Imagerie. Armée française de Louis XIII à la grande guerre dont cent-gardes et garde impériale Second-Empire, turcos, spahis, artilleurs 1914-1918… (33 planches). On joint 9 planches armées étrangères. Epinal, Nancy, Pont à Mousson.

France. Giberne de troupe (XVIIIe siècle) en cuir naturel estampé. (Insigne métal. Fleur de lys non d’origine et banderole accidentée) sinon B.E.

France. Plaque de shako. (1er Empire) Au modèle de 1812 de sous-officier d’une compagnie d’élite d’infanterie légère ou de cavalerie légère. En fer blanc à soubassement non percé et grenades aux extrémités. T.B.E.

France. Second-Empire. Casque d’officier des cuirassiers de la garde impériale. Bombe en cuivre argenté signée « A. Pestillat ». Bandeau et cimier dorés. (bonne base mais accessoires : marmouzet, tresse de crinière, rosaces de jugulaires… non d’origine.) T.B.E.

France. Second-Empire. Cuirasse de troupe de cuirassiers de la garde impériale (modèle 1854) devant et dos dépareillés (modifications de 1873) ceinture accidentée mais complète sinon B.E.)

France. Giberne de troupe de cavalerie légère (Mle 1845) coffret sans marquage (traces d’une plaque), banderole en buffle blanc piqueté de la garde impériale (manquent les motifs et les chaînettes) sinon T.B.E.

Russie impériale (fin du XVIIIe siècle). Très rare mitre de troupe de fusiliers. Bonnet en fort cuir de vache recouvert d’un gros drap jaune à bandes de protection en laiton estampées de grenades. Plaque frontale en ogive en laiton estampé de l’aigle bicéphale dans un cartouche brochant sur un riche trophée d’armes. Monogramme de Paul 1er (1796-1801) Manque la coiffe intérieure. Sinon B.E.

Russie impériale (vers 1850). Casque d’officier de service de santé en cuir noir à garnitures de métal argenté, jugulaires à écailles, cocardes (petits manques à la coiffe intérieure) sinon bel état de conservation.

Russie impériale (1855-1881). Pompon de mitre d’officier en fil d’argent avec médaillon au monogramme d’Alexandre II. T.B.E.

Russie impériale (vers 1860). Plaque de casque d’officier d’infanterie en laiton doré. (manque les attaches) sinon T.B.E.

Russie impériale (1860-1914). Cuirasse de troupe de chevalier- garde. Le devant et le dos en forte feuille de laiton garnis de clous sur les rebords. Cordonnet rouge d’origine (décousu par endroits) ceinture de cuir rouge (poinçons et date 1858 sur une chape des épaulières) intérieur de toile écrue. B.E.

Russie impériale (vers 1880). Petit coffret de giberne d’officier de cavalerie légère à pattelette en métal argenté garnie de l’aigle. Corps recouvert de chagrin vert. T.B.E. 140x70mm.

Russie impériale (vers 1885). Très bel étui à cigarette prenant la forme d’un coffret de giberne d’artillerie de la garde du tsar. Coffret et pattelette en argent (84 K.A) garnie de l’étoile émaillée brochant sur deux canons en sautoir portant l’inscription en alphabet cyrillique « 2ème batterie d’artillerie à cheval. » Le revers porte les signatures gravées de 9 officiers et les dates 1881-1885. Sur le devant du coffret figure une photographie de la dite batterie. Il s’agit vraisemblablement d’un cadeau collectif destiné à un officier supérieur ou à une personnalité, car l’objet est d’une très belle facture. (Notons que le grand duc Nicolaevitch fut chef de cette batterie qui porte son nom de 1855 à 1809) Dimensions : 165×90 mm. T.B.E.

Russie impériale (vers 1880-1917) Petite étoile en argent émaillé de coffret de giberne ou plaque de coiffure de la garde montée en broche avec initiales gravées au revers. T.B.E.

Russsie impériale (vers 1880-1917). Plaque de troupe de mitre du régiment de la garde « Pavlowski ». Reproduction ancienne.

Russie impériale (vers 1880-1917). Mitre de troupe du régiment de la garde « Pavlowski.» (reproduction ancienne) T.B.E.

Sabre d’officier de cavalerie légère (Mle de l’an IX) Du type « à la chasseur » à monture en laiton à 3 branches, poignée basane filigranée. Lame en damas décorée à l’or de rinceaux et de faisceaux de licteurs. Fourreau fer à bracelets. Laiton. T.B.E.

Epée d’officier (du type 1816). Monture en bronze. (traces d’argenture) à coquille ornée d’une fleur de lys avec le nom de son propriétaire gravé de part et d’autre ; de Lisle du Dreneuc 1815. Contre coquille gravée « Dieu et le roi. » Poignée à filigrane d’argent lame de Kligenthal datée 1822. T.B.E. Sans fourreau. (de Lisle du Dreneuc a combattu lors du second soulèvement de la Vendée en 1815)

Sabre d’officier de cavalerie légère (début XIXe siècle) d’un modèle probablement étranger dans le goût du sabre à la chasseur an IX. Monture en laiton, lame de Solingen. Fourreau fer. B.E.

Suède. Beau sabre d’officier d’état-major (début XIXe siècle) Au modèle de cavalerie légère à monture en bronze doré à branche simple moulée et ciselée de palmettes et mufles de lions. Pommeau en tête de félin, plaquettes de nacre avec initiales du propriétaire. Importants oreillons décorés de palmettes et d’un masque de guerrier antique. Deux gueules de loups donnent naissance à la branche de garde et au quillon. Lame gravée à l’acide, bleuie et dorée au tiers décorée du foudre d’état-major et des armes de Suède sur un trophée d’armes, signé « Norberg » à Stockholm. Fourreau cuir à trois garnitures laiton moulées d’animaux, de trophées d’armes, visages humains et armes de Suède. Belle dorure (manque le dard en fer de la bouterolle.) T.B.E.