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Vente 22 MARS 2017

22 MARS 2017
22 mars2017
Heure14:00
LieuPARIS - HÔTEL DROUOT - SALLE 13
22 MARS 2017
TOTAL FRAIS INCLUS  : 2 716 668 € PROVENANT PRINCIPALEMENT DE LA COLLECTION DE MONSIEUR ET MADAME R. D’UN AMATEUR D’ORFÈVRERIE ET DE DEUX GRANDES COLLECTIONS FRANÇAISES TABLEAUX SCULPTURES ORFÈVRERIE OBJETS D’ART ET DE TRÈS  BEL AMEUBLEMENT  
Lot 61
Commode à vantaux Attribuée à l’atelier de David Roentgen à Neuwied ou à son entourage. Fin du XVIIIe siècle. Bois résineux, acajou, placage d’acajou, buis, ébène, bronze doré, cuivre Hauteur : 89 cm - Largeur : 150 cm - Profondeur : 60 cm 40 000 / 60 000 e Bibliographie : Hans Huth, Roentgen Furniture, Abraham and David Roentgen, European Cabinet Makers, Londres, 1974. Rosemarie Stratmann-Döhler, Mechaniche Wunder Edles Holz. Roentgen-Möbel des 18. Jahrhunderts in Baden und Württemberg, Karlsruhe, 1998. Christian Baulez, David Roentgen et François Rémond. Une collaboration majeure dans l’histoire du mobilier européen, L’Estampille/L’Objet d’Art n°305, septembre 1996. Achim Stiegel, Präzision und Hingabe.Möbrlkunst von Abraham und David Roentgen, Berlin, 2007. Michael Stümer, Luxus, Leistung und die Libe zu Gott. David Roentgen 1743-1807 Königlicher Kabinettmacher, Munich, 1993. Antoine Chenevière, Splendeurs du mobilier russe 1780-1840, Paris, 1989. D’aspect architecturé, cette commode ouvre en façade par deux vantaux délimités par deux pilastres soulignés soit par doubles rangs de trois cannelures en cuivre et par un dormant orné d’une chute d’acanthes en bronze doré. Ils sont décorés d’un arc surbaissé, cintré par une clé à triglyphes et larmier en bronze doré, et reposant sur deux petits pilastres adossés dont les chapiteaux sont également en bronze doré, ainsi que les écoinçons à feuilles d’acanthe, disposés aux angles supérieurs des vantaux. Les montants du meuble, en pans coupés et formant une console en volute découpée jour en leur partie supérieure, sont ornés sur celle-ci de masques de lions portant un anneau dans la gueule, et en-dessous, sur la partie suggérant une gaine concave, d’une chute de fleurons d’acanthe accrochée par des rubans à une patère, le tout en bronze doré. Sur les côtés, des panneaux rectangulaires creux sont flanqués par deux pilastres cannelés du modèle de ceux des vantaux, tous appuyés sur des soubassements moulurés et à ressauts, formant les cinq pieds du meuble réunis par de petites ceintures munies d’écoinçons en leurs extrémités. Chaque pied est orné de rectangles brettés en bronze doré. Le plateau plaqué en acajou est souligné par un jeu de filets marquetés en buis et en ébène et est ceint par une lingotière en quart-de-rond de cuivre doré. Les vantaux laissent découvrir deux groupes chacun de trois tiroirs superposés, munis de poignées en cuivre. Par certaines de ses particularités de construction, par ses bronzes et par les matériaux mis en œuvre cette commode à vantaux s’apparente aux créations issues de l’atelier de David Roentgen, à Neuwied, vers la fin du XVIIIe siècle. Il s’agit notamment de la composition de ses montants, caractérisée par la partie supérieure formant une console en volute, sorte de poste en ressaut, découpée à jour (fig. a), qui se retrouve, ainsi que les protomés de lion et les chutes de bronze doré, sur deux meubles iconiques de Roentgen : le grand secrétaire en scriban à pendule, commandé le 27 août 1776 par Charles de Lorraine, gouverneur des Pays-Bas autrichiens (fig. b) et son pendant, appelé le Neuwieder Kabinett, secrétaire monumental que Roentgen et son atelier fabriquèrent entre 1777 et 1779 pour Frédéric-Guillaume II de Bavière (fig. c). Mentionnons également que dans la construction des bâtis des deux imposants secrétaires de Vienne et de Berlin le chêne est associé au bois résineux, cette dernière essence étant utilisée aussi pour le bâti de notre commode. D’un aspect moins exubérant que