
Vente judiciaire MOA

18 novembre2015
Heure15:00
LieuHÔTEL DES VENTES - 9 RUE DROUOT - PARIS - SALLE 9

UNE GRANDE COLLECTION III.
TABLEAU ANCIEN
TABLEAUX MODERNES
IMPORTANTES PIERRES PRÉCIEUSES
MONTRES ANCIENNES
ORFÈVRERIE XVIE XVIIE ET XVIIIE SIÈCLES
HAUTE EPOQUE
ARCHEOLOGIE
OBJETS D’ART ET DE TRÈS BEL AMEUBLEMENT
TAPISSERIES DU XVIE SIÈCLE
Exposition

Lot 55
Pendentif en or gris (750) orné d’un diamant taillé en brillant.
Poids : 1,91 ct
Accompagné d’un certificat du laboratoire LFG (2015) indiquant : couleur G - Pureté VS1 - Fluorescence aucune.
Poids brut : 1,25 g
5 000 € - 8 000 €

Lot 56
Diamant taillé en poire.
Poids : 5,95 ct
Accompagné d’un certificat du laboratoire GIA (2015) indiquant : couleur D - Pureté IF - Fluorescence aucune.
150 000 € - 250 000 €

Lot 57
Émeraude rectangulaire à pans.
Poids : 3,69 ct
Accompagnée d’un certificat du laboratoire SSEF (2015) indiquant : origine Colombie, présence modérée de résine dans les fissures.
6 000 € - 10 000 €

Lot 58
Deux émeraudes piriformes formant appairage, les montures en argent (supérieur à 800/000).
Poids : environ 3,5 et 3,4 ct
Accompagnées d’un certificat du laboratoire SSEF (2015) indiquant : origine Colombie, présence modérée d’huile dans les fissures.
Poids brut : 2,28 g
6 000 € - 10 000 €

Lot 59
Saphir ovale dans un chaton en argent (supérieur à 800/000).
Poids : 14,29 ct
Accompagné d’un certificat du laboratoire SSEF (2015) indiquant : origine Ceylan (Sri Lanka), pas d’indication de modification thermique.
Poids brut : 4,19 g
15 000 € - 25 000 €

Lot 60
Montre de carrosse en vermeil à répétition des quarts et sonnerie réveil sur timbre, le cadran également en vermeil à chiffres romains pour les heures, arabes pour les minutes actionnées par un cordon, au centre un disque mobile pour la sonnerie réveil, l’échappement à verge, le mécanisme à coq à talon, comme les pilastres finement ciselés d’enroulements feuillagés, têtes de dauphin et d’un mascaron, les aiguilles en acier bleui forgé, le boîtier entièrement ciselé au repercé de rinceaux feuillagés entrecoupés de rocaille présentant en ronde bosse « Hercule assis », tenant sa masse au pied d’une cascade et d’arcatures.
Mécanisme signé Augustin Metzken, Sarau.
Exécutée vers 1730.
Diamètre : 10,3 cm - Poids brut : 911,14 g
Provenance :
Galerie Bernard De Leye.
15 000 € - 25 000 €

