Chocolatière à fond plat en argent 1er titre, à décor d’inspiration rocaille. Un médaillon central est gravé d’un monogramme LM Lebaudy Murat. Le couvercle se termine par une graine toupie.Poids brut : 742 g

Paire d’appliques de trumeau à trois lumières en argent repoussé. Lefut formé d’une guirlande de laurier sommé d’un noeud à décor ajouré.Probablement Europe centrale fin XIXe siècle.Poids : 669 g – Hauteur : 21,5 cm

Bouillon couvert accompagné de son plateau auxquels on joint un couvert et une cuillère à dessert envermeil 1er titre. Le bouillon repose sur un pied décoré de feuilles d’eau, le corps, uni dans sa partie basse,est ciselé, dans sa partie supérieure, d’une frise de palmettes, enroulements, feuilles d’acanthe et muflesde lion sur fond amati. Les anses, doubles et ornées de feuilles d’eau de refends, s’achevant par deux têtescasquées dans leur partie supérieure et une tête de bélier dans la partie inférieure. Le couvercle à doucine,bordé de feuilles d’eau, est appliqué de cygnes et rosettes alternés. La prise est formée par une rose aunaturel. Le plateau uni est bardé de feuilles d’eau, les couverts sont du modèle à filets. Gravé sur le présentoirDonné par S.S. Pie IX / 20 nov. 1877 / au comte Yvert et en bordure A Sua Santita Papa Pio IX. La CaMarescalchi Brignole Sale, 3 Giugno 1877.Le bouillon par Marc-Augustin LEBRUN, insculpé en 1808.Le plateau par C. VAHLAND, insculpé en 1810.Paris, 1809-1819.Les couverts par J. CHAUVIN, insculpé en 1825.Paris, 1819-1838.Hauteur : 14,5 cm – Poids de l’ensemble : 1 239 g

Nécessaire de voyage en acajou et incrustation de bronze doré de forme rectangulaire, contenant environquarante et un ustensiles en argent (950 ‰), métal, cristal taillé, bois d’ébène et porcelaine nécessaires àla toilette, à l’écriture et au service du thé, notamment un plateau ovale en velours rouge contenant diversoutils en acier et un étui en or (Paris, 1768-1774, poids : 9 g) ; un plat à barbe ovale en argent à palmettes; trois brosses et un blaireau à barbe ; quatre pots cylindriques en argent dont un à éponge et un autrerenfermant un gobelet en verre chiffré ; un tête à tête complet en porcelaine à décor en or et monogramméB, etc.Bon état général, certains ustensiles manquants et d’autres rapportés, manque la clé.La plupart des pièces en argent gravées d’un monogramme entrelacé JTB.Orfèvres Jean-Joseph BOURDIER (insculpation en 1798-1799) et Claude-Isaac BOURGOIN (insculpationen 1779).Paris, 1798-1809.La porcelaine par REVIL, rue Neuve des Capucines à Paris.Il porte sur son couvercle un écu gravé d’armoiries d’alliance sous couronne comtale, probablement de lafamille TRINQUELAGUE-DIONS et possiblement de Jean TRINQUELAGUE, avocat en parlement, et de sonépouse Élisabeth BRUGUIER, d’où JTB.Il repose sur une table en bois d’acajou et filets de bronze doré.

Paire de bougeoirs en argent 2e titre de forme trompette.Lausanne, fin du XIXe siècle.D’après le modèle de PAPUS et DAUTUN.Poids brut : 584 g

Bouillon couvert, son présentoir et ses couverts en vermeil 1er titre, enforme de coupe à l’antique, les anses ajourées, terminées par des feuillesd’acanthe. Le couvercle, à doucine, est bordé de feuilles d’eau et ciselé depalmettes, il s’achève par une terrasse ornée d’un couple de colombes. Leprésentoir est décoré des mêmes ornements que le couvercle. Le couvertest ciselé et gravé de palmettes, d’enroulements et de filets. Toutes lespièces gravées MO dans un écusson. L’ensemble est conservé dans sonécrin d’origine en cuir vert doré aux petits fers et doublé de velours rouge.Le bouillon et le présentoir par Nicolas-Richard MASSON, insculpé en1798.Le couvert par Gibert CASTEL, insculpé en 1798.Paris, 1798-1809.Hauteur du bouillon : 19 cm – Poids : 1077 g

Service de coutellerie à entremets (?) de trente-six pièces comprenantdix-huit couteaux avec des lames en vermeil 2e titre, le manche en nacreachevé par un culot de vermeil et orné d’un petit écusson au centre, dixhuitcouteaux au même modèle avec les lames en acier. Ils sont conservésdans leur écrin en maroquin rouge aux petits fers d’origine.Coutelier Charles GAVET, insculpé en 1820.Paris, 1820-1832.Longueur : 19,7 cmPetits accidents.

