Moutardier en argent l’intérieur en verre. La base de forme carrée posant sur quatre pieds griffe à attaches de feuilles d’acanthe, en rappel sur la base du gobelet. L’anse terminée par une tête de faune, le couvercle à charnière bordé de feuilles de laurier se termine par une graine en forme de pomme de pin. Poinçon de l’orfèvre incomplet. Paris 1819 – 1838. Hauteur : 13,2 cm – Poids brut : 189 g

Drageoir en argent, l’intérieur en verre. La base carrée pose sur quatre pieds à enroulements coquille sur fond amati. L’ensemble est décoré de corbeilles fleuries, bandeaux fleuris, les anses à enroulements terminées par des têtes de chiens en rappel sur le couvercle, ce dernier d’époque postérieure. Poinçon de l’orfèvre incomplet. Paris 1819 – 1838. Hauteur : 24,5 cm – Poids brut : 869 g

Huilier gondole en argent de forme ovale posant sur un piédouche bordé d’un large bandeau de lauriers. La base du bassin est décorée d’un médaillon encadré de coquilles. Les anses représentent deux serpents prenant appui sur une tête. Les supports des flacons sont agrémentés d’ogives ajourées. On joint deux flacons en verre. Maître orfèvre Jean Charles Cahier, insculpation 1801. Paris 1809 – 1819. Hauteur : 19,2 cm – Longueur : 28,5 cm Largeur : 12,8 cm – Poids sans les flacons : 1 543 g Gravé d’armes d’alliance posées sur un manteau de pair de France et surmontées d’une couronne ducale. Armes d’Armand Emmanuel du Plessis Duc de Richelieu 1766 – 1822.

Cafetière en argent uni à fond plat dite marabout, le couvercle bordé de filets. Gravée d’un monogramme sur la panse. Anse en bois à enroulements. Maître orfèvre Joseph Germain Dutalis. Bruxelles 1830 – 1868. Hauteur : 21,5 cm – Poids brut : 527 g

Cafetière en argent uni à fond plat dite marabout. Le couvercle dôme surmonté d’une sphère. Anse en bois à enroulements. Gravée d’un monogramme « AE » sur le fond. Belgique 1830 – 1868. Hauteur : 23,5 cm – Poids brut : 610 g

Cafetière en argent uni à fond plat dite marabout. Elle est agrémentée sous le col d’un bandeau de feuilles de laurier et sur le couvercle d’arcs de palmettes. La graine représente un double bouton. Le manche en ivoire à enroulements. Maître orfèvre marquant d’un B. Gand 1831 – 1868. Hauteur : 25,4 cm – Poids brut : 624 g

Sucrier en argent, l’intérieur en verre. De forme ronde légèrement évasée, il pose sur quatre pieds griffe bordés de feuilles de laurier en rappel sur la bordure. La partie centrale est décorée de médaillons d’inspiration romaine et de caducées. Les anses représentent des dragons. Le couvercle mobile à légère doucine est gravé de feuilles et de fleurs rayonnantes, il est surmonté d’un fruit. Maître orfèvre Aimée Catherine Glerin, insculpation 1807. Paris 1809 – 1819. Poids brut : 955 g

Corbeille à fruits ajourée en argent, la base de forme losangique repose sur quatre pieds tête de lion encadrées de palmes. La bordure supérieure à contours bordés de doubles godrons en rappel sur la base. La partie centrale repercée d’ogives surmontées d’enroulements feuillagés et d’écussons. L’anse composée de deux bandeaux symétriques encadrant dans la partie centrale une chute de lyres fleuronnées. Travail Français du XIXe siècle. Longueur : 34 cm – Hauteur : 22,8 cm – Poids : 514 g

Carafe torsadée en verre, la monture en argent d’esprit rocaille. Elle pose sur un piédouche dont la bordure ajourée de rocailles et d’enroulements feuillagés se répète à la base du col. Le couvercle à charnière et l’anse à triples enroulements. Orfèvre « AH » non répertorié pour Lapar. Paris fin du XIXe siècle. Poids brut : 1 234 g

Sucrier ajouré en argent de forme ovale, l’intérieur en verre bleu. Il repose sur quatre pieds à enroulements feuillagés. Le corps composé de guirlandes fleuries, rocailles, enroulements, la bordure perlée. Le couvercle mobile bordé de pampres de vigne, le dôme central godronné surmonté d’une fleur. Orfèvre illisible. Travail Français de la fin du XIXe siècle. Longueur : 20 cm – Hauteur : 14 cm – Poids brut : 797 g

Passoire à thé en argent. La cupule centrale percée est entourée d’angelots, le décor est prolongé sur la prise. (Une petite déchirure). Travail étranger de la fin du XIXe siècle. Poids : 65 g

Service tête-à-tête en vermeil composé d’une théière, d’un pot à lait, d’une cafetière, d’un sucrier et d’un plateau rond de présentation. Modèle de style Empire, de forme balustre posant sur des piédouches bordés de feuilles de laurier en rappel sous le col et sur les bordures supérieures. Manche latéral en bois à enroulements. Travail Français début du XXe siècle. Atelier Puiforcat à Paris. Poids brut de l’ensemble : 1 701 g

Aiguière dite casque en métal réargenté. Le piédouche bordé de godrons est surmonté d’appliques délimitées par un jonc, ce dernier en rappel sous le col. L’anse à enroulements. Gravée d’armoiries encadrées d’enroulements feuillagés et surmontées d’une couronne de marquis. France, première moitié du XVIIIème siècle. Hauteur : 28,6 cm Voir détail en page 2 du catalogue.

Aiguière dite casque en métal réargenté posant sur un piédouche. Elle est décorée d’appliques délimitées par un jonc. Anse à enroulements feuillagés. Travail du XVIIIe siècle. Hauteur : 20,5 cm

Verseuse tripode en métal réargenté uni, de forme balustre. L’attache de l’anse est agrémentée d’une grande fleur de lys, le couvercle avec le couvre bec se termine par une terrasse plate. Travail de la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Hauteur : 24 cm Objet provenant très probablement d’une garnison royale.

Quatre gravures en noir d’après BOUCHER, cadre baguette doré. « la Maîtresse du jardin » « Musique Chinoise à clochettes » pour deux d’entre elles et les deux autres à décor de Chinoises et d’enfants. Gravure avant la Lettre. Tirage ancien. Accidents et restaurations. 23 x 16 cm et 31 x 19,5 cm

Suite de cinq gravures de la série « Les Petites Comédiens ». Cadre baguette doré. Piqûres et accidents. 18 x 21,5 cm

La curiosité chinoise Le jardin chinois Sanguine. 39 x 20 cm Etude en rapport avec les peintures du musée de Besançon. Provenance : Ancienne collection Paul Chevalier. Expositions : – Le dessin français de Watteau à Prud’hon, Paris, Cailleux, 1951, numéros 21 et 22. – European Masters of the Eighteenth Century, Londres, Royal Academy, 1954, numéros 279 et 283. – Schönheit des 18 Jahrhunderts, Zurich, Kunsthaus, 1955, numéros 40 et 42. – De Watteau à Prud’hon, Paris, Galerie Beaux Arts, 1956. – François Boucher, Galerie Cailleux, Paris, juin 1964.

Repos de la bergère et son troupeau Panneau de chêne, deux planches, non parqueté. 70 x 56 cm Restaurations anciennes.

La Crucifixion entre saint Jean et la Vierge Panneau, une planche, non parqueté. 16 x 13,5 cm Manques.