Lot 61
Montre de poche en or jaune entièrement émaillée polychrome, au fond de Vénus et Adonis, à l’intérieur, d’un personnage près d’une cascade, sur le pourtour de médaillons à décor de paysages lacustres, l’un « Huaud le puisné fecit », le cadran à couronne émaillée de chiffres romains, au centre, de Vénus et d’un Amour. La tige et la bélière également émaillées de fleurs. L’échappement à verge, le mécanisme à coq gravé d’un mascaron (petits accidents et restauration).
Signée J.Jones London 2361.
Vers 1720.
Diamètre : 3,8 cm - Poids brut : 49,31 g
Les Huaud
Famille très connue pour sa production importante et de grande qualité à cette époque. Ils descendent d’une famille d’orfèvres de Châtellerault et ont émigré vers Genève.
Le père, Pierre Huaud I (1612-1680) :
Protestant, il émigra et s’installa à Genève vers 1630. Il finit son apprentissage d’orfèvre avec Laurent Légaré en 1634 et peu de temps après devint maître orfèvre. Par la suite, il devint apprenti émailleur en 1661 chez Jean André et communiqua sa passion à ses trois fils qui devinrent peintres émailleurs également.
Pierre II (1647- circa 1698) :
Apprenti chez son père en 1685/86, il alla à Berlin travailler au service de l’électeur de Brandebourg ; après un bref séjour, il retourne à Genève en 1686 et en Allemagne en 1689 et fut nommé peintre miniaturiste du roi Frédéric I.
Jean-Pierre (1655-1723) et son frère Ami (1657-1724) :
Travaillèrent ensemble de 1682 à 1688, ils furent comme leur frère aîné, peintres émailleurs à la cour de l’Électeur de Brandebourg en 1686 et allèrent par la suite à Berlin où ils travaillèrent jusqu’en 1700. Ils revinrent à Genève. Bien qu’ils fissent de nombreux ouvrages en association, il leur arrive de travailler seul. Leur travail était très recherché par les horlogers dans toute l’Europe, qui commandaient un boîtier puis ensuite réalisaient un mouvement qu’ils y inséraient. En 1675 quand les mouvements anciens devinrent obsolètes, leurs réalisations étaient si appréciées que leurs propriétaires changeaient les mécanismes et gardaient le boîtier.
10 000 € - 15 000 €

Lot 62
Montre de poche en or jaune entièrement émaillée polychrome, au fond de Vénus et Adonis, à l’intérieur, d’un personnage auprès d’un édifice, sur le pourtour de médaillons à décor de paysages lacustres, l’un « Les deux frères Huaud pintre de son A.E de B à Berlin », le cadran à couronne émaillée de chiffres romains pour les heures, arabes pour les minutes, l’orifice de remontage à 16h30. L’échappement à verge, le mécanisme à coq (petits accidents et restauration).
Signée Johan Martin Hovr N° 1122 Augsburg.
Vers 1700.
Diamètre : 3,6 cm - Poids brut : 46,62 g
Son boîtier de protection en métal doré.
Les Huaud
Famille très connue pour sa production importante et de grande qualité à cette époque. Ils descendent d’une famille d’orfèvres de Châtellerault et ont émigré vers Genève.
Le père, Pierre Huaud I (1612-1680) :
Protestant, il émigra et s’installa à Genève vers 1630. Il finit son apprentissage d’orfèvre avec Laurent Légaré en 1634 et peu de temps après devint maître orfèvre. Par la suite, il devint apprenti émailleur en 1661 chez Jean André et communiqua sa passion à ses trois fils qui devinrent peintres émailleurs également.
Pierre II (1647- circa 1698) :
Apprenti chez son père en 1685/86, il alla à Berlin travailler au service de l’électeur de Brandebourg ; après un bref séjour, il retourne à Genève en 1686 et en Allemagne en 1689 et fut nommé peintre miniaturiste du roi Frédéric I.
Jean-Pierre (1655-1723) et son frère Ami (1657-1724) :
Travaillèrent ensemble de 1682 à 1688, ils furent comme leur frère aîné, peintres émailleurs à la cour de l’Électeur de Brandebourg en 1686 et allèrent par la suite à Berlin où ils travaillèrent jusqu’en 1700. Ils revinrent à Genève. Bien qu’ils fissent de nombreux ouvrages en association, il leur arrive de travailler seul. Leur travail était très recherché par les horlogers dans toute l’Europe, qui commandaient un boîtier puis ensuite réalisaient un mouvement qu’ils y inséraient. En 1675 quand les mouvements anciens devinrent obsolètes, leurs réalisations étaient si appréciées que leurs propriétaires changeaient les mécanismes et gardaient le boîtier.
10 000 € - 15 000 €

