Atelier de Hyacinthe RIGAUD (1659-1743) Portrait d’homme en buste, vers 1695-1700 Pierre noire et rehauts de blanc, mis au carreau 25 x 19 cm Provenance: Ancienne collection Robert Charles de Bailliencourt; vente en 1869, n°95 Vente Saint-Omer, Billiet et Thellier, le 18 décembre 1893, n°350 Vente anonyme, Fontainebleau, Me Osenat, le 21 octobre 2007, n°25 Vente anonyme, Paris, Me de Maigret, le 27 mars 2009, n°107, repr. (comme attribué à Rigaud) Acquis à cette vente par l’actuel propriétaire Exposition: Rigaud intime, Perpignan, 2009, n°104, p.170, repr. p.168 (vers 1710-20, notice d’A. James-Sarazin) Bibliographie: S.Perreau, Hyacinthe Rigaud, 2013, catalogue en ligne, n°P.694 (comme Rigaud, vers 1690-1700) A. James-Sarazin,, catalogue raisonné Hyacinthe Rigaud, Ed. Faton, Dijon, 2016, n°D.59, repr. (comme atelier de)

Hyacinthe RIGAUD (1659-1743) Autoportrait Toile à vue ovale. Selon le catalogue d’Ariane JAMES-SARAZIN : au revers de la toile une inscription portrait de Rigaud / peint par lui-même / pour son amy Ranc / en 1696. Restaurations anciennes. 83 x 65 cm Provenance : Offert à Antoine RANC, ancien Maître de RIGAUD, l’année du voyage de RIGAUD en Roussillon ou, comme l’a suggéré Dominique BRÊME en 2001, à son fils Jean, l’année ou celui-ci intégra l’atelier de RIGAUD. Collection baron RECOLIN, Aix-en-Provence, 1974. Vente Londres, Christie’s, 2 novembre 2001, lot 75. Collection particulière. Collection Jean-Louis REMILLEUX, France, Château de Groussay, puis château de Digoine. Sa vente Paris Christie’s, 28-29 septembre 2015, lot 54. Bibliographie : Ariane JAMES-SARAZIN avec la collaboration de Jean Yves SARAZIN, Catalogue raisonné Hyacinthe RIGAUD (1659-1743), tome II, 2016, p. 160, P. 479. New York, FRICK Collection, MS 2 / Series II Box 26/2-4, 1987 (Gallenkamp). Ariane JAMES-SARAZIN, 2003/4, cat. I, n°1217 bis. Stephan PERREAU, 2004, p.137-138, fig.105, p.138 (offert à Jean ou à Antoine RANC) 240. Ariane JAMES-SARAZIN, 2011/2, p. 202, fig. 6, note 25, p. 209 (offert à Antoine pendant le séjour en Roussillon ou à son fils). Stephan PERREAU, Hyacinthe RIGAUD, catalogue concis de l’œuvre, 2013, n°P. 489, pl. XIX (offert à Antoine RANC). Stephan PERREAU, Hyacinthe RIGAUD : chronique des ventes 2015 (seconde partie), mis en ligne le 10 mars 2016, consulté le 27 juin 2016, URL : https://hyacinthe-rigaud.over-blog.com/2016/03/hyacinthe-rigaud-chroniques-des-ventes-2015-seconde-partie.html Expositions : Ariane JAMES-SARAZIN (dir.), RIGAUD intime (1659-1743), 2009, Perpignan, n°5, repr. p.111. Hyacinthe RIGAUD ou le portrait Soleil, château de Versailles, novembre 2020 à juin 2021. Catalogue n°7, p. 100.

Hyacinthe RIGAUD (1659-1743) Portrait de Jean François, marquis de Noailles (1658-1692) Toile ovale. 70 x 65 cm Bibliographie : Ariane JAMES-SARAZIN avec la collaboration de Jean Yves SARAZIN, Catalogue raisonné Hyacinthe RIGAUD (1659-1743), tome II, 2016, p. 81, P. 226. BIF, ms. 624, fol. 6 v°. Duc de Saint-Simon, Mémoires, ed. Coirault, 1988, t. VIII, pp. 1575-1576. Hulst, après 1743, ed. 1854, T. II, p. 152. J. ROMAN, Le livre de Raison du peintre de Hyacinthe RIGAUD, 1919, p. 25. New York, FRICK Collection, MS 2 / Series II, Note Card Box 2, 1950-1987 (Gallenkamp). Ariane JAMES-SARAZIN, 2003/4, cat. I, n° 193 (reprise de la proposition de ROMAN, avec les dates 1658-1696). Stephan PERREAU, Hyacinthe RIGAUD, catalogue concis de l’œuvre, 2013, n° P. 225. Exposition : 2011, Paris, Galerie Emeric HAHN et F. BAULME Fine Arts (notice d’A. JAMES-SARAZIN, RIGAUD et atelier, un maréchal de camp).

Hyacinthe RIGAUD (1659-1743) Marie Madeleine Toile. Restaurations anciennes. 72 x 56 cm Provenance : Collection Hyacinthe RIGAUD, 1743 ? Prisé (?) par OUDRY et COLINS lors de l’inventaire après décès de RIGAUD en 1744 (AN, ét. XLIII, liasse 383, 6 mars-21 avril 1744), n°401 (?). Vente Paris, DROUOT, Drouot estimations, 4 mars 2008, lot 164. Galerie RATTON-LADRIÈRE, Paris. Collection particulière. Bibliographie : Ariane JAMES-SARAZIN avec la collaboration de Jean Yves SARAZIN, Catalogue raisonné Hyacinthe RIGAUD (1659-1743), tome II, 2016, p. 577, NP.9. Ariane JAMES-SARAZIN, 2003/4, cat. 3, n°10, fig. 10. Ariane JAMES-SARAZIN, 2007/1, pp. 57, 76, 78, note 34, p. 84, note 136, p.89, p.114,166, note 198, p.135. Stephan PERREAU, 2009, p. 64-65, repr. p.64. Stephan PERREAU, La Madeleine pénitente par Hyacinthe RIGAUD, [en ligne], 28 juin 2010, www.hyacintherigaud.over-blog.com. Stephan PERREAU, Hyacinthe RIGAUD catalogue concis de l’œuvre, 2013, cat. P.1119, p. 226. Exposition : Hyacinthe RIGAUD ou le portrait Soleil, château de Versailles, novembre 2020 à juin 2021. Catalogue n°33, p. 160.