Deux bougeoirs pouvant former paire et leurs bobèches en argent 2etitre, reposant sur une base à contours moulurés et côtes torses, le fût,balustre, est légèrement tournant, le binet reprend les mêmes ornements.Les bobèches sont au modèle.Travail étranger, peut-être belge, de la fin du XVIIIe siècle ou du début duXIXe siècle.Hauteur : 24 cm – Poids : 685 g

Lot de deux bobèche en argent poids : 77.2g

Paire de flambeaux en argent, reposant sur une base circulaire ciselée d’une frise d’entrelacs et de fleuretteset scandée en trois compartiments délimités par un refend orné d’une feuille d’acanthe et de piastres. Lacloche, ciselée de canaux, est appliquée d’un cartouche (dégravé) entouré de lauriers et de rubans. Le fûtest ciselé de godrons, canaux, chutes de lauriers. Le noeud est orné d’une frise d’entrelacs et de fleurettesen rappel du pied et de feuilles d’acanthe sur fond amati. Le binet est composé de godrons, canaux et torsde laurier.Maître-orfèvre Jean HANNIER, reçu en 1756.Paris, 1774.Hauteur : 28 cmPoids : 1 440,7 g (bobèches comprises).On joint deux bobèches en argent XVIIIe siècle, rondes à filets.

Deux bougeoirs formant paire en argent, reposant sur une base à pans, lacloche moulurée de filets, le décor de pans se poursuivant sur le noeud etsur le binet. Le bord du pied gravé Wuibert et DL ; et poinçonné DL.Pas de Maître-orfèvre visible.Paris, 1737-1738.Hauteur : 21,5 cm – Poids : 834 gUsures, les bases légèrement faussées.

Bougeoir en argent 2e titre, reposant sur une base à contours moulurés etcôtes torses, le fût, balustre, est légèrement tournant, le binet reprend lesmêmes ornements.Poinçons difficiles à interpréter.Travail étranger, peut-être belge, de la fin du XVIIIe siècle. Trace demillésime 86 ?Hauteur : 25 cm – Poids : 404 gAccidents et usures, une pièce rapportée dans le binet, probablementanciennement montée en lampe.

Écuelle et son couvercle en argent, le corps uni est agrémenté d’oreillesunies à contours, filets et enroulements et coquille à l’extrémité. Lecouvercle, uni à doucine, est bordé de filets et s’achève par un boutonmouluré et uni.Maître-orfèvre Pierre II TUDIER, reçu en 1751.Béziers, 1782-1783.Longueur : 30 cm – Poids : 987 g

Paire de moutardiers en argent d’époque Louis XVI, l’intérieur en verrerouge, reposant sur trois pieds de bouc se prolongeant par une gained’acanthes et s’achevant par la tête du même animal. Entre ces dernierscourent de larges guirlandes de pampres de vigne, de roses et de fruitsfondus et ciselés. Le couvercle, bordé de godrons, s’achève par une roseet ses feuilles fondues au naturel. L’anse, à l’antique, est ciselée de roses.Maître-orfèvre non identifié : BD sous une couronne et un point, insculpétrois fois : petit, moyen et grand poinçon.Peut-être Nord de la France, vers 1780. Poinçon répertorié dans les archives mais non attribué. Provenance :Bensimon, rue RoyaleHauteur : 10 cm – Poids : 397,8 gManque une goupille des charnières.

Moutardier en argent, de forme balustre, reposant sur un pied à contours, le corps, ciselé de fines côtestorses scandées d’enroulements le long du corps et dans la partie inférieure. La partie supérieure ciselée derocailles sur fond amati. Le bec verseur est constitué d’un cartouche d’enroulements gravé postérieurementLA. Le couvercle est orné des mêmes éléments que le corps, à savoir des côtes torses bordées d’amatis, ets’achève par une prise fondue et ciselée d’un large enroulement de feuilles d’acanthe. L’anse, en console,est ciselée de filets. Le bord du pied est gravé LF.Maître-orfèvre Paul CHANDESON fils, reçu vers 1760.Perpignan, vers 1765.Hauteur : 12 cm – Poids : 236 g