les deux secrétaires, notre commode conserve cependant la composition architecturée caractéristique pour les meubles élaborés par Roentgen ou fabriqués sous sa conduite dans l’atelier de Neuwied ou par ses émules. Certains décors, tels les montants séquencés de triples cannelures disposées en deux registres sont quasi-identiques sur deux commodes formant secrétaire en cylindre, l’une conservée au musée de Berlin et l’autre au château de la Fasanerie. Alors qu’on retrouve des éléments similaires sur des meubles plus simples en acajou issus de l’atelier de Roentgen, comme sur un bureau à caissons, qui présente les mêmes petites ceintures découpées à consoles en écoinçons que celles de notre commode, ou bien sur un autre bureau plat dont le frise du cartonnier est rythmée par des triglyphes en bronze, les deux faisant partie de l’ameublement du château de Weissenstein (Wilhelmshöhe), près de Cassel . Fils du célèbre ébéniste Abraham Roentgen, David succéda à son père en 1772 et développa l’atelier familial parvenant à le transformer dans une vraie entreprise, qui employait à la fin du XVIIIe siècle plus de cent ouvriers. Avec un sens particulier du commerce il ouvrit des magasins à Paris, où il voyagea en 1774, puis en 1779, à Berlin et à Vienne et devint l’un de principaux pourvoyeurs de Catherine II de Russie pour laquelle il livra dès 1783 une importante quantité de meubles, comme le témoignait l’impératrice elle-même dans une lettre adressé à Grimm : David Roentgen et ses deux cent caisses sont arrivés sains et saufs, à point pour apaiser ma fringale… Il coordonna l’activité de son atelier pendant ses absences, dont les ouvriers assuraient les commandes pour ses magasins en Allemagne, en Autriche, en France et en Russie. Ce commerce prospère connut des revers à la Révolution, lorsque ses biens furent saisis à Paris et David Roentgen se vit obligé de rentrer à Neuwied, où son atelier fut à nouveau pillé par les armées révolutionnaires, en 1794. Réfugié à Gotha, puis à Berlin, il ne revint à Neuwied qu’en 1802. Le grand succès de ses meubles lui attira des imitateurs, tels Johann Gottlob Fiedler (v.1735-ap.1818) à Berlin, ou Gottlieb Holzhauer (1753-1794), qui travailla pour la duchesse Anne-Amélie de Brunswick, à Weimar, et dont une commode présente un décor de filets en bois clair et foncé similaire à celui du plateau de notre pièce. D’autres meubles furent réalisés d’une façon très ressemblante par des ébénistes formés dans les ateliers de Roentgen, tels Johann Gottlieb Frost (1851-1814), qui s’installa à Paris dès 1779, ou bien Johannes Kilnckerfuß, qui exerça à Stuttgart, à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe, enfin, Henri-Daniel Gambs, originaire lui aussi de Neuwied et qui s’installa à Saint-Pétersbourg dès 1795, où il produisit pour la cour impériale jusqu’à son décès, en 1831.
40 000 € - 60 000 €
Lot 62
Commode à portes en acajou et placage d’acajou mouluré à ressauts ou défoncements. Elle ouvre par deux vantaux découvrant trois tiroirs à l’anglaise. Les pieds tronconiques à moulures. Ornementation de bronze ciselé et doré tels que masques, rinceaux feuillagés. Plateau de marbre blanc à gorge. Travail d’Europe de l’Est ou Russie de la fin du XVIIIe siècle (accidents). Hauteur : 88,5 cm - Largeur : 105,5 cm - Profondeur : 51 cm
10 000 € - 15 000 €
Lot 63
Exceptionnelle paire de chenets en bronze ciselé et doré, ornés de vases antiques encadrés de têtes de faunes, surmontés d’une flamme. La partie médiane formée d’une frise de cercles imbriqués. La base appliquée d’un casque empanaché dans une couronne de feuilles de chêne en guirlande. Ils reposent sur six pieds à cannelures surmontés de rosaces et pomme de pin. Attribuée à Philippe CAFFIERI. Vers 1770. Hauteur : 43 cm - Largeur : 42,5 cm - Profondeur : 69 cm Pour des chenets similaires : Vente Hôtel Drouot 17 juin 1981, n° 23. Vente collection de l’hôtel Masseran 29 juin 2008, Osenat.
