
Vente 03/06/2009 14:00, Drouot Richelieu - Salle 1

3 juin2009
Heure14:00
LieuDrouot Richelieu - Salle 1

Tableaux Anciens
Orfèvrerie des XVIIIe et XIXe siècles
Souvenirs historiques
Succession de
Orfèvrerie des XVIIIe et XIXe siècles
Souvenirs historiques
Succession de

Lot 61
Miniature sur ivoire de forme ronde « Portrait de femme » signée en bas à droite Boquet. Jean Alexandre BOQUET (1752 - 1828) Diamètre : 6,5 cm Dans un cadre en bois noirci.
200 € - 400 €

Lot 62_bis
Très grande miniature sur ivoire rectangulaire « Chasse au perdreau » porte une signature J.Isabey et datée 1825. 20 x 13,5 cm Dans un cadre en loupe d'orme.
800 € - 1 200 €

Lot 62
Miniature sur ivoire « Portrait de musicien » signée en bas à gauche Justine. dans un cadre en bois doré à palmettes. XIXe siècle. 10,5 x 10 cm
300 € - 400 €

Lot 63
Bracelet en or orné dans sa partie centrale d'une miniature sur ivoire représentant le Roi Louis- Philippe d'Orléans (1773 - 1850) dans un encadrement ovale orné d'enroulements gravés de fleurs et de feuilles en rappel sur le bracelet et au revers du médaillon, ce dernier composé de maillons articulés. Le miniaturiste François Meuret fût le peintre en miniature attitré de Philippe d'Orléans et de la cour. Il peignait d'après nature et parfois d'après des tableaux de Winterhalter comme c'est le cas ici. Attribué à l'orfèvre Mellerio dit Meller nommé en 1830 fournisseur officiel de la Reine Amélie du Roi Louis Philippe et de la famille Royale. Paris entre 1830 et 1840. La miniature signée Meuret d'après Winterhalter. Longueur : 16cm - largeur : 5cm Bibliographie : Bijoux romantiques 1820-1830. Catalogue du musée de la vie romantique. Page 103 N°186-187 et 188 Jewellery from Renaissance to Art déco 1540-1850. Edition 2003. Décrits sous les N° 33-34 et 35 du catalogue. Exposé à Tokyo, Fukuoka, Nagoya et Kyoto. Parure du pouvoir. Joyaux des cours européennes. Reproduit page 229
12 000 € - 15 000 €

Lot 64
Bracelet en or orné dans sa partie centrale d'une miniature sur ivoire représentant la Reine Marie Amélie de Bourbon-Sicile qui épousa Louis-Philippe d'Orléans en 1809. Reine de France de 1830 à 1848. La miniature signée Meuret d'après Winterhalter. Mêmes origines que le modèle précédent.
12 000 € - 15 000 €

Lot 65
Bracelet en or orné dans sa partie centrale d'une miniature sur ivoire représentant Clémentine d'Orléans (1817-1907) Fille de Marie Amélie de Bourbon-Sicile et Louis Philippe D'Orléans. Le bracelet est composé de baguettes articulées et gravées d'enroulements feuillagés en rappel sur l'entourage à huit contours de la miniature. La miniature signée Meuret d'après Winterhalter. Mêmes origines que le modèle précédent.
12 000 € - 15 000 €

