Pendule en bronze doré, le cadran émaillé blanc signé BERTRAND à Draguignan est enchâssé dans un rocher surmonté de Bonaparte tenant un étendard. Hauteur : 42 cm - Largeur : 23,5 cm - Profondeur : 9,5 cm

HERMÈS PENDULETTE HEURE UNIVERSELLE Pendulette de bureau en laiton doré, cadran argenté signé Hermès Paris aux index dorés en applique, aiguilles dauphines dorées, date et jour à six heures. Lunette tournante avec des villes du monde correspondant aux 24 fuseaux horaires. Mouvement à quartz. Fond numéroté 1447407, fonction de marche ou arrêt du mouvement. Vers 1980. Diamètre : 110 mm Sans garantie de fonctionnement.

LUXOR Pendulette de bureau en laiton doré, cadran argenté signé Luxor aux index dorés en applique, aiguilles dauphines dorées, aiguille d’alarme, date à six heures. Lunette tournante avec calendrier manuel pour associer la date et le jour de la semaine. Mouvement mécanique à remontage manuel. On y joint une pendulette de table UTI Swiza mécanique à remontage manuel. Vers 1980. Diamètre : 110 mm Sans garantie de fonctionnement.

JAEGER-LECOULTRE Pendulette de bureau en laiton doré et verre minéral, tour d’heure en métal doré, aiguilles lances dorées, verre avant signé Jaeger-LeCoultre, les quatre parois en verre, les parois latérales gravées de lignes. Mouvement baguette Jaeger-LeCoultre mécanique à remontage au dos, dans son logement en verre en forme de goutte, barillet à six heures à remontage manuel. Vers 1980. Hauteur : 145 mm - Largeur : 110 mm - Profondeur : 45 mm Sans garantie de fonctionnement.

JEAN ROULET LE LOCLE Pendulette de bureau en laiton doré, cadran argenté signé Jean Roulet Le Locle Van Hubrecht Monte-Carlo, index chiffres romains dorés en applique, affichage du mois par aiguille à neuf heures, du jour par aiguille à midi, de la date par aiguille à trois heures et de la phase de Lune à six heures, aiguilles diamant dorées. Tête de pendulette mobile pour mettre en place un second fuseau horaire avec les villes du monde et l’échelle 24 heures. Mouvement à quartz. Accompagnée de sa clé de mise à date. Montre distribuée par l’horloger Van HUBRECHT monégasque. Vers 1980 (quelques marques). Hauteur : environ 19 cm - Largeur : 18 cm Sans garantie de fonctionnement.

IMHOF Pendulette de voyage en laiton doré, entourage du cadran gravé de rinceaux, fond lin doré, cadran laqué blanc signé Imhof, index chiffres arabes peints en noir, aiguilles à pommes évidées noires, mention 8 day à six heures. Mouvement mécanique à remontage manuel, échappement à ancre. Vers 1980. Hauteur : 130 mm - Largeur : 75 mm - Profondeur : 35 mm Sans garantie de fonctionnement.

JAEGER 8 JOURS Pendulette de bureau en laiton doré et verre minéral, fond noir brillant, cadran en métal doré avec partie centrale mobile pour régler l’alarme, index chiffres arabes noirs, aiguilles bleuies. Mouvement mécanique à remontage manuel au dos. Vers 1980 (marques et poussières). Hauteur : 95 mm - Largeur : 60 mm - Profondeur : 35 mm On y joint la même pendulette sans son verre et avec fond bleu brillant. Sans garantie de fonctionnement.

JAEGER STATION MÉTÉOROLOGIQUE Pendulette de bureau en laiton doré et verre minéral, fond argenté, à gauche affichage de l’heure, au centre un thermomètre, à droite une indication de l’humidité avec aiguille manuelle externe de repère. Mouvement électronique. Vers 1980 (marques, poussières, accidents à l’intérieur dus à la détérioration de la pile). Hauteur : 90 mm - Largeur : 155 mm - Profondeur : 50 mm Sans garantie de fonctionnement.

LANCEL Pendule cube de bureau pivotante à quatre affichages en métal doré, socle en métal doré. Le premier, cadran argenté, index en applique dorée, affichage heures, minutes, secondes et date à six heures. Le second pour la température, le troisième pour l’humidité, le dernier pour la pression atmosphérique. Mouvement électrique. Vers 1990 (très légères marques). Hauteur : 150 mm - Cotés : 10 mm Sans garantie de fonctionnement.

Lot de onze horloges et pendulettes de bureau en métal doré et verre minéral dont LANCEL, ARMORIAL et SEIKO. Sans garantie de fonctionnement.

Lot de douze horloges et pendulettes de bureau en métal doré et verre minéral dont LANCEL, ARMORIAL et SEIKO. Sans garantie de fonctionnement.

JAEGER-LECOULTRE ATMOS Horloge en métal doré et verre minéral reposant sur un socle en marbre, cadran blanc ajouré composé des heures en chiffres romains peints noir, aiguilles à pommes évidées noires. Platine signée Jaeger-LeCoultre ATMOS Swiss Made. Capsule anéroïde au dos, balancier à sécurité dans la partie basse de l’horloge. Mouvement mécanique perpétuel. Dimensions 24 x 21 x 16 cm Vers 1980 (quelques marques et rayures). Hauteur : 24 cm - Largeur : 21 cm - Profondeur : 16 cm Sans garantie de fonctionnement.