4 000 € - 6 000 €
Lot 64
Pendule-urne en bronze ciselé et doré. Les anses en col de cygne. La base carrée. Attribuée à GALLE. Vers 1820. Hauteur : 40,5 cm - Largeur : 16 cm Claude GALLE (1759-1815), figure parmi les plus importants bronziers parisiens de la fin du XVIIIe siècle et de l’ Empire.
1 000 € - 1 500 €
Lot 65
Gaine formée d’une colonne en bois relaqué blanc et or formé de cannelures. Socle à pans. Epoque Louis XVI.  Hauteur : 104 cm - Largeur : 50 cm
600 € - 800 €
Lot 66
Paire de candélabres en bronze ciselé et doré formés de vestales tenant au-dessus de leur tête une couronne d’où s’échappe trois bras de lumière formés de cornes d’abondance simulées. Elles reposent sur une sphère et colonne feuillagée. La base carrée. Attribuée à Claude GALLE. Epoque Restauration. Hauteur : 65 cm - Largeur : 22 cm 1 500 / 2 500 e Claude Galle reçu Maître Bronzier en 1784. Il collabore avec Antoine-André Ravio, il devient l’un des principaux fournisseurs de bronzes d’ameublement du Garde-Meuble, livrant de nombreuses pièces pour les châteaux impériaux, notamment Compiègne, Fontainebleau, le Grand Trianon, ainsi que pour les palais étrangers du Quirinale à Rome et de Stupinigi à Turin.
1 500 € - 2 500 €
Lot 67
Pendule à cercles tournants en marbre blanc et bronze doré et patiné. Elle est composée d’un vase balustre posé sur un socle en marbre. Un angelot indique délicatement l’heure avec sa main. Deux cercles tournants indiquent les heures et les minutes. Belle décoration de bronze ciselé et doré comme les anses du vase en forme de serpents, les attributs militaires, couronnes, bas-reliefs sur le thème des divinités de l’eau. Début du XIXe siècle. Hauteur : 71,5 cm - Largeur : 28 cm - Profondeur : 26 cm Bibliographie : Pendule provenant de la Collection au balancier de Cristal est représentée dans La Pendule française, tome II, Tardy, 1949, p. 288, N° 5. The Metropolitan Museum of Art, New York, Harry N. Abrams, Inc., Publishers, New York. Une pendule similaire est conservée au Métropolitan Museum de New York.
8 000 € - 12 000 €
Lot 68
Bureau à cylindre en acajou moucheté et filets d’ébène. Il présente dans la partie supérieure un rideau à lamelles et deux portes surmontant des tiroirs. Le cylindre découvre des tiroirs et casiers ainsi qu’un rideau à lamelles, quatre tiroirs au centre dont un formant caisson. Pieds à cannelures. Il présente une ornementation stylisée de feuilles de lierre, rosaces, flèches. Travail bordelais d’époque Louis XVI.  Hauteur : 208 cm - Largeur : 155 cm - Profondeur : 72 cm Provenance : Ancienne collection Jean-Pierre HAGENAUER. Très certainement un meuble de commande pour un amateur. Le choix des essences de bois : le pin, le noyer, l’acajou moucheté, la sculpture des asperges tout à fait comparable à celle de l’armoire Louis XVI conservée au Musée des arts décoratif et du design à Bordeaux. 
