Bracelet en or orné dans sa partie centrale d’une miniature sur ivoire représentant le Roi Louis- Philippe d’Orléans (1773 – 1850) dans un encadrement ovale orné d’enroulements gravés de fleurs et de feuilles en rappel sur le bracelet et au revers du médaillon, ce dernier composé de maillons articulés. Le miniaturiste François Meuret fût le peintre en miniature attitré de Philippe d’Orléans et de la cour. Il peignait d’après nature et parfois d’après des tableaux de Winterhalter comme c’est le cas ici. Attribué à l’orfèvre Mellerio dit Meller nommé en 1830 fournisseur officiel de la Reine Amélie du Roi Louis Philippe et de la famille Royale. Paris entre 1830 et 1840. La miniature signée Meuret d’après Winterhalter. Longueur : 16cm – largeur : 5cm Bibliographie : Bijoux romantiques 1820-1830. Catalogue du musée de la vie romantique. Page 103 N°186-187 et 188 Jewellery from Renaissance to Art déco 1540-1850. Edition 2003. Décrits sous les N° 33-34 et 35 du catalogue. Exposé à Tokyo, Fukuoka, Nagoya et Kyoto. Parure du pouvoir. Joyaux des cours européennes. Reproduit page 229

Très grande miniature sur ivoire rectangulaire « Chasse au perdreau » porte une signature J.Isabey et datée 1825. 20 x 13,5 cm Dans un cadre en loupe d’orme.

Miniature sur ivoire « Portrait de musicien » signée en bas à gauche Justine. dans un cadre en bois doré à palmettes. XIXe siècle. 10,5 x 10 cm

Miniature de forme ronde « Portrait de Mr PETION » signée en bas à droite Lemoine. Jacques Lemoine (1752 – 1824) Monsieur PETION fut Maire de Paris. Diamètre : 6 cm Dans un cadre en bois noirci.

Boite en buis doublé d’écaille. Le couvercle orné d’une miniature sur ivoire représentant une femme au bonnet de dentelle.

Miniature sur ivoire de forme ovale « Portrait de femme à la robe blanche et ceinture bleue ». 7 x 5 cm

Bouilloire en métal argenté et son support Elle pose sur quatre pieds coquilles et enroulements. Le corps est décoré de fleurs et de feuillages. L’anse rigide est agrémentée d’isolants. Le support, de même inspiration, est agrémenté de deux larges pattes où vient s’emboîter la bouilloire. (Manque le réchaud). France, fin du XIXe siècle.

Sucrier ajouré en argent de forme ovale, l’intérieur en verre bleu. Il pose sur quatre pieds à enroulements feuillagés. Le corps est composé de guirlandes fleuries, rocailles, enroulements et la bordure perlée. Le couvercle mobile bordé de pampres de vigne avec un dôme central godronné terminé par une fleur. Orfèvre illisible. Travail français de la fin du XIXe siècle. Longueur : 20 cm – Hauteur : 14 cm – Poids brut : 797 g

Candélabre à cinq lumières en argent. La base à contours en dégradé est prolongée par un fût à six pans dont trois sont agrémentés de chutes de fleurons. Les bras à double enroulements portent des binets décorés de coquilles et de fleurs. Orfèvre Henin & Cie. Paris, fin du XIXe siècle. Hauteur : 38 cm – Poids : 2 800 g

Sucrier de forme balustre en argent uni posant sur quatre pieds à enroulements et entrelacs en rappel sur les anses, ces dernières à attaches feuillagées. Le couvercle mobile est terminé par un fruit sur une terrasse de feuilles. (Rapporté postérieurement). Orfèvre Debain. Paris, deuxième moitié du XXe siècle. Poids : 399 g

Crémier quadripode en argent. Modèle à côtes droites posant sur des pieds à enroulement et attaches coquilles. L’anse en bois à enroulements. Le bec verseur est décoré à sa base de feuilles lancéolées. Poinçon de l’orfèvre incomplet. France, fin du XIXe début du XXe siècle. Hauteur : 12,7 cm – Poids brut : 458 g

Saupoudroir en argent de forme balustre posant sur un piédouche. Il est décoré de côtes torses et de guirlandes fleuries en rappel sur l’élément mobile repercé ce dernier surmonté d’une rose. Travail étranger du début du XXe siècle. Hauteur : 19 cm-Poids : 228 g

Moulin à poivre en vermeil uni de forme balustre. Monogrammé PEC. Travail de Cardeilhac. Poids : 170 g

Taste-vin en argent uni à décor de cupules et côtes torsadées. Monogrammé DC. Poids : 105 g

Suite de deux salières doubles et six salières simples en argent. Modèle décoré en ajouré de guirlandes fleuries soutenues par un putti et d’un médaillon monogrammé. Elles posent sur des pieds biche à attaches feuillagées. On joint sept pelles à sel d’un autre orfèvre. Les salières doubles sont agrémentées dans la partie centrale d’une pyramide ajourée de faunes et de chutes de fleurons, d’un fruit dans sa partie haute et d’une pomme de pin dans sa partie basse. Atelier d’orfèvre L. Lapar. Paris, dernier quart du XIXe siècle. Poids de l’ensemble sans les verres : 616 g

Service de platerie en argent, modèle à bords contours agrafés de feuillage. Il se compose de deux plats ronds, un plat creux et un plat ovale. Travail de la Maison Keller. Poids : 3,220 kg

Grand plateau à anses en argent uni de forme ovale. La bordure perlée et alternée de cartouches ornés d’un monogramme B ? dans lequel s’imbrique une couronne de Marquis. Travail de la Maison Cartier, 9 boulevard des Italiens. Poids : 3,700 kg

Plat ovale en argent, modèle à contours bordés de perles et de feuilles d’acanthe. Le marli gravé d’armoiries d’alliance surmontées d’une couronne de marquis accompagnée d’une devise. Orfèvre Hénin et Cie. Paris, fin du XIXe siècle. Longueur : 55,5 cm – Largeur : 36 cm – Poids : 2 713 g

Partie de ménagère en argent, modèle à filets, perles et feuilles d’acanthe. L’ensemble est gravé d’armoiries d’alliance surmontées d’une couronne comtale. Composé de 16 grands couverts plus 22 grandes fourchettes, 12 couverts à entremets plus 12 fourchettes, 36 grands couteaux, 16 couteaux à fruits, 16 couteaux à fromage, 9 cuillères à dessert, 4 cuillères à café et 6 pièces de service dont une pince à asperge. Orfèvre pour la majorité des éléments Jean Puiforcat et Hénin et CIE. Paris, dernier quart du XIXe siècle. Poids des pièces pesables : 8 090 g

Cuillère à saupoudrer en argent, modèle uni – plat. Gravé dans un écusson DB. Paris1798 – 1809. (Restaurations). Poids : 65 g