Lot 66
SEVRES, porcelaine dure, circa 1847. Exceptionnelle plaque rectangulaire représentant la reine Marie Amélie debout près d'une console Louis XV sur laquelle reposent des livres et du courrier, d'après un tableau de Franz Winterhalter. Sur le côté gauche porte l'inscription « Ple (pauline) Laurent.1847.d'après Winterhalter ». Dimensions de la plaque de porcelaine : hateur : 45 cm - largeur : 31 cm. Marque imprimée des « LL » couronnés utilisée entre 1830-1848 sous le règne de Louis-Philippe. Marie Amélie Thérèse de Bourbon, Princesse des Deux-Siciles ,puis duchesse d'Orléans et reine de France (1782- 1866). Née à Caserte le 26 Avril 1782, elle est la fille du roi Ferdinand Ier des Deux-Siciles et de la reine Marie Caroline qui se trouvait être la soeur aînée de Marie Antoinette. Le 25 Novembre 1809, elle épouse à Palerme Louis Philippe d'Orléans, duc de Chartres avec lequel elle aura dix enfants. En 1814, Louis Philippe d'Orléans reçoit le titre de duc d'Orléans, qui, en 1830, devient roi des Français sous le nom de Louis Philippe Ier et règnera jusqu'en 1848. Toute sa vie elle fut un exemple de dignité et de loyauté, d'amour pour son époux et ses enfants, tout en restant à l'écart des affaires politiques. Après la révolution de 1848 elle s'exile avec son époux en Angleterre, dans le Surrey sous le titre de courtoisie « comtesse de Neuilly ». Sur cette peinture la reine Marie Amélie est représentée sur ce tableau à l'âge de 60ans, parée de ses plus beaux vêtements et bijoux. Le peintre de la manufacture de Sèvres Marie Pauline Laurent s'inspire du tableau de Franz Xavier Winterhalter, aujourd'hui conservé au musée du château de Versailles. Remarqué en 1834 puis protégé par la reine, le peintre d'origine allemande se voit confier la réalisation du portrait officiel de Louis-Philippe en 1839. C'est en 1847 que l'on voit entrer au magasin de vente notre plaque sous la description suivante : « 1 Tableau sur plaque rectangulaire de 0.45 sur 0.31 portrait colorié de la reine d'après Winterhalter » (Registre Vv4, folio 94, n°48, 3 juin 1847 / prix de revient 2612 francs, prix de vente 3300 francs). Si les représentations de la reine Marie-Amélie sur porcelaine ne sont pas rares puisque Tamara Préaud a recensé au moins dix paires de vases « Etrusque Caraffe » décorés des portraits en buste de Louis-Philippe et Marie-Amélie entre 1833 et 1847, ce portrait en pied de la reine est l'un des seuls connus aujourd'hui. Le caractère exceptionnel de cette peinture sur plaque de porcelaine se distingue particulièrement sur le plan technique, tant pour le façonnage d'une plaque de grande dimension, que celui artistique symbolisant la quintessence de l'art du peintre Marie Pauline Laurent. MARIE PAULINE LAURENT (1805-1860) Elève d'Allaux, Marie-Pauline Laurent expose au Salon de Paris de 1831 à 1853. Conjointement à sa carrière de peintre pour la Manufacture de Sèvres (1838-1860), elle expose à l'Académie royale de Londres de 1839 à 1852. L'oeuvre de Marie-Pauline Laurent est, avec celle de Nicolas-Marie Moriot, d'une grande importance dans l'art de la miniature sur porcelaine. A l'instar de Moriot qui peint en 1844 les portraits du roi et de la reine sur une paire de vases « Etrusque Caraffe », peints par Moriot aujourd'hui conservés à la Walters Gallery de Baltimore, Pauline Laurent a copié une lithographie de Gevedon et non la peinture de Franz Xavier Winterhalter.de aujourd'hui conservée à Versailles. Bibliographie : The Sèvres Porcelain Manufactory, Alexandre Brongniart and the Triumph of Art and Industry, 1800-1847. Nous tenons à remercier madame Tamara Préaud, conservateur des Archives de la manufacture de Sèvres de nous avoir communiqué ces informations.
30 000 € - 40 000 €

Lot 67
Paire de vases balustre en porcelaine de forme ovoïde reposant sur un piédouche surmontant une base carrée. Deux anses rocaille de part et d'autre, décor d'enfants escaladant un mur ou tressant des couronnes de fleurs sur une face et de paysages animés de rivière sur l'autre. Vers 1850. (restaurations à l'un deux, infimes petits éclats). Hauteur : 42 cm - largeur : 25 cm
600 € - 800 €