8 000 € - 12 000 €
Lot 69
Paire de bergères en bois sculpté et doré. Le dossier en trapèze à colonnes détachées sculptées de cannelures, raies-de-cœur, rosaces, grattoirs, pieds fuselés à cannelures rudentées. Estampille de J. AVISSE. Epoque Louis XVI (éclats à la dorure). Hauteur : 96 cm - Largeur : 51 cm - Profondeur : 48 cm Jean AVISSE reçu Maître, en 1745.  Provenance :  Ancienne collection Honeberg. Bibliographie : Ancienne collection Biedermann d’après Jean Nicolay. Voir L’art et la manière des Maîtres Ebénistes français au XVIIIe siècle, Jean Nicolay reproduite p. 40, Fig E.
6 000 € - 8 000 €
Lot 70
Commode ouvrant à trois rangs de tiroirs galbés en « arbalète », entièrement et richement marquetée de fleurs et de jasmin (os), feuilles d’acanthe, rinceaux feuillagés, rubans, vases, socles, frises, dans des réserves géométriques délimitées par des filets doublés de petits filets noirs et clairs, sur fond de noyer brûlé et sur contre-fond d’olivier, sur le dessus et en façade, noyer et loupe de frêne sur les côtés, pieds antérieurs marquetés de fleurs. Par Thomas HACHE (Toulouse 1664-Grenoble 1747). Grenoble, vers 1715-1720. Quelques manques, fentes et usures, pieds postérieurs modifiés. Hauteur : 82 cm - Largeur : 130 cm - Profondeur : 65 cm Provenance : Collection particulière lyonnaise. Bibliographie : Voir un modèle similaire dans la forme et le décor dans Le génie des Hache, Editions Faton 2006, Dijon, pp. 230-231. Thomas HACHE, un dessinateur hors paire. Pour ce qui est de l’agencement des filets formant les réserves géométriques, le décor du dessus de cette commode n’a encore jamais été rencontré dans l’œuvre connu de Thomas Hache. En effet, si la forme de la réserve centrale est bien typique du Maître de Grenoble, ainsi que la façon dont elle est reliée aux deux médaillons qui l’encadrent, on ne retrouve plus les écoinçons trilobés rencontrés sur plusieurs modèles (Le génie des Hache, Editions Faton, Dijon 2006, pp. 198-201, 206, 208-210).  Ici, les médaillons sont flanqués de petites réserves en forme de mandorle qui reçoivent un décor de feuillage stylisé. En outre, les filets qui les dessinent, poursuivent de part et d’autre un tracé complexe et totalement inédit formant des réserves asymétriques d’une grande modernité. Elles reçoivent, de surcroît, un placage d’olivier de fil qui fait écho au bel olivier choisi pour ses veines en forme de cœur et placé aux quatre coins du dessus.  Enfin, la grande réserve centrale est reliée à deux autres réserves en mandorle qui se prolongent en longs cartouches marquetés de fleurs et feuillages qui viennent se relier harmonieusement aux réserves asymétriques évoquées plus haut. La complexité de l’agencement de ces filets illustre la virtuosité qui signe le talent créatif véritablement exceptionnel de Thomas Hache, fondateur à Grenoble de la célèbre dynastie d’ébénistes. Son style, souvent imité, est ici reconnaissable entre tous, notamment par la qualité des essences utilisées, comme l’olivier décliné dans toute sa magnificence, veiné et de fil sur le dessus et en frisage sur la façade.  Détail ornemental inédit : sur les côtés, les anses du vase fleuri sont formées par un ruban aux enroulements gracieux. Talent reconnu par Pierre Gole, l’ébéniste du roi, Thomas Hache n’a eu de cesse de créer de nouveaux décors dont l’originalité première tient aux bois des Alpes dont il sut tirer toute la somptuosité, lui permettant d’imaginer un répertoire décoratif original dont les marqueteries florales présentent un naturalisme raffiné et reconnaissable entre tous. NB : Thomas Hache emploie l’os plutôt que l’ivoire pour ses fleurs dites « au jasmin ». Cette commode au décor inédit sera reproduite dans le tome 2 du livre Le génie des Hache, à paraître prochainement aux Editions Faton.
50 000 € - 60 000 €
Lot 71
Paire de chaises en noyer mouluré à dossier cabriolet sculpté de fleurs, agrafes, crossettes, les ceintures mouvementées. Elles reposent sur des pieds cambrés. Attribuée à NOGARET à Lyon.  Epoque Louis XV.  Hauteur : 92 cm - Largeur : 53 cm - Profondeur : 35 cm Pierre NOGARET reçu Maître en juin 1745.
