Collier en or jaune18K (750‰) à maille gourmette en chute.

Tour de cou : environ 41,5 cm – Poids brut : 81,76 g

Collier en or jaune18K (750‰) à maille ronde cordée coupée de maillons plus importants entre deux cabochons de corail séparables en quatre bracelets. Il retient un pendentif polylobé amovible à décor de croisillons cordés ornés de cabochons de corail.

Signé BOUCHERON, Paris 1607.

Vers 1987.

Longueur : environ 71 cm – Hauteur pendentif : environ 7 cm

Poids brut : 142,92 g  

Bibliographie :

Gilles NERET, Boucheron Histoire d’une dynastie de joailliers, Editions Pont Royal, un collier de même inspiration p.199.

Bracelet en or jaune18K (750‰) formé d’un ruban souple serti d’une ligne de diamants taillés en brillant entre deux lignes de rubis.

Longueur environ : 19,3 cm – Poids brut : 41,92 g

Montre-bracelet de dame mécanique en or jaune18K (750‰), le boitier carré, épaulé de godrons, le bracelet articulé d’éventails stylisés.

Vers 1950.

Tour de poignet : environ 18 cm – Poids brut : 31,4 g

Mouvement ne fonctionne pas, prévoir une révision complète, sans garantie.

Briquet en or18K (750‰) de trois couleurs entrecroisées.

Signé CARTIER Paris N°65504 B.

Hauteur : environ 7 cm – Poids brut : 99,68 g

Dans son écrin CARTIER.

Broche ovale en or jaune18K (750‰), ornée d’un motif émaillé polychrome stylisant un homme de profil dans le goût du XVIII^esiècle (accident, manque).

Signée au dos E.B. Limoges.

Fin du XIX^esiècle.

Hauteur : environ 3,5 cm – Poids brut : 7,68 g

Paire de pendants d’oreilles en ors de couleur18K (750‰) formés chacun d’un nœud de ruban retenant un motif ovale ciselé de fleurs, entourées de palmettes, retenu par des barrettes fleuronnées.

Epoque Napoléon III.

Hauteur : environ 5 cm – Poids brut : 12,47 g

Dans son écrin.

Pendentif demi-sphérique et paire de pendants d’oreilles sphériques en or jaune18K (750‰), à décor finement appliqué de torsades et grainetis.

Poinçon incomplet.

Milieu du XIX^esiècle.

Hauteur du pendentif : environ 4 cm

Hauteur des pendants : environ 5 cm

Poids brut : 23,14 g

Dans leur écrin sabot, timbré et signé MARRET et JARRY.

Croix pendentif et paire de pendants d’oreilles en or jaune18K (750‰), serties de turquoises calibrées, la première à décor ajouré, les seconds piriformes, ornés de turquoises et de perles fines cernées de torsades (accident, manque, système changé).

Dans leur écrin timbré et signé BORGNIS GALLANTY MELLERIO.

Hauteur du pendentif : environ 7,5 cm

Hauteur des pendants : environ 5,5 cm

Poids brut : 24,67 g

Bracelet rigide ouvrant en or jaune 18K (750‰) et argent, formé d’un bandeau uni, dans sa partie supérieure, ciselé de deux palmettes épaulant un motif ovale sculpté d’un scarabée en

lapis-lazuli dans un double entourage crénelé et serti de diamants taillés en rose (accident).

Epoque Napoléon III.

Tour de poignet : environ 16,5 cm – Poids brut : 43,94 g

Dans une pochette.

Tabatière ovale en or18 K (750‰) à décor toutes faces d’un semis de pastilles sur fond guilloché de filets horizontaux ; les encadrements ciselés de feuillages sur fond amati (accidents, usure).

Poinçon du Maître orfèvre Jean-Etienne THIERRY, reçu en 1775.

Paris, 1783-1784.

Poinçons :

Sur le fond, le côté et le couvercle ; Maître orfèvre, charge, jurande (lettre U).

Sur la gorge : décharge, (une aiguière).

Hauteur : 2,4 cm – Longueur : 8 cm – Largeur : 5,7 cm

Poids : 108,7 g

JULIEN LE ROY, Paris

Milieu du XVIII^esiècle.

Montre de carrosse à sonnerie en argent avec son double boîtier de protection. Boîtier extérieur sur charnière avec des trous percés sur l’ensemble (usures). Boîtier intérieur en argent avec décor de feuillages repercés. Cadran émail avec chiffres romains pour les heures, arabes pour les minutes, aiguilles stylisées, minuterie chemin de fer, double ouverture pour le remontage à clef. Mouvement à coq ciselé et repercé, échappement à roue de rencontre, balancier spiral, fusée et chaîne, sonnerie à plusieurs marteaux sur cloche, la platine porte une signature apocryphe Julien le Roy, Paris. La sonnerie par déclenchement à l’aide d’une corde.

Diamètre boîtier extérieur : 139 mm

Diamètre boîtier intérieur : 113 mm

Poids brut boîtier intérieur : 1 146,8 g

Vendue en l’état, traces d’usures visibles et notamment accidents et manques sur le double boîtier, mouvement ne fonctionne pas, prévoir une révision complète, sans garantie.

Provenance :

Nicolas LANDAU.

Très exceptionnelle montre de carrosse pour le marché ottoman.