Lot 68
Pendule en porcelaine à décor de rinceaux or sur fond blanc, les côtés et la partie centrale ornée de fines résilles de porcelaine. A l'amortissement un groupe représentant un couple de jeunes orientaux donnant à manger à une chèvre. Vers 1850. (très petits éclats et accidents) Hauteur : 40 cm - largeur : 33 cm
1 000 € - 1 200 €

Lot 69
circa 1776 (biscuit dur) Rare buste du roi Louis XVI reposant sur un piédestal mouluré circulaire, représenté en habit de cour avec le cordon et l'insigne de l'Ordre du Saint Esprit, les cheveux noués sur la nuque, d'après un modèle de Louis-Simon BOIZOT. Hauteur : 25cm Coups de feu Le présent modèle est réalisé d'après le premier buste en marbre du roi réalisé en 1777, peu après son accession au trône, en 1774, aujourd'hui conservé dans l'antichambre du Petit Trianon, à Versailles. Ce buste du roi est la version la plus précoce et la plus rare que l'on connaisse. En effet, les documents conservés aux archives de la Manufacture de Sèvres signalent un premier buste modelé par Boizot dans les premières années du règne, suivis de deux autres versions du même artiste l'une datée de 1785 l'autre de 1789 . Comme l'expliquait Pierre Ennès, « le début du règne de Louis XVI marquait un grand tournant dans l'histoire de la manufacture royale » notamment avec l'arrivée le 1er avril 1773 du sculpteur Louis-Simon Boizot à la tête de l'atelier de sculpture . Louis-Simon Boizot, sculpteur du roi désigné dans ses nouvelles fonctions influencera un style nouveau dans les productions de vases et de biscuits de la manufacture. Bibiographie : BRUNET, Marcelle, et PRÉAUD, Tamara, « Sèvres des origines à nos jours », Office du Livre, Fribourg, 1978, p.234.ENNÈS, Pierre, « Un Défi au goût, 50 ans de création à la manufacture royale de Sèvres (1740-1793)», RMN, 1997, p. 60.
2 000 € - 3 000 €
Lot 70
Boîte en laiton doré à l'imitation d'une médaille au profil du Duc d'Angoulême à l'avers, au revers à la gloire de l'armée Française 1823. Elle contient le Précis de la guerre d'Espagne en 21 vignettes circulaires. Epoque Restauration. Diamètre : 5 cm
150 € - 300 €

Lot 71
Presse papier en bronze ciselé et doré à décor d'un triton soufflant dans une conque surmontant une tortue. Epoque Louis XVI. (usure à la dorure) Hauteur : 15 cm
1 000 € - 1 500 €

Lot 72
Rafraîchissoir à verre formé de deux coupes en porcelaine du Japon à décor Kakièmon exécuté en Hollande XVIIIe siècle. La monture en bronze ciselé et doré bordée d'une frise d'oves comme le socle. Deux anses à décor de poissons stylisés. Style régence. Hauteur : 8 cm - largeur : 21 cm
1 000 € - 2 000 €

