Applique en bronze doré, à trois branches de lumière, s’échappant d’un carquois surmonté d’une flamme rapportée et ornée d’une guirlande fleurs et de fruits. Fin du XVIIIe siècle, début du XIXe siècle. Hauteur : 65 cm

Secrétaire en acajou et placage d’acajou. Il ouvre par un tiroir en ceinture surmontant l’abattant et trois tiroirs en partie inférieure. Montants à cannelures ornés de grattoirs, pieds toupie. Fin du XVIIIe siècle, début du XIXe siècle (accidents, manques, fentes, restaurations, entrées de serrure rapportées) Hauteur : 145 cm - Largeur : 96 cm - Profondeur : 40 cm

Paire de bougeoirs en vermeil formés d’une colonne à cannelures appliquées en partie supérieure de guirlandes de laurier, la base ronde à bord fort repose sur un socle à degrés carré appliqué de guirlandes, pieds sphériques, les binets à bobèches simulant des coupes à l’Antique, gravés sur les bobèches et la base d’armoiries doubles. Maître orfèvre François Daniel IMLIN. Strasbourg, 1780. (bobèches percées, petites usures) Hauteur : 18,5 cm - Poids : 665,3 g

Table à combinaisons de forme rectangulaire en acajou et placage d’acajou. Le plateau rabattable à dessus de marbre turquin encastré. Elle ouvre à un tiroir latéral et un tiroir au revers. Un système actionné par l’anneau latéral permet de déclencher la tirette en façade. Elle repose sur des doubles colonnettes cannelées supportées par des patins réunis par une traverse (renforts métalliques). Epoque fin XVIIIe siècle. Hauteur : 75 cm - Largeur : 81 cm - Profondeur : 48,5 cm Provenance : Vente de la collection Jean BLOCH, 13 juin 1961, lot 127.

Paire de plaque-papiers en bronze ciselé et doré à décor au naturel de deux bouquetins. La base rectangulaire à ressauts et parties arrondies en bronze amati ou brillant. Epoque Louis XVI. Hauteur : 20,5 cm - Largeur : 17,5 cm Profondeur : 7,5 cm

Bonheur-du-jour de forme ovale, en acajou et placage d’acajou à toutes faces, incrusté de filets en ébène. Le gradin présente un casier, un tiroir et deux petits vantaux démasquant deux compartiments. Il ouvre à un tiroir en ceinture formant écritoire. Il repose sur des pieds fuselés à cannelures simulées réunis par une tablette incurvée. Estampillé TOPINO. Époque Louis XVI. Dessus de marbre blanc et galerie de bronze ajourée (replacage, des bronzes rapportés). Hauteur : 92,5 cm - Largeur : 65 cm - Profondeur : 53 cm Charles TOPINO, reçu Maître-ébéniste en 1773.

Fauteuil à dossier gondole, en placage d’acajou, la ceinture droite, il repose sur des pieds antérieurs gaines et des pieds postérieurs arqués. D’après un modèle Directoire créé par G. JACOB (restaurations, reprises du placage). Hauteur : 73 cm - Largeur : 52 cm - Profondeur : 45 cm

Pendule en bronze ciselé et doré, marbre blanc, le mouvement surmonté d’attributs militaires et encadré par des enfants reposant sur des volutes. Le cadran par DE LA RUELLE à Paris. Sur la base s’inscrit une frise de postes en amati. De part et d’autre les Armes de France et de Savoie. Les bronzes d’après un modèle de PRIEUR. Epoque Louis XVI (petits manques, manque l’aiguille des quantièmes). Hauteur : 35 cm - Largeur : 30 cm - Profondeur : 12 cm De La RUELLE, reçu comme apprenti en 1762.

Applique en bronze doré, à masque de faune et à trois branches de lumière supportées par des becs de corbin, reliées par une guirlande de fruits et de fleurs. Elles présentent un vase fleuri à la partie supérieure et des trophées de musique à l’amortissement. Première moitié du XIXe siècle. Hauteur : 66 cm Inspirée des modèles de Jean-Demosthène DUGOURC. Voir vente Christie’s 13 avril 2010 n°117 du catalogue. Ce modèle est proche de celui conservé au J. PAUL GETTY MUSEUM et de la collection WRIGHTSMAN.

