéda, grâce à l’appui du troisième consul LEBRUN, à une charge publique à laquelle il n’était guère préparé : il devint le premier préfet de l’Aude avec pour recommandation de restaurer l’ordre, tout en respectant les traditions du pays. Dès son arrivée à Carcassonne, il s’attacha, d’une part, à reconstituer l’administration départementale fortement amoindrie par les démissions et révocations successives, d’autre part, à faire l’inventaire des richesses et des potentiels des cantons qui avaient vécu diverses délimitations territoriales. Il s’engagea alors dans un travail que son successeur mena à son terme. On lui doit deux ouvrages sur le département, les Observations sur le département de l’Aude et un Essai sur le département. Son départ est consécutif à un affrontement avec les élus au sujet de l’installation de l’évêque concordataire. L’opinion publique carcassonnaise qui semble avoir été favorable au clergé constitutionnel, obtint son déplacement. Promu à Genève, BARANTE va tomber peu à peu en disgrâce, le pouvoir lui reprochant ses relations amicales avec NECKER et Madame de STAËL (Les Audois, dictionnaire biographique sous la direction de Rémy CAZALS et Daniel FABRE & Archives de l’Aude). Ils eurent neuf enfants, dont descendance jusqu’à ce jour dans les familles LEFÈVRE d’ORMESSON (Jean, Olivier…), de NERVO, Lemaignen, de BRUCE, CHODRON de COURCEL, etc.