Calendrier perpétuel en papier mâché peint. Fin du XVIII^e siècle (accidents). 33,5 x 21,5 cm

Lorgnette en ivoire mouluré. XVIII^e siècle (accidents, manques, éclats, fentes). Longueur : 12 cm - Poids : 41,79 g Spécimen en ivoire SPP. Conforme aux règles CE 338-97 art.2.w.mc du 09/12/1996. Spécimen antérieur au 1^er juin 1947. En revanche, pour une sortie de l’UE, un CITES de ré-export sera nécessaire, celui-ci étant à la charge du futur acquéreur

Elément de lampe à alcool en laque rouge. La partie supérieure ornée d’une pierre dure en cabochon. Epoque 1925.  Hauteur : 5 cm

Collier de dentelle, ornée de fleurs de lys dans des médaillons de guirlandes fleuries. pour le service du Roy Charles X. 28 x 22,5 cm

Boîte à viscères en marbre blanc, de forme violonée. Repose sur cinq petits pieds boule (rapportés). XVIII^e siècle (manque un pied). Hauteur : 22 cm - Largeur : 34,5 cm - Profondeur : 18 cm

Console en bois relaqué noir et or de forme mouvementée. Elle repose sur deux pieds cambrés d’espagnolettes, la ceinture ajourée sculptée de torches, carquois et crosses. L’entretoise ornée d’un masque. Plateau de scagliole verte. Milieu du XVIII^e siècle (sans garantie d’état du bois sous les dorure et laque). Hauteur : 88 cm - Largeur : 122 cm - Profondeur : 58 cm

Encoignure en bois de placage marqueté en feuille ouvrant par une porte. Plateau de marbre brocatelle d’Espagne rapporté. Fin du XVIII^e siècle (accidents, manques et réparations). Hauteur : 82 cm - Largeur : 82 cm

Table bureau en acajou et placage d’acajou. Elle ouvre par un tiroir latéral, un en ceinture et un simulé. Plateau de marbre blanc encastré sur laquelle repose un plateau mobile formant écritoire d’un côté, de l’autre recouvert d’un feutre vert. Pieds à cannelures. Fin du XVIII^e siècle, début XIX^e siècle.  Hauteur : 72 cm - Largeur : 87 cm - Profondeur : 55 cm

Console d’encoignure d’applique en bois sculpté et doré. Les ceintures arrondies sculptées d’entrelacs et rosaces surmontées d’un rang de perles. Repose sur un pied en console en volute feuillagée. Plateau de marbre brèche d’Alep à ressaut. Epoque Louis XVI. Hauteur : 70 cm - Largeur : 75 cm - Profondeur : 40 cm

Grand lustre cage en perles de verre enfilées et facettées à neuf bras de lumière à décor de plaquettes et rosaces facettées, fleurs polychromes en porcelaine de Saxe, appliqué de feuillage en tôle découpée. Ancien travail italien à partir d’éléments du XVIII^e siècle (on joint des ampoules à filaments). Hauteur : 115 cm - Diamètre : 90 cm

Vase Médicis en spathfluor dit bluejohn taillé (la partie supérieure en plusieurs morceaux). Repose sur un socle de marbre noir et un contre-socle de bronze doré à frise de feuilles de lotus. Epoque Empire.  Hauteur : 23 cm - Largeur : 13,5 cm - Profondeur : 13,5 cm

Balance de changeur. On joint des éléments d’une deuxième balance et un coffret à parfum, l’intérieur compartimenté, le couvercle en bois de placage et encadrement de filet de bois clair.

Cartel œil-de-bœuf en bronze doré et ciselé, de forme circulaire à décor d’une tête de Gorgones, feuilles de laurier et frise de perles. Vers 1820.  Hauteur : 35 cm - Largeur : 26 cm