Lot 63
Montre de poche en or jaune entièrement émaillée polychrome, au fond de l’Amour présentant un miroir à Minerve, à l’intérieur, d’un personnage auprès d’un édifice, sur le pourtour de médaillons à décor de paysages lacustres, l’un « Les deux frères Huaud pintre de son A.E de B à Berlin », le cadran à chiffres romains pour les heures, arabes pour les minutes, l’orifice de remontage à 15h30. L’échappement à verge, le mécanisme probablement postérieur à coq (petits accidents et restauration).
Signée Jaq Broche à Berlin.
Vers 1720.
Diamètre : 3,6 cm - Poids brut : 44,76 g
Les Huaud
Famille très connue pour sa production importante et de grande qualité à cette époque. Ils descendent d’une famille d’orfèvres de Châtellerault et ont émigré vers Genève.
Le père, Pierre Huaud I (1612-1680) :
Protestant, il émigra et s’installa à Genève vers 1630. Il finit son apprentissage d’orfèvre avec Laurent Légaré en 1634 et peu de temps après devint maître orfèvre. Par la suite, il devint apprenti émailleur en 1661 chez Jean André et communiqua sa passion à ses trois fils qui devinrent peintres émailleurs également.
Pierre II (1647- circa 1698) :
Apprenti chez son père en 1685/86, il alla à Berlin travailler au service de l’électeur de Brandebourg ; après un bref séjour, il retourne à Genève en 1686 et en Allemagne en 1689 et fut nommé peintre miniaturiste du roi Frédéric I.
Jean-Pierre (1655-1723) et son frère Ami (1657-1724) :
Travaillèrent ensemble de 1682 à 1688, ils furent comme leur frère aîné, peintres émailleurs à la cour de l’Électeur de Brandebourg en 1686 et allèrent par la suite à Berlin où ils travaillèrent jusqu’en 1700. Ils revinrent à Genève. Bien qu’ils fissent de nombreux ouvrages en association, il leur arrive de travailler seul. Leur travail était très recherché par les horlogers dans toute l’Europe, qui commandaient un boîtier puis ensuite réalisaient un mouvement qu’ils y inséraient. En 1675 quand les mouvements anciens devinrent obsolètes, leurs réalisations étaient si appréciées que leurs propriétaires changeaient les mécanismes et gardaient le boîtier.
10 000 € - 15 000 €

Lot 64
Montre de poche en or jaune entièrement émaillée polychrome, au fond de « La Charité romaine », à l’intérieur, d’un personnage auprès d’un d’édifice, sur le pourtour de médaillons à décor de paysages lacustres, l’un « Huaud le puisné fecit », le cadran à couronne émaillée de chiffres romains pour les heures, arabes pour les minutes, l’orifice de remontage à 15h30. L’échappement à verge, le mécanisme à coq (petits accidents et restauration).
Signée Hoendschker Dresden.
Vers 1730.
Diamètre : 3,8 cm - Poids brut : 51,27 g
Son boîtier de protection en métal doré.
Les Huaud
Famille très connue pour sa production importante et de grande qualité à cette époque. Ils descendent d’une famille d’orfèvres de Châtellerault et ont émigré vers Genève.
Le père, Pierre Huaud I (1612-1680) :
Protestant, il émigra et s’installa à Genève vers 1630. Il finit son apprentissage d’orfèvre avec Laurent Légaré en 1634 et peu de temps après devint maître orfèvre. Par la suite, il devint apprenti émailleur en 1661 chez Jean André et communiqua sa passion à ses trois fils qui devinrent peintres émailleurs également.
Pierre II (1647- circa 1698) :
Apprenti chez son père en 1685/86, il alla à Berlin travailler au service de l’électeur de Brandebourg ; après un bref séjour, il retourne à Genève en 1686 et en Allemagne en 1689 et fut nommé peintre miniaturiste du roi Frédéric I.
Jean-Pierre (1655-1723) et son frère Ami (1657-1724) :
Travaillèrent ensemble de 1682 à 1688, ils furent comme leur frère aîné, peintres émailleurs à la cour de l’Électeur de Brandebourg en 1686 et allèrent par la suite à Berlin où ils travaillèrent jusqu’en 1700. Ils revinrent à Genève. Bien qu’ils fissent de nombreux ouvrages en association, il leur arrive de travailler seul. Leur travail était très recherché par les horlogers dans toute l’Europe, qui commandaient un boîtier puis ensuite réalisaient un mouvement qu’ils y inséraient. En 1675 quand les mouvements anciens devinrent obsolètes, leurs réalisations étaient si appréciées que leurs propriétaires changeaient les mécanismes et gardaient le boîtier.
10 000 € - 15 000 €

