Ecole du XIXe siècle Vase sur un entablement, un perroquet sur la droite Huile sur toile. (restaurations) 180 x 70 cm environ

OUDRY, dans le goût de Nature morte au lièvre et au faisan Huile sur panneau. (usures, repeints) 28 x 22,5 cm

Ecole du début du XIXe siècle Scènes de cavaliers et Paysage animé Deux huiles sur panneau d’acajou. (usures, petits repeints) 22,5 x 41,5 cm

Fin du XVIIIe siècle Putti près d’une fontaine et Putti et satyre portant bacchus enfant ivre. Deux grisailles sur tôle en tondo (éclats et manques). 37 x 37 cm Dans des cadres carrés.

Ecole du XIXe siècle Portrait d’homme au col de fourrure Huile sur toile. 48 x 36 cm

Henri François RIESENER (1767-1828) Portrait de Marie-Adélaïde et Jean-André Prosper Henry Le PAGE. Deux huiles sur toile, signées en haut à gauche (dans des cadres à vues ovales). 65 x 54 cm Jean-André Prosper Henry Le PAGE (1792-1854), Arquebusier et fournisseur des rois Louis XVIII, Charles X et de Louis-Philippe et des ducs d’ORLÉANS. Il succède à son père en 1822 et est nommé en 1835 arquebusier ordinaire du Roi, du Duc d’ORLÉANS et du Duc de NEMOURS. Henri-François RIESENER est le fils de l’ébéniste d’origine allemande, Jean-Henri RIESENER (1734-1806) et de Françoise-Marguerite VANDERCRUSE, (veuve de l’ébéniste OEBEN), et le père du peintre romantique Léon RIESENER (1808-1878). Les liens qui unissent les RIESENER aux Le PAGE sont avant tout des liens familiaux, qu’ils partagent également avec les DELACROIX.

Pierre TAL COAT (1905-1985) Nature morte au pot, coupe et raisins, circa 1940 Huile sur panneau, signée en bas à droite 21 x 46 cm

Pierre TAL COAT (1905-1985) Les oliviers Huile sur carton, signée en bas à droite 25 x 32 cm Exposition : TAL-COAT, Grand Palais, Paris, 3 février-5 avril 1976, N°39 du catalogue

Pierre TAL COAT (1905-1985) Nature morte au pot, circa 1940 Huile sur toile, signée en bas à gauche 21 x 22 cm

Pierre TAL COAT (1905-1985) Sous-bois, circa 1940 Gouache sur papier, signée en bas à droite 66 x 50cm Exposition : TAL-COAT, Musée National d’Art Moderne, Paris, N°195 du catalogue

Pierre TAL COAT (1905-1985) Arbres, circa 1944 Huile sur toile, signée en bas à droite 48,5 x 36 cm Exposition : TAL-COAT, Grand Palais, Paris, 3 février-5 avril 1976, N°34 du catalogue

Jean MARZELLE (1916-2005) Maisons dans un village, 1952 Huile sur carton toilé, signée et datée 52 en bas à droite 22,5 x 34,5 cm

Francis GRUBER (1912-1948) Paysage, 1947 Huile sur toile, signée et datée 1947 en bas à gauche 73 x 92,5 cm Expositions : Musée National d’art Moderne, Paris. Musée de l’Orangerie, Paris.

Non venu

Albert MARQUET (1875-1947) La salle à manger du peintre à Porquerolles, 1939 Huile sur toile, signée en bas à gauche. 50 x 61 cm Exposition : MARQUET, Galerie SCHMIT, Paris, 17 mai au 17 juin 1967, n°92 du catalogue. Provenant de la succession de Monsieur X.

André MASSON (1896-1987) Jours d’hiver, circa 1960 Huile sur toile, signée en bas à droite 50 x 61 cm Provenance : Galerie Louise LEIRIS, Paris, Photo N°50613 Provenant de la collection de Mr D.

Martin van den BOGAERT dit Martin DESJARDINS (1637-1694), d’après, école française du XVIIIe siècle Louis XIV à cheval Statuette équestre en bronze à patine brune. Hauteur avec son socle en bois : 58 cm - Largeur : 36 cm - Profondeur : 19 cm Œuvres en rapport : Martin DESJARDINS, Louis XIV à cheval, bronze monumental aujourd’hui disparu (détruit en 1792), Place Bellecour à Lyon. Martin van den BOGAERT dit DESJARDINS, fonte attribuée à Roger SCHABOL, Louis XIV à cheval, c. 1700-1705, bronze (hauteur : 43,5 cm), Londres, WALLACE Collection, n°inv. S166. D’après Martin van den BOGAERT dit DESJARDINS, Louis XIV, bronze (hauteur : 44,1 cm), reliefs d’après Adam Frans van der MEULEN, New York, METROPOLITAN Museum, n°inv. 11.129. 1a. D’après Martin van den BOGAERT dit DESJARDINS,, Statue équestre de Louis XIV, bronze (hauteur : 44 ), reliefs par Adam Frans van der Meulen, Cambridge, Fogg Art Museum, inv. 1957.72. Martin van den BOGAERT dit DESJARDINS, Portrait équestre de Louis XIV, plâtre (hauteur : 40 cm - largeur : 38,5 cm - profondeur : 19 cm), Paris, musée CARNAVALET, inv. S881. Pour diffuser à des fins de propagande l’image du pouvoir royal dans les provinces, Louis XIV commande dans les années 1680/1690 aux plus grands sculpteurs de l’Académie une série de statues équestres à son effigie. C’est le Maréchal de VILLEROY, gouverneur de la ville de Lyon qui, en 1688, se charge de faire exécuter par Martin van den BOGAERT dit DESJARDINS, le monument royal devant s’intégrer dans le nouvel aménagement d’une place baptisée Louis-le-Grand (aujourd’hui place Bellecour) dans la capitale des Gaules. DESJARDINS est au sommet de sa déjà riche carrière : académicien depuis 1671, il fait partie des sculpteurs chargés des grands décors de Versailles. Il s’appuie ici sur les dessins et sur les instructions du Premier Architecte des Bâtiments du roi François MANSART pour concevoir un monument qui, après bien des aléas, ne sera inauguré qu’en 1713. Notre statuette équestre présente quelques variantes avec ce célèbre modèle de DESJARDINS et en particulier le fait que le cheval lève l’antérieur droit plutôt que le gauche.

Table de milieu en bois richement sculpté et redoré. Pieds toupie à cannelures tors, disposés dans le prolongement des montants fuselés, cannelés, rudentés à asperges. Ils sont reliés par une entretoise en X à frise de piastres, centrée d’un vase couvert à l’antique. La ceinture droite est bordée d’une frise d’entrelacs centrée de fleurs, toutes différentes. Plateau de marbre brèche Pontificat profilé. Style Louis XVI (quelques accidents, entretoise renforcée). Hauteur : 80,5 cm - Largeur : 96 cm - Profondeur : 60 cm

Paire d’obélisques en albâtre rubané et marbre vert. Style néo-classique. Hauteur : 45 cm - Largeur : 9,5 cm

Paire de bougeoirs en bronze ciselé et doré. Base à ressaut bordée de tors de laurier. Fût balustre à cannelures et chutes de guirlandes de laurier. XIXe siècle. Style Louis XVI (percé pour l’électricité). Hauteur : 27 cm