Lot 73
Collier de l'ordre du Saint-Esprit (Epoque Restauration) ayant appartenu au duc de Nemours, second fils de Louis-Philippe. Collier de l'ordre du Saint-Esprit (Epoque Restauration) ayant appartenu au duc de Nemours, second fils de Louis- Philippe. Le créateur : Le roi Henri III est un des plus singuliers souverains français. C'était un homme fin, courageux, bon politique, qui manifesta très jeune des goûts militaires et il n'avait pas vingt ans lors de ses succès de maître des guerres à Jarnac et à Moncontour. D'une grande culture, qu'il devait à son précepteur le célèbre Jacques Amyot ; son goût des lettres se manifesta par la fondation d'une Académie, son amour des honneurs par la création en 1578 de l'ordre du Saint Esprit. L'ordre : L'ordre du Saint-Esprit fut donc créé le 30 décembre 1758 pour relever et remplacer celui de Saint Michel créé en 1469 par Louis XI et qui avait été trop prodigué. Henri III choisit le nom de Saint Esprit en mémoire de son avènement au trône de France et de son élection à celui de Pologne contre Yvan le Terrible. C'est le grand ordre du royaume, il est composé de cent chevaliers non compris les étrangers qui en font partie. Le roi est Grand Maître. La Révolution avait aboli l'ordre, mais Louis XVIII rétablit les ordres royaux, Charles X est nommé neuvième chef et Grand Maître de l'ordre, le duc de Nemours second fils du futur Louis-Philippe est nommé chevalier en 1829. Un an plus tard, devenu roi, Louis- Philippe abolira à son tour les titres de l'ancienne royauté. Le collier : En or 18 carats, émaillé, formé de la croix et de 29 insignes reliés les uns aux autres par des petits anneaux cannelés par séries de trois motifs différents. La croix à quatre branches et huit pointes pommelées en or émaillé de vert et de blanc en bordure, cantonnée de quatre fleurs de lys. Le centre avers présente une colombe blanche au bec émaillé de rouge. Le centre du revers : un Saint Michel terrassant le dragon. Les centres sont en deux parties. Largeur de la croix : 70 mm. Anneau de suspension à cannelures (poinçon tête d'aigle) infimes cheveux sur l'émail bleu du revers, infime manque à l'extrémité d'une pointe supérieure droite du revers. Les insignes de forme carrée 45 X 45 mm représentent : 1) Trophée d'armes avec casque émaillé de bleu à panache blanc brochant sur un arc, une flèche, une massue, une épée, un carquois... un drapeau blanc semé de lys entouré de flammes stylisées émaillées de rouge. 2) Grosse fleur de lys entourée des mêmes flammes stylisées émaillées de rouge. 3) La lettre « H » de Henri émaillée de blanc accolée et surmontée de couronnes, deux cornes d'abondance dans la partie inférieure, le tout entouré de flammes. Malgré des éclats mineurs sur les 4e, 8e, 10e, 12e, 14e et 16e motifs on peut considérer que ce collier est dans un état superbe. Le fermoir : Le fermoir en forme de tonneau poinçonné de deux poinçons à l'aigle et recontrollé après 1838. Poinçon de Paris 1819-1838. Paris 1819-1838 (tête de bélier sur différents éléments) et recontrolé après 1838. Provenance : Succession d'Henriette de Belgique (1870-1948) soeur du roi Albert 1er qui épousa le duc de Vendôme, petit fils du duc de Nemours. Nemours. (Louis Charles Philippe d'Orléans, duc de), deuxième fils de Louis-Philippe. Né à Paris le 25 octobre1814. Le jeune prince n'avait pas encore 18 ans lorsque le 3 février 1831, il apprit la nouvelle de son élection au trône de Belgique. L'offre du gouvernement belge avait été refusée par son père pour des raisons politiques. Le duc de Nemours était présent au siège d'Anvers en 1832, puis pendant la conquête d'Algérie il participa à l'expédition de Constantine. Le prince prit part aux dangers, aux fatigues et aux gloires de l'expédition. Une seconde campagne en Algérie en 1837 lui offrit le grade de général de brigade. En 1840 le prince épouse Victoire-Antoinette-Auguste princesse de Saxe-Cobourg Gotha. En1842 naît un premier fils qui prend le nom de comte d'Eu puis en1844 naît un second fils qui reçoit le titre de duc d'Alençon. Le 26 février la République est proclamée, le prince rejoint son père en exil. Revenu en France en 1871 il est réintégré dans l'armée avec son grade de général, puis rayé des cadres en 1886. Le duc de Nemours s'éteint à Versailles en 1896.