Lot 65
Montre de gousset savonnette Régulateur à tact en or jaune (750) guilloché accompagnée de sa chaîne double et de sa clef, le cadran en argent (supérieur à 800/000) satiné à deux compteurs pour les heures ou les 30 secondes, l’aiguille des minutes centrale, le réglage de l’avance sur la bordure les 30 secondes, le fond appliqué et parcouru par une aiguille « serpent » centrale.
Couvercle, cadran et fond signés Bréguet 4720.
Dans son écrin rectangulaire en maroquin rouge timbré au numéro.
Diamètre : 4,4 cm - Poids brut : 71,42 g - Avec son certificat
20 000 € - 25 000 €

Lot 66
Montre de poche en or jaune (750) guilloché, répétition des quarts actionnée par un poussoir à armement de la répétition à 1h30 sur la carrure, le cadran en argent (supérieur à 800/000) quadrillé à couronne unie et chiffres romains, la trotteuse des secondes excentrée à 5 heures, les aiguilles en acier bleui, échappement à cylindre et rubis avec système pare-chute.
Cadran, couvercle et fond signés Bréguet 3444.
Diamètre : 5,5 cm - Poids brut : 130,60 g - Avec son certificat
15 000 € - 20 000 €

Lot 67
Montre de poche en ors de couleurs 18 ct (750), exécutée pour le marché turc, à répétition des quarts sur timbre ou à toc, placée dans un double boîtier, le premier ciselé en ronde bosse des attributs de la Guerre et d’un turban empanaché, les encadrements, de guirlandes de fleurs, le second au pourtour finement ajouré de branchages, le cadran à chiffres romains, les aiguilles en or, le mécanisme à coq et cache poussière.
Mécanisme et cache poussière signés Dl de Saint Leu 23180 London.
Vers 1770.
Diamètre : 6,2 cm - Poids brut : 212,68 g
3 000 € - 5 000 €

Lot 68
Deux plaquettes en or jaune 18k (750), de forme ovale, ornées d’un bas-relief ciselé au repoussé, chacune composée de deux plaques qui se superposent, l’une, ornée d’une représentation de La Cène, le fond présentant un dôme. La seconde, ornée d’une représentation de La manne céleste.
Sans poinçon.
Travail probablement Venise, XVIe-XVIIe siècles.
Hauteur : 8,5 cm - Largeur : 7,5 cm - Poids total : 34g
Placées sur un présentoir en métal.
Provenance :
Galerie Bernard De Leye.
5 000 € - 8 000 €

Lot 69
Deux putti en or jaune 18k (750) ciselés au repoussé, portant les attributs de la Passion et du Culte.
Aucun poinçon.
Travail probablement italien du XVIIe siècle.
Hauteurs : 5,7 et 6,3 cm
Poids brut total : 12 g
Provenance :
Galerie Bernard De Leye.
1 000 € - 3 000 €

Lot 70
Boîte ovale en vermeil, appliquée sur le couvercle et le côté de résilles d’enroulements feuillagés sur fond amati sertis d’émeraudes et de diamants taillés en rose, le fond gravé d’un paysage lacustre avec fortifications, barques et pécheurs, les bordures d’encadrements ciselés de feuillages.
Travail probablement allemand XVIIe siècle.
Hauteur : 2 cm - Longueur : 8,2 cm
Poids brut : 128 g
Provenance :
Galerie Bernard De Leye.
1 500 € - 2 000 €