Hyacinthe RIGAUD (1659-1743) Monsieur Sarazin Toile. Au revers de la toile, une inscription H. Rigaud / 1685 / inscription relevée / sur l’envers du portrait / par .... 62 x 49 cm Provenance : Ancienne collection banque SARAZIN, Suisse. Acquis auprès de la galerie Eric TURQUIN en 2008, vendu 43 000 €. Bibliographie : Ariane JAMES-SARAZIN avec la collaboration de Jean Yves SARAZIN, catalogue raisonné Hyacinthe RIGAUD (1659-1743), tome II, 2016, p. 37, P. 80. Lyon, AD 69, BP 2066. BIF, ms. 624, fol. 2 v°. Hulst, après 1743, ed. 1854, T. II, p. 145. J. ROMAN, Le livre de Raison du peintre Hyacinthe RIGAUD,1919, p. 9. Ariane JAMES-SARAZIN, 2011/2, p. 11, note 31. Stephan PERREAU, Hyacinthe RIGAUD catalogue concis de l’œuvre, 2013, n° P.75 (Vincent SARAZIN, 1659-1710). Exposition : Ariane JAMES-SARAZIN(dir.), RIGAUD intime, 2009, Perpignan, n°38, p.114, repr. p.118. Il s’agit peut-être d’Alexandre Louis SARAZIN, né en 1664 et qui abjure en 1685, ou encore de Vincent SARAZIN, bourgeois de la ville de Genève et propriétaire à Lyon, mort en 1710.

Hyacinthe RIGAUD (1659-1743) Portrait de Dom Bonaventure d’Ortaffa (1672-1748) Toile. Inscription en haut à droite Don Bonaventure / d’Ortaffa commandt. / général des miquelets / a la guerre de / succession / Maréchal de camp des / armées royales en 1738. Restaurations anciennes. 80 x 65 cm Provenance : Vente à Barcelone, BALCLIS, 31 mai 2017, n°1451. Collection particulière. Bibliographie : Laurent FONQUERNIE, Portrait de Bonaventure d’Ortaffa i Vilaplana, noble roussillonnais, commandant en chef des miquelets, Institut du Grenat, [en ligne], 5 décembre 2016. Ariane JAMES-SARAZIN, Hyacinthe RIGAUD et sa clientèle roussillonnaise : le portrait de Don Bonaventura d’Ortaffa y de Vilaplana, Hyacinthe RIGAUD (1659-1743). L’homme et son art - Le catalogue raisonné, éditions Faton, [en ligne], 15 février 2017. Stephan PERREAU, Hyacinthe RIGAUD, chroniques des ventes 2016 (troisième partie) ; www.hyacinthe-rigaud.over-blog.com. Stephan PERREAU, d’Ortaffa Buenaventura, [en ligne].

Ecole française du XVIIIe siècle Personnages chinois sur fond de paysage Gouache. 21 x 39 cm

Ecole française de la fin du XVIIIe siècle Suite de six portraits de femmes et quatre portraits d’hommes aux trois crayons. Dimensions à vue environ : 35 x 50 cm

Jean-Baptiste HUET (1745-1811) Portrait d’un jeune taureau Mine de plomb, signée en bas à gauche, datée An 7. 36,5 x 47 cm Fortes épidermures.

Etienne JEAURAT (1699-1789) Le chat - Le chien Deux huiles sur panneau, signées et datées 1771. 28,5 x 23 cm

Ecole allemande du XVIIIe siècle Scènes de batailles Paire de toiles. Portent une ancienne attribution à CHANTEREAU. Dimensions à vue : 25 x 30 cm

François Joseph KINSON (Bruges 1770-1839) Portrait de femme à la toilette rouge Toile, signée en bas à droite KINSON. 116 x 88,5 cm Provenance : Vente à Paris, Hôtel Drouot, LAURIN-GUILLOUX-BUFFETAUD & CHAYETTE-CHEVAL, 19 mars 1999, n°81.

Gabriel Germain JONCHERIE (1785-1856) Nature morte à la bouteille de champagne à la charlotte et aux oranges Toile, signée et datée 1844 en haut à droite.

Hippolyte LAZERGES (1817-1887) Les Bédouins Huile sur panneau, signée en bas à droite. Repeints. 33 x 41 cm

Lot de livres anciens (dépareillés).

Lot de livres anciens (dépareillés).

Recueil du GENJI comprenant des pages de calligraphies à l’encre noire et décor or et dix-neuf pages ornées de scènes en couleurs et or, couverture recouverte de soie tissée. Album sous emboîtage bleu, Dimension d’une page : 23,5 x 16 cm

Suite de quatorze planches d’herbier. Fin du XIXe siècle. Encadrées sous verre.

Chevalet mobile en chêne. Hauteur : environ 250 cm

Petite console d’applique en bois sculpté et doré. Epoque Régence. Hauteur : 28 cm - Largeur : 22 cm Profondeur : 12 cm