JAEGER-LECOULTRE ATMOS Horloge en métal doré et verre minéral à décor maritime de voiliers reposant sur un socle en métal doré, cadran argenté, index en appliques dorés, chiffres arabes en appliques à 3, 6, 9 heures et midi, décor de rose des vents au centre, aiguilles dorées. Platine signée Jaeger-LeCoultre ATMOS Swiss Made. Capsule anéroïde au dos signée LeCoultre & Cie Swiss balancier à sécurité dans la partie basse de l’horloge. Mouvement mécanique perpétuel. Vers 1980 (quelques marques et rayures, accidents au verre sur la paroi haute et le fond. Hauteur : 22 cm - Largeur : 17,5 cm - Profondeur : 13,5 cm Sans garantie de fonctionnement

JAEGER-LECOULTRE ATMOS Horloge en métal doré et verre minéral à décor de bois sur le fond et les côtés, cadran doré brossé, minuterie chemin de fer noire, index chiffres romains peints noir, aiguilles à pommes évidées noires. Capsule anéroïde au dos, balancier à sécurité dans la partie basse de l’horloge. Mouvement mécanique perpétuel. Vers 1980 (quelques marques et rayures). Hauteur : 21 cm - Largeur : 17,5 cm - Profondeur : 10,5 cm Sans garantie de fonctionnement. Nous sommes à Paris à la fin des années 1920 quand un ingénieur Neuchâtelois ayant étudié à l’école polytechnique fédérale de Zurich du nom de Jean-Léon Reutter réalise le rêve que certains ont mis une vie à concevoir, sans succès. Ce rêve, c’est celui de l‘horloge perpétuelle. Celle qui n’a besoin ni d’électricité, ni de la main de l’homme pour avancer. Ces pendules ont été au départ construites à Paris, à la Compagnie Générale de Radiologie qui en a confié la gestion à Jean-Léon Reutter. Le premier modèle, nommé ATMOS 0 et exécuté en 1927, ne restera qu’à l’état de prototype. Il faudra attendre 1929 pour la ATMOS I et une première commercialisation. Malheureusement, ces dernières n’ont pas été beaucoup vendues par la complexité de leur architecture, la fragilité et l’instabilité du système. Un peu plus tard, on change de gaz saturé pour utiliser du chlorure d’éthyle dans une capsule scellée. On peut rapprocher cette cellule de la capsule anéroïde, qui au passage est aussi un élément constitutif d’un altimètre ou d’un baromètre, sous forme d’une petite capsule métallique composée de membranes où un vide partiel règne et qui se comprime ou se dilate suivant la pression à cause du gaz présent. C’est ce système qui sera utilisé dans les années 1930 pour les pendules de Reutter, et c’est à ce moment-là que LeCoultre intervient. La légende urbaine dit qu’un beau jour, alors qu’une personne importante chez LeCoultre (on parle de Jacques-David LeCoultre lui-même) arpentait les rues parisiennes, il tomba nez à nez avec une horloge inattendue dans la vitrine d’une horlogerie. Il en fit l’acquisition, avant de se tourner vers Jean-Léon Reutter pour discuter. Nous sommes alors en 1932 et LeCoultre rentre dans l’histoire de l’ATMOS en commençant à développer des mouvements pour la Compagnie Générale de Radiologie. À la fin du mois de mars 1933, les premières horloges, fruits de cette collaboration, apparaissent. Il faudra attendre 1935 pour que la Compagnie Générale de Radiologie délègue toute la production des horloges à LeCoultre, et que petit à petit, les fameuses ATMOS II rentrent en jeu à la fin des années 1930, passant ainsi de l’ancien système à base de mercure et ammoniaque à la capsule anéroïde. Aujourd’hui encore, l’héritage de Jean-Léon Reutter est toujours actif chez Jaeger-LeCoultre. On retrouve le système de mouvement composé d’une capsule se dilatant ou s’étendant suivant la température ou la pression extérieure. Il suffit d’une différence d’un degré seulement (entre des températures comprises entre 15 et 30 degrés) pour donner un peu d’énergie à la ATMOS.Cette petite cellule ressemblant à un accordéon, qui se dilate ou s’étend, entraîne dans son mouvement une chaînette qui, par le biais d’un dispositif à cliquets vient tendre le ressort du barillet et ainsi donner de l’énergie à l’horloge. Pour tout le reste, on retrouve les organes constitutifs d’un objet horloger, à savoir le balancier dans la partie basse de l’objet, qui est suspendu à un fil d’Elinvar qui agit comme fil de torsion pour animer ce dernier et lui conférer de doux allers et retours.

Confiturier à deux anses en argent et cristal à décor rocaille. Travail français de la fin du XIXe siècle (éclats). Hauteur : 23 cm - Poids brut : 1 778 g

Boîte à bijoux en argent IIe titre à décor rocaille. Le couvercle orné d’une plaque de malachite. Travail italien. Poids brut : 1 500 g

Boîte en argent IIe titre, plaqué sur âme de bois, l’intérieur à deux compartiments. Travail anglais. Poids brut : 846 g

Bénitier en bronze ciselé et doré à décor de putti et rocaille. Style du XVIIIe siècle. Hauteur : 28 cm - Largeur : 18 cm

Bénitier en bronze ciselé et doré à décor des attributs de la passion. Style du XVIIIe siècle. Hauteur : 21,5 cm - Largeur : 10,5 cm

Boîte de nécessaire à couture en palissandre et buis. Epoque Charles X (accidents et manques).