Montre de carrosse à sonnerie et quantième en argent avec triple boîtier de protection pour le marché ottoman. Boîtier extérieur sur charnière avec des trous percés sur l’ensemble (usures et accidents). Boîtier intérieur en argent avec décor de feuillages repercés, le dos entièrement guilloché au centre. Cadran émail avec chiffres turcs, trois cadrans auxiliaires pour l’indication du quantième, de la fonction alarme pour la sonnerie et des petites secondes, minuterie chemin de fer, ouverture remontage à clef. Mouvement à platine pleine entièrement ciselée avec aiguille de réglage visible pour avance / retard, diamant au centre, échappement à cylindre, balancier spiral, fusée et chaîne, sonnerie à marteaux sur cloche, la platine porte la signature Robert Webb, London.

Accompagnée d’une chaîne avec la clef.

Robert WEBB, London, début du XIX^esiècle.

Diamètre boîtier extérieur : 125 mm

Diamètre boîtier médian : 114 mm

Diamètre boîtier intérieur : 100 mm

Poids brut boîtier intérieur : 859 g

Vendue en l’état, traces d’usures visibles et notamment accidents et manques sur le double boîtier, également des enfoncements visibles sur la carrure du boîtier intérieur, cadran avec fêles visibles, le boîtier intérieur avec des restaurations, mouvement fonctionne mais prévoir une révision complète.

Tabatière rectangulaire en or 18K (750‰) et émail,ciselée toutes faces d’encadrements de filets ondulés ou entrelacs, les écoinçons fleuronnés ; ornée de six panneaux polychromes, peints à la manière de BOUCHER, à décor de paysages et hameaux ; le couvercle, orné d’une scène, représentant des enfants assis et deux cygnes attaquant un chien ; le revers, d’une jeune femme assise près d’un pont ; les côtés, à décor d’enfant avec chien, puits ou fontaine (restaurations).

Poinçon du Maître orfèvre Jean DUCROLLAY, reçu en 1734 et poinçon du Maître orfèvre Paul ROBERT, reçu en 1747.

Paris, (1759-1760) et (1760-1761).

Poinçons :

Sur le fond : Maître orfèvre (Jean DUCROLLAY), charge, jurande (lettre V).

Sur le couvercle : Maître orfèvre (Paul ROBERT) charge, jurande (lettre V).

Sur la gorge : Maître orfèvre (Jean DUCROLLAY), jurande (lettre T) ; décharge, (une coquille) et Gar. XIX^e, une tête d’aigle.

Hauteur : 3,7 cm – Longueur : 7,1 cm – Largeur: 5,2 cm

Poids brut : 182,08 g

Provenance :

Galerie J.KUGEL.

Remarques :

A l’instar de notre tabatière, une autre tabatière de DUCROLLAY, insculpée également du poinçon d’un second orfèvre, (TIRON), datée de 1760 -1761 et 1762-1763, fait partie des onze boîtes de DUCROLLAY de la collection du musée du Louvre ; Serge GRANDJEAN, indiquant dans son ouvrage, les Tabatières du musée du Louvre, p. 91 : Ducrollay se transféra place Dauphine pour le reste de sa carrière qui se termina semble-t-il en 1761 ; probablement, notre tabatière a été également commencée parDUCROLLAYet achevée par un second orfèvre, (PaulROBERT).

Jean DUCROLLAY, (1734-1761… cité jusqu’en 1766), fut l’un des orfèvres, joailliers-bijoutiers des plus talentueux et renommés de son temps ; après son apprentissage chez JeanDRAIS, il est reçu Maître en 1734, et fait insculper son poinçon, (fleur de lys couronnée, deux grains, J Det un cœur) ; par sa grande production et la qualité remarquable de ses créations, ses œuvres sont représentées dans de nombreuses et importantes collections publiques et privées.

Paul ROBERT(1747-1779), apprenti chez André BALMONT, reçu Maître en 1747, il fait insculper son poinçon, (fleur de lys couronnée, deux grains, P Ret une rose) il eut notamment comme collaborateurs, PARPETTE et les VanBLARENBERGHE, miniaturistes.

Le Louvre possède deux tabatières de Paul ROBERT ; elles sont également représentées, au musée Cognacq-Jay, au Metropolitan Museum et au Victoria & Albert Museum, ainsi que dans de grandes collections privées.

Montre savonnetteen métal argenté à remontoir.

Porte-monnaie en tissu de maille d’or jaune18K (750‰) retenant quatre billettes en pampille.

Hauteur : environ 8,5 cm – Poids brut : 32,63 g

Boucle de ceinture en or jaune18K (750‰) à décor de panaches et de feuillages (accident, manque).

Poinçon de l’orfèvre incomplet.

Paris, époque Restauration.

Longueur : environ 8,5 cm – Poids brut : 27,42 g

Parure en argentcomposée d’une broche pendentif, d’un pendentif et d’une chaîne à maille forçat et d’une paire de pendants d’oreilles, la première losangique sertie de tourmalines vertes ou de pierres roses imitation sur paillon, et de demi-perles sur un fond ajouré d’enroulements. Le deuxième et les troisièmes de même inspiration sertis de pierres imitation (accident, manque).

Largeur de la broche : environ 6,5 cm

Hauteur du pendentif : environ 6 cm

Hauteur des pendants : environ 2,5 cm – Poids brut : 32,02 g      

Bracelet bandeau rigide en or jaune18K (750‰) ajouré de filigranes.

Tour de poignet : environ 18,5 cm – Poids brut : 32,35 g

Montre-bracelet de dame mécanique en or gris 18K (750‰) et platineà boîtier rectangulaire, le cadran encadré de quatre diamants taillés en brillant dans des motifs carrés.

Cadran signé VULCAIN.

Vers 1925.

Poids brut : 12,66 g

Mouvement ne fonctionne pas, prévoir une révision complète, sans garantie.