Aiguière et son bassin en argent, l’aiguière reposant sur un pied à contours ciselé d’oves, le corps, deforme balustre, est ciselé d’enroulements d’acanthes, de canaux, de rocailles et de chutes de feuilles et defleurs encadrant une large coquille. Sous le bec verseur est ciselé un cartouche gravé postérieurement duchiffre IIL. Le couvercle, bordé d’oves, est ciselé de cartouches et d’enroulements et s’achève par une priseformée de fleurs et de feuilles se prolongeant en ciselure sur le couvercle. L’anse, en console, est forméed’enroulements et de feuilles d’acanthe. Le bassin, à contours bordés d’oves, est ciselé sur l’aile d’une largebande ornée de roseaux, enroulements d’acanthes, rosettes, coquilles, fleurons et rocailles.Maître-orfèvre Jacques-Pierre MARTEAU, reçu en 1757.Paris, 1769-1770.Hauteur de l’aiguière : 25,5 cm – Longueur du bassin : 32 cm

Ensemble de huit flambeaux en argent reposant sur une base circulaire à contours,ornée d’oves et de miroirs et se poursuivant par une doucine ciselée de filets scandésd’agrafes. La cloche est ornée de godrons tors bordés d’amatis et achevée par undécor en aile de chauve-souris amati. Le fût est composé par une bague godronnéesurmontée par un noeud de filets et agrafes se poursuivant par un décor de chutesde fleurons sur fond amati. Le noeud supérieur, fortement renflé, présente un décorde feuilles d’acanthe de refends aux angles, encadrant des coquilles rocailles surfond amati. Le binet, uni dans sa partie centrale, est encadré par un décor de filetset agrafes dans sa partie inférieure et d’oves et de miroirs dans sa partie supérieure.Sur deux des flambeaux, la doucine de la base est gravée d’armoiries soutenues pardes lions sous une couronne de marquis.Maître orfèvre Charles SPIRE, reçu en 1736.Paris, 1750-1754.Pour trois : lettre K, 1750-1752 (sans armoiries).Pour une paire : lettre L, 1752 (un armorié).Pour une paire : lettre M, 1752-1753 (sans armoiries).Pour un : lettre N, 1753-1754 (armorié).Hauteur : 27 cm Paris, 1750-1754.Modèle à contours, filets et agrafes.Pour trois : lettre M, 1752-1753 par Charles SPIRE reçu en 1736.Pour une paire : lettre N, 1753-1754 par Charles SPIRE reçu en 1736.Pour une paire du même modèle : lettre H 1748-1749 par EPB reçu enPour une paire modèle à contours, 1750-1756, par Charles SPIRE reçu en 1736.Hauteur : 27 cm – Poids : 6 054,2 g

Porte-huilier et ses bouchons en argent, de forme navette, reposant surquatre pieds à enroulements et feuillages d’acanthe. Les bords sont à filetset à enroulements unis, l’intérieur du bassin est gravé de pampres devigne, de roses et de guirlandes. L’un des porte-flacons et l’un des portebouchonssont ornés d’un décor de branches d’olivier, les autres éléments,en pendant, sont ornés quant à eux de ceps de vigne au naturel. Lesbouchons, à contours et enroulements, sont ciselés de rocailles, feuilles etgraines. Le bord est gravé BL ainsi que le dessous des porte-flacons.Maître-orfèvre Pierre FLAMENT, reçu en 1734.Paris, 1762-1763.

Paire de flambeaux en argent, reposant sur un pied à contours ciseléd’oves, de moulurations de filets et d’agrafes. La cloche, tournante, estornée de canaux tors bordés d’amati. Le fût est ciselé d’agrafes, de filets,de fleurons, et de quatre doubles coquilles au niveau de la partie renflée.Le binet reprend les ornements du fût et s’achève par une mouture d’oves.Maître-orfèvre Michel François DUTENS, reçu en 1759.Tours, 1771-1772.

Aiguière et son bassin en argent, l’aiguière de forme balustre repose sur un pied ciselé d’oves et de miroirs. La panseet le col, unis, sont soulignés de bandes de filets appliqués. Le bec verseur, souligné de moulures et de filets est orné,à son aplomb, de larges rocailles, coquilles, enroulements et feuilles d’acanthe. Le couvercle, uni, est bordé d’oves,et ciselé dans sa partie centrale de rocailles amaties et d’une petite graine. L’appuie-pouce est orné de rocailleset d’amatis. L’anse, en console, est ciselée de feuilles d’acanthe amaties, de coquilles et d’un escargot stylisé. Lebassin, à contours et uni, est bordé d’une frise d’oves et d’une moulurations de filets. Le corps et le centre du bassinsont gravés d’armoiries plus tardives.Maître-orfèvre Jean-François CRUCHET, reçu en 1708.Paris, 1755-56.Hauteur de l’aiguière : 22 cm – Longueur du bassin : 35 cmInfimes usures.Poids : 1 826 g