Lot 71
Tabatière ovale en ors de couleur 18k (750), la monture à cage, ornée sur toutes les faces de plaques en agate orangée, le côté à quatre pilastres ciselés de cannelures et de feuillage en chute émaillé vert. Les six médaillons ovales sous verre, à décor peint en grisaille sur fond cornaline à la manière de Jacques-Joseph de Gault, ils figurent des scènes de bacchanales, avec personnages, putti et satyres, la miniature au centre du couvercle représentant le « Triomphe de Silène », ivre, porté en triomphe et précédé par un joueur de flûte. Le médaillon du fond et celui du couvercle sont cernés de chaque côté par un petit médaillon circulaire d’agate herborisée entouré d’un filet d’or. Les bordures d’encadrement sur fond amati, ciselés de feuilles d’or émaillé vert, alternées de petites perles ovales en émail turquoise (accidents sur deux miniatures).
Poinçon du maître orfèvre Pierre-François Drais, reçu en 1763.
Paris, 1776-1777.
Hauteur : 3,4 cm - Longueur : 8,5 cm - Largeur : 6,5 cm
Poids brut : 192 g
Provenance :
Ancienne collection du baron Carl von Rothschild 1788-1886, et de ses cinq filles, dont Emma Louise Rothschild (1844-1935), épouse de Nathan Mayer, premier lord Rothschild.
« Particulièrement importante, la remarquable collection du baron Carl von Rothschild comprenait environ 500 boîtes ».
Galerie Bernard De Leye.
Pierre-François Drais (1763-1788), cousin et élève de Ducrollay, devint bijoutier du roi, et exécuta de nombreuses tabatières consignées dès 1770 sur les comptes des Menus Plaisirs ainsi que dans les registres des Présents du Roi (Grandjean, 1981, p. 82). Il est l’un des orfèvres les plus renommés de son temps, ses boîtes font partie de grandes collections privées et sont conservées dans de nombreux musées ; notamment au musée du Louvre (douze tabatières et une bonbonnière), elles sont également représentées au Victoria and Albert Museum, à la Wallace Collection, à Waddesdon Manor.
Voir aussi, le catalogue The Thyssen-Bornemisza Collection/ Renaissance Jewels gold boxes and Objets de Vertu, A. Somers Cocks and C.Truman, Sotheby Londres 1995.
A rapprocher d’une tabatière du même orfèvre :
Vente Christie’s Londres, 2-3 juin 2015, lot 273.
60 000 € - 80 000 €

Lot 72
Tabatière ovale en ors de couleur 18k (750), à décor guilloché, ornée de cinq réserves ovales encadrées de tores de laurier, ciselées d’attributs de jardinage et de musique, sur le centre du couvercle, la réserve représentant un jardinier tenant sa pelle, et divers instruments de jardinage dans un paysage avec ruines et plantes sur fond amati. Les encadrements ciselés de frises de culots (petits chocs).
Poinçon du maître orfèvre Charles-Alexandre Bouillerot, reçu en 1769.
Paris, 1773-1774.
Hauteur : 3 cm - Longueur : 6,9 cm - Poids : 105 g
Charles-Alexandre Bouillerot (1769-1792), cautionné par Jean-Louis Bouillerot, il reçu le n°149 pour l’importance de ses affaires et fit du commerce avec Grandcher, propriétaire de la boutique à l’enseigne « Au petit Dunkerque ». Il est indiqué à l’adresse rue du Haut Moulin et sera nommé garde en 1786 et 1787. L’almanach royal de 1792 le mentionne comme ancien capitaine de la garde nationale volontaire, il demeurait alors quai Pelletier. On ignore la date de sa mort.
4 000 € - 6 000 €

Lot 73
Tabatière rectangulaire en or 18k (750), à bâte balustre, ornée de feuillages, roseaux, chien de chasse et volatiles sur un fond entièrement ciselé de filets courbes et asymétriques.
Poinçon du maître orfèvre incomplet.
Paris, 1745-1746.
Insculpée postérieurement de poinçons suédois.
Hauteur : 3 cm - Longueur : 7,1 cm - Largeur : 5,3 cm - Poids : 105 g
6 000 € - 12 000 €

Lot 74
Tabatière en or 18k (750) de forme contournée, ciselée sur le fond et le couvercle de filets rayonnants imitant une coquille, la bordure d’encadrement à filets.
Poinçon du maître orfèvre Nicolas Delions, reçu en 1736.
Paris, 1738-1739.
Hauteur : 2,5 cm - Longueur : 7 cm - Largeur - 5,1 cm - Poids : 100 g
Provenance :
Vente Sotheby’s, Paris, 15 avril 2010, lot 30.
Nicolas Delions, apprenti à 16 ans chez Antoine-Denis Viaucourt, demeure rue Pierre au lard et ensuite cour Lamoignon entre 1748 et1759 (ancien garde de l’orfèvrerie, il meurt quai des Morfondus en 1777. H. Nocq, vol II, p.57).
8 000 € - 12 000 €
