Quatre flacons en verre, reposant sur une base en argent I^er titre comme les couvercles.

Travail français.

Poids des éléments pesables : 141,69 g – Hauteur : 14 cm

Huilier-vinaigrier en argent I^er titre, avec deux flacons en verre (manque un bouchon).

Travail français dans le style du XVIII^e siècle.

Poids : 255,66 g – Hauteur : 21 cm

Pot à lait en argent à décor d’agrafes et motifs floraux. Repose sur trois pieds.

Travail étranger.

Poids : 96,30 g – Hauteur : 10 cm

Verseuse en argent I^er titre à décor ciselé de personnages dans des cartouches. Repose sur trois pieds à enroulement. Anse en bois.

Travail dans le style du XVIII^e siècle de la Maison CARDHEILLAC.

Poids : 306,14 g – Hauteur : 17 cm

Paire de bouts de table en argent I^er titre à deux bras de lumière mouvementé.

Travail français style Rocaille.

Poids : 1 233,80 g – Hauteur : 15 cm

Deux putto dansant en argent I^er titre. Repose sur des socles d’ébène et plaquette de lapis-lazuli (l’un détaché).

Poids brut sans les socles en bois : 221,80 g

Hauteur : 14 cm

Paire de salerons en argent 1^er titre représentant des putti sur et tirant un char. Provenance indéterminée.

Hauteur : 10,5 cm – Largeur : 10 cm

Soupière en argent au 1^er titre. Elle pose sur un piédouche de forme ovale à quatre contours en rappel sur le corps et sur le couvercle. Ce dernier mobile, se termine par un choux. Le corps et le couvercle sont gravés sur chaque face d’armoiries d’alliance surmontées d’une couronne de marquis. Les deux anses à attaches de fruits et de fleurs.

Orfèvre Emile HUGO, inculpation 1853.

Paris, 1853-1880.

Poids : 1 754,32 g

Moutardier en argent, l’intérieur en verre incolore. Les trois pieds représentent des amours ailés tenant un arc et une flèche le long de leurs jambes. Le couvercle à charnière se termine par un fruit. Anse à enroulement décorée d’une branche de laurier.

Orfèvre Ambroise MIGNEROT, insculpation 1800.

Paris, 1809-1819.

Poids de la monture : 107,60 g – Hauteur : 12 cm

Bassinoire en métal argenté de forme ronde. Le couvercle à charnière avec une prise bouton est entièrement ajouré de rosaces et de feuillages entre des bandeaux se terminant au centre par un cercle uni. Le long manche en bois de palissandre se visse dans sa hotte. 

Travail du XVIII^e siècle.

Longueur de la bassinoire : 37 cm – Longueur totale : 100 cm

Paire de petits bougeoirs en bronze argenté. La base de forme carrée à pans coupés se prolonge par un fût également à pans coupés gravés de feuillages. Les bordures sont accompagnées de godrons. La base est gravée d’armoiries de jeune femme surmontée d’une couronne de marquis.

Travail du XVIII^e siècle.

Hauteur : 16 cm

Paire de petits bougeoirs en bronze argenté. La base ronde à légers contours bordés de filets enrubannés se prolonge par des chutes de godrons se terminant par un point. Ce décor est inversé à la base des binets. 

Travail du XVIII^e siècle.

Hauteur : 15 cm

Porte-mouchette et ses porte-bougies. La base, de forme rectangulaire à contours bordés de godrons, pose sur quatre pieds à enroulements. Deux cariatides opposées supportent les deux bras porte-bougie. Sous le manche, légèrement en éventail décoré de filets, figure un anneau (manque les ciseaux).

Travail du XVIII^e siècle.

Longueur : 20,3 cm

Grand plat de vénerie en métal argenté. Modèle de forme ronde bordé de godrons. Au centre des armoiries d’alliance surmontées d’une couronne comtale sont portées par deux lions. 

Travail français du premier quart de XVIII^e siècle.

Diamètre : 54 cm

Pot à oille en bronze argenté. De forme balustre, il pose sur quatre pieds griffe à attaches rocaille en rappel sous les anses à enroulements de godrons. La partie centrale est gravée d’une grande coquille. Le couvercle dôme, surmonté d’un artichaut au naturel, est bordé d’un jonc. Sans sa doublure.

Ancien travail français.

Poinçon au C couronné.

Taxe sur le cuivre pour la période 1745-1749.

Longueur aux anses : 33 cm – Hauteur : 37,5 cm

L’ancien propriétaire avait retrouvé une soupière en argent de même inspiration réalisée par Alexandre Maximilien de RIBEAUCOURT, originaire d’Abbeville, au musée d’art et d’histoire de Genève.

Très grande verseuse tripode en argent. Modèle de forme balustre à côtes torsadées en rappel sur le couvercle dont la terminaison représente deux colombes (manque un bout d’aile) séparées par un carquois. Les attaches des pieds formant un écusson sont décorés de guirlandes et d’une cordelette en bordure. Sous le bec verseur feuillagé sont gravés deux monogrammes. Le manche et ses attaches sont d’époque postérieure.

Sans orfèvre.

Lille, 1792-1797, repoinçonnée en 1798-1809.

Poids brut : 1 338,98 g – Hauteur : 35 cm

Paire de plats en argent uni. Modèle de forme ovale bordé de coquilles. 

Maître orfèvre CP différent, une épée couronnée et deux grains non identifié.

Paris, 1789-1792.

Poids : 2 583,75 g – Longueur : 51,7 cm – Largeur : 30,7 cm

Paire de coquetiers en argent. Ils posent sur un piédouche à pans, ces derniers en rappel sur la partie haute. 

Maître orfèvre Mathieu de MACHY, reçu en 1770. 

Paris, 1789-1792. 

Poids des deux coquetiers : 86,17 g – Hauteur : 6,7 cm

Cet orfèvre était le frère du peintre du même nom.

Suite de quatre flambeaux en argent. La base à contours en dégradé se prolonge par des filets délimitant la cloche. Les fûts et les binets reprennent le mouvement de la base (choc à l’un d’eux).

Maître orfèvre Jean-François BALZAC, reçu en 1749.

Paris, 1756.

On joint quatre bobèches en argent du XVIII^e siècle.

Poids de l’ensemble : 2 553,33 g

Hauteur sans bobèche : 26,5 cm

Plat en argent en suite avec le précedant de forme ovale à contours et bouts rentrés. Le marli gravé d’armoiries d’alliance surmontées d’une couronne comtale.

Maître orfèvre Joseph DUTENS.

Tours, 1746.

Poids : 868,48 g

Longueur : 35,7 cm – Largeur : 25,5 cm