50 000 € - 80 000 €
Lot 74
Traité général des eaux et forêts, chasses et pêches. 3e partie. Dictionnaire des chasses. Paris, Bertrand, 1834, 1 volume in-4, + 1 volume in-fol. demi-rel. chag. vert (cart. édit.). Mouillures et rousseurs. L'atlas renferme 46 planches lithographiées + 4 planches bis. Thiébaud, p.60. SUCCESSION DE MONSIEUR C.B. De notre Limousin natal, Monsieur B. avait gardé la discrétion et l'exigence. Ces qualités qu'il avait toujours conservées au cours de sa carrière de grand Serviteur de la République, l'ont amené à traquer, non seulement le grand gibier d'Afrique jusqu'à celui plus modeste de nos campagnes, mais aussi à collectionner les livres sur le sujet, les poires à poudre et surtout les fusils de chasse que nous avons l'honneur de disperser aujourd'hui. Sa volonté didactique et sa soif d'excellence l'ont conduit à faire des choix sans concession. Il y a bientôt 40 ans, entouré des experts Robert Jean Charles et René Johnson, il a acquis, soit dans des ventes publiques prestigieuses soit dans leurs magasins, ces armes pour lesquelles les provenances, les qualités techniques, les mécanismes et leur évolution au XIXème siècle, constituaient avec l'état de conservation les critères de ses choix. Six d'entre eux ont figuré à l'Exposition Universelle de 1900 à Paris. Puissent ces fusils de collection procurer autant de joie et d'émotion au collectionneur d'aujourd'hui qu'ils en ont procuré à Monsieur B.
200 € - 300 €
Lot 75
Le chasseur au chien d'arrêt. Paris, Tresse, 1858, in- 12, demi-rel. chag. fauve, dos lisse, couv. conserv. (rel. mod.). Cinquième édition. La couv. est datée 1859. - BLAZE (E.). Le chasseur au chien courant. Paris,Tresse, 1878-1859, 2 vol. in-12, demi-rel. percal. fauve, dos lisse, couv. conserv. (rel. mod.). Deuxième édition. Qq. rousseurs.
50 € - 80 €
Lot 76
Traité de la chasse au gibier à poil. Tome 2. Traité de la chasse aux oiseaux. Paris, Oudot, 1818, 2 vol. in-12, pleine toile marron, pièce de titre rouge (coiffes us.). Tome 1 : 7 planches. Tome 2 : 19 pl. d'oiseaux non numérotées et 37 pl. numérotées (dont 1 déchirée). Thiébaud, p.140.
100 € - 150 €
Lot 77
CHIENS (Les) DE CHASSE et la théorie de la chasse. S.l., s.d.(1933), in-8, cart. édit. ill. dos lisse. Illustrations en couleurs. Manque le titre. - GIBIER (Le). St. Etienne, Manufacture française d'armes et cycles, s.d. (1933), in-4 oblong, cart. édit. défraîchi. Illustrations en couleurs. - LES ENNEMIS DU GIBIER. S.l., 1935, in-4, oblong, cart. édit. Illustrations en couleurs. Ens. de 3 vol.
250 € - 300 €
Lot 78
Les animaux vivants du monde. Histoire naturelle. Oiseaux - poissons - reptiles. Paris, Flammarion, s.d., in-4 demirel. à coins bas. verte. Avec 25 planches couleurs. - CORNISH. Les animaux vivants du monde. Les mammifères. Paris, Flammarion, s.d., in-4, demi-rel. à coins bas. verte. Avec 13 planches couleurs. - GRANDLIVRE(Le). De la faune africaine et de sa chasse. Monaco, Union européenne, 1954, 2 vol. in-4, demi-rel. à coins chag. vert, dos à nerfs, passé.Exemplaire de luxe. Rousseurs sur les tranches. - DUGMORE (Radclyffe). Les fauves d'Afrique photographiés chez eux. Paris, Hachette, 19810, in-8, demi-rel. à coins chag. rouge, dos lisse, couv. conserv. - ROOSEVELT (T.). Mes chasses en Afrique. Paris, Hachette, 1910, in-8, demi-rel. à coins chag. rouge, couv. conserv. Avec 48 planches en photogravure et 1 carte. Ens. de 6 vol.
100 € - 150 €
Lot 79
Les armes de chasse et leur tir. Paris, Nourry, 1931, in-8, demi-rel. chag. bleu, dos à nerfs, couv. conserv. Figures hors et dans le texte.
100 € - 150 €