Paire de fauteuils d’officier pouvant former lits de camp en fer forgé et métal vernis, le dossier cintré, inclinable, les accoudoirs galbés. Ils reposent sur des pieds antérieurs cylindriques et des pieds postérieurs légèrement mouvementés terminés par des roulettes. Début du XIX^e siècle. Hauteur : 94 cm - Longueur : 123 cm - Profondeur : 70 cm A la fin du XVIII^e siècle, le mobilier en acier et en fer poli fait l’objet d’une certaine fascination et connaît un véritable engouement, sa fabrication étant liée au mystère et à la magie de l’alchimie. Matériau noble, associé aux idées de force, et de prestige depuis l’antiquité, il est utilisé tout d’abord à la fabrication des armes. C’est en Angleterre que l’on observe la plus grande avance technologique en la matière, grâce à l’exploitation de nombreux gisements houillers (indispensable pour obtenir la température nécessaire au raffinage du minerai de fer) et à ses méthodes de production. D’autres pays européens, tels la Russie avec la manufacture de Tula, l’Allemagne et la Suède, produisent des objets utiles et décoratifs dont une partie est exportée. Pour palier à ces importations coûteuses, la France développe alors sa propre industrie sidérurgique en exploitant des gisements dans le Dauphiné et en Bourgogne. Si tout d’abord la production demeure utilitaire : armement, machines, éléments architectoniques ; elle s’étend progressivement aux objets décoratifs et aux meubles. Localisée essentiellement à Paris, leur fabrication incombe aux serruriers, parmi lesquels : J.A. COURBIN, Pierre DEUMIER, CHAILLE et DESSOUCHES, en sont les principaux maîtres d’œuvre. Le mobilier en acier et fer poli devient rapidement très à la mode, soutenu par une riche clientèle composée de la Maison Royale, du Clergé et de l’aristocratie. Pendant la période révolutionnaire, il connaît son apogée grâce à son caractère minimaliste en rupture avec l’éclat et la richesse des bronzes dorés de l’Ancien Régime. Le lit en acier, l’un des plus demandés, est considéré comme fonctionnel et pratique pour les voyages. Si la reine Marie-Antoinette commande en 1784 des lits en métal à Corbin, l’Empereur Napoléon 1^er en fait l’usage pendant ses campagnes. Dessouches, est cité comme serrurier du Garde-Meuble de S.M l’Empereur, brevet d’invention pour les lits de fer portatifs, Rue de Verneuil, 18. Si le mobilier en acier et fer poli reste l’apanage des privilégiés jusqu’au début du XIX^e siècle, la tendance s’inverse à partir de 1825 quand la production commence à s’industrialiser : la Manufacture Gandillot et Roy met au point la création de sièges tubulaires, Benjamin Geslin, serrurier mécanicien, se spécialise dans la fabrication de lits en fer ornés de cuivre doré. Passionné de mécanismes, il cherche des améliorations et parvient à toutes les positions possibles pour la commodité : j’ai appliqué cette idée à la confection de fauteuils en fer pliants… qui permettent de prendre dans leur abattement, un développement tel, qu’ils peuvent être assimilés à des lits. Il obtient un brevet d’invention pour dix ans, délivré le 8 mai 1838 (5). Les deux sièges que nous présentons sont à rapprocher de ceux qui ont figuré dans une vente à New-York lee 13-15 octobre 1983 sous le n°197, d’autres exemplaires similaires à Monaco, le 22 juin 1991 sous le n°131 et deux autres fauteuils passés en vente à Paris le 10 décembre 1994 sous le n°156. Bibliographie : D’acier. L’art du mobilier et des objets en fer et acier polis, U. Leben 1995, p.117. L’Almanach du commerce de 1812 et mentionné à L’Exposition des Produits de l’Industrie de 1834 INPI, C12-001, 142-237 INPI, C12-001, 142-244 Connaissance des Arts, n°520, septembre 1995, pp.108 à 121.

Paire de vases en porcelaine corail de forme ovoïde dans des montures de bronze ciselé redoré. Les anses géométriques à têtes de satyres. Il repose sur de petits pieds. Style du XVIII^e siècle.  Hauteur : 26 cm - Diamètre : 19 cm

Paire de socles en bronze doré et ciselé à décor d’une frise de feuillage. XIX^e siècle.  Hauteur : 5 cm - Largeur : 16 cm - Profondeur : 16 cm On joint deux bases de montures en bronze doré ciselé à décor Rocaille. On joint un lot de bronze divers comprenant des éléments d’appliques, d’embases, cadre, embrase.

Paire d’éléments de candélabre en bronze ciselé et doré à cinq bras de lumière. Décor de fruits, fleurs et feuillage. Hauteur : 58 cm - Largeur : 21 cm

Paire de coupes tripodes en bronze doré et ciselé à décor de têtes de mascaron, les pieds à enroulements. Hauteur : 6 cm

Table basse de salon de forme rectangulaire en bois peint noir. Pieds gaine. Travail moderne. Hauteur : 46 cm - Largeur : 139 cm - Profondeur : 119 cm

Tapis d’Orient, le centre à fond ivoire et décor polychrome de Boteh, bordure à fond clair et rouge à décor feuillagé et fleuri polychrome. 410 x 320 cm