600 € - 800 €
Lot 72
Paire de bergères basses à large dossier plat mouvementé entièrement capitonné. Les accotoirs détachés sinueux sculptés de coquilles et feuillages. Les ceintures mouvementées, au centre sculptées d’une coquille comme les traverses latérales. Epoque Louis XV. (traverses doublées, usures et restaurations) Hauteur : 94 cm - Largeur : 70 cm - Profondeur : 58 cm
3 000 € - 6 000 €
Lot 73
Paire de fauteuils à dossier cabriolet en anse de panier, en bois mouluré et relaqué crème. Pieds fuselés à cannelures rudentées. Travail provincial d’époque Louis XVI.  Hauteur : 89 cm - Largeur : 59 cm - Profondeur : 52 cm
400 € - 600 €
Lot 74
Large scriban en acajou massif et noyer pour les montants postérieurs, galbé dans les deux sens sur les trois faces, les côtés à fortes moulures et défoncement, les traverses sculptées de feuillage à décor ajouré de part et d’autre d’une coquille. Il ouvre par cinq tiroirs sur trois rangs, l’abattant sinueux découvre un gradin à tablettes et six tiroirs dont un à casier. Ornementation de bronzes vernis. Travail bordelais, époque Louis XV (accidents au piétement postérieur enté et dans les fonds, planche rapportée, un compas cassé). Hauteur : 113 cm - Largeur : 130 cm - Profondeur : 63 cm
2 000 € - 3 000 €
Lot 75
Lit dit « en chaire à Prêcher » en bois naturel mouluré et sculpté de fleurettes. Les chevets égaux mouvementés. Le ciel de lit également sculpté de fleurettes. Traverses mouvementées. Travail provincial d’époque Louis XV (accidents, réparations). Hauteur : 129 cm - Largeur : 114 cm - Longueur : 179 cm
600 € - 800 €
Lot 76
Table volante en placage de bois de rose à encadrement d’amarante et filets se terminant par des grecques. Elle présente deux tiroirs en ceinture. Pieds cambrés. Epoque Louis XV (manque la tablette d’entrejambe). Hauteur : 71 cm - Largeur : 41 cm - Profondeur : 31 cm
600 € - 800 €
Lot 77
Commode galbée dans les deux sens et sur les sur les trois faces en marqueterie de fleurs sur fond de bois de rose dans des encadrements d’amarante. Elle présente deux tiroirs sans traverse, celui du bas formant tablier. Plateau de marbre gris à bec de corbin (accidents). Attribuée à P. ROUSSEL. Epoque Louis XV (accidents, restaurations, quelques manques à la marqueterie). Hauteur : 89 cm - Largeur : 130 cm - Profondeur : 62 cm P. Roussel reçu Maître en 1745.
8 000 € - 12 000 €
Lot 78
Paire de larges fauteuils à dossier plat en bois naturel mouluré et sculpté de crossettes, feuillages, coquilles sur le dossier, accotoirs sculptés. Les ceintures ornées au centre d’une grenade éclatée. Pieds cambrés. Attribuée à Jean Baptiste GOURDIN.  Epoque Louis XV. (usures et accidents) Hauteur : 94 cm - Largeur : 71 cm - Profondeur : 53 cm J.-B. GOURDIN reçu Maître en 1748.
2 000 € - 3 000 €
Lot 79
Encoignure en vernis Martin à fond noir ouvrant par une porte. Plateau de marbre Sainte Anne. Epoque Louis XVI (accidents). Hauteur : 86 cm - Largeur : 73 cm - Profondeur : 47 cm Lot appartenant à l’étude suite à sinistre.
300 € - 400 €
Lot 80
Suite de cinq chaises à dossier plat en bois naturel sculpté, mouluré de volutes, agrafes, coquilles stylisées, pieds cambrés. Epoque Louis XV (recouvertes de tissu rouge). Hauteur : 92 cm - Largeur : 54 cm - Profondeur : 46 cm Lot appartenant à l’étude suite à sinistre.
200 € - 300 €