Paire de petites chaises à dossier ajouré en ogive et orné de volutes et palmettes. Les ceintures droites, elles reposent sur des pieds antérieurs en balustre godronné et des pieds postérieurs arqués Époque Louis-Philippe (restaurations, notamment aux dossiers). Hauteur : 83,5 cm - Largeur : 40 cm - Profondeur : 35 cm Typique du mélange des styles. Ces chaises au dossier en arc brisé gothique peuvent-être rapprochées d’un modèle similaire des collections de la Vallée aux loups, demeure acquise par Chateaubriant en 1807. Pour une chaise d’un modèle très proche voir Le style troubadour. L’autre romantisme par Elsa CAU, page 118 fig. 70.

Paire de vases couverts en granit de colgon et monture en bronze ciselé et doré, le vase sur piédouche à décor de godrons, les anses torsadées se prolongeant sur le col et terminées par des feuilles d’acanthe, la prise du couvercle en pomme de pin. Suède, dernier quart du XVIIIe siècle (usures à la dorure). Hauteur : 47 cm - Largeur : 30 cm Provenance : Hôtel Drouot, 2004, lot 190.

Superbe paire de colonnes cylindriques en marbre brèche violette. La base à double moulure repose sur un contre-socle carré. Hauteur : 103 cm - Largeur : 39 cm

Fontaine en tôle rouge à irisations et blanc, ornementation de bronze repoussé et doré, le robinet émergeant d’un mascaron, le corps surmonté d’une prise associée, la base ajourée hébergeant un emplacement à bougie. Pieds en griffes de lion. Epoque Restauration, vers 1820 (usures). Hauteur : 51 cm

Paire de grands candélabres en bronze ciselé et doré, le binet formé d’une coupe à frise de feuilles de lotus, le fût tronconique à bagues et cannelures, palmettes. Le pied à doucine bordé de palmes, montés de trois bras de lumière, au centre un calupet. Epoque Empire. (soudure à une attache de bras) Hauteur : 49,5 cm

Bonheur-du-jour en placage de satiné, bois de rose dans des encadrements de filets et de perles sur fond de sycomore teinté vert. Il ouvre à un rideau démasquant quatre tiroirs et un abattant découvrant quatre tiroirs. Le plateau dévoile un large casier plaqué de bois de rose. Il repose sur des montants et des pieds fuselés à cannelures simulées à la partie supérieure et réunis par une tablette et terminés par des sabots en bronze. Estampillé C. ...ier, vraisemblablement l’ébéniste C.C SAUNIER. Époque Louis XVI (un bouton à refixer, des bronzes rapportés, reprise du placage). Dessus de marbre blanc veiné. Hauteur : 122 cm - Largeur : 84 cm - Profondeur : 49,5 cm

Cristo vivo en bronze ciselé et doré. Tête levée vers le ciel, bouche entrouverte laissant apparaitre la dentition, barbe bifide, longue chevelure ondulée tombant sur l’épaule droite et dans le dos, périzonium court au bord frangé et strié à l’imitation du tissu noué sur la hanche droite avec chute latérale, jambes légèrement fléchies et pieds superposés. Italie, d’après un modèle de Jean de Bologne, fin du XVIe siècle. Hauteur : 22 cm – Largeur : 19 cm (manques aux doigts, usures à la dorure) Ouvrage consulté : C. Avery et M. Hall, Giambologna (1529-1608), Paris, 1999, p. 118-121, n°28

Fauteuil de bureau en bois naturel, mouluré et sculpté de fleurettes et de feuilles d’acanthe. Les accotoirs à manchettes et galbés, la ceinture sinueuse, il repose sur des pieds cambrés. Estampillé CHENEVAT. Époque Louis XV. Le dossier garni de canne, galette en cuir fauve (restaurations). Hauteur : 97 cm - Largeur : 62 cm - Profondeur : 49 cm Jacques CHENEVAT, reçu Maître menuisier en 1763.

Fauteuil d’enfant en bois naturel à dossier ajouré de traverses. Les accotoirs en coups de fouet, la ceinture sinueuse, il repose sur des pieds cambrés. En partie d’époque Louis XV (restaurations en ceinture). Hauteur : 66 cm - Largeur : 42 cm - Profondeur : 36 cm

Deux tabourets en noyer tourné à petites facettes. Entretoise en H. Fin du XVIIe siècle (bouts de pieds refaits). Hauteur : 39 cm - Largeur : 53 cm - Profondeur : 38 cm

Deux canapés pouvant former paire, en bois sculpté et relaqué crème, les dossiers plats à décor de coquilles, agrafes et crossettes. Les accotoirs mouvementés, les ceintures découpées à décor en rappel alterné de croisillons. Pieds cambrés à enroulement. Epoque Louis XV (renforts, accident à un pied détaché, deux enfoncements dans le cannage). Hauteur : 94 cm - Largeur : 200 cm - Profondeur : 59 cm