Superbe console en acajou et placage d’acajou. Repose sur des lions ailés. Ouvre par trois tiroirs en ceinture. Fond de miroir. Dessus de marbre Turquin.
Estampille de KOLPING.
Epoque Empire. (deux bronzes à refixer, très petits accidents).
Hauteur : 90,5 cm – Largeur : 129 cm – Profondeur : 46,5 cm

Othon KOLPING (1775-1853), ébéniste parisien établi vers 1804 place St Antoine spécialisé dans les meubles en acajou.

Paire de fauteuils en placage d’acajou à dossier renversé, les accotoirs reposent sur des demi-balustres plats moulurés. Pieds antérieurs fuselés à bagues d’acajou (rosettes de bronze à refixer).
Attribués à Jean-Baptiste DEMAY.
Epoque Empire.
Hauteur : 90 cm – Largeur : 58 cm – Profondeur : 52 cm

Bureau plat en placage d’acajou ouvrant par trois tiroirs, pieds console. Plateau à tablettes latérales.
Style Empire (insolé).
D’après un modèle de Jacob DESMALTER.
Hauteur : 75 cm – Largeur : 176 cm – Profondeur : 88 cm

Encoignure en placage de palissandre marquetée en feuille, la façade ouvrant par deux portes mouvementées.
Plateau de marbre brèche violette.
Estampille de B. SIMONEAU.
Epoque Louis XV (accidents, manques, restaurations).

B. SIMONEAU, ébéniste dont on ne connaît qu’un bureau plat.

Lampe bouillotte en bronze à trois lumières. Abat-jour en tôle peint en vert.
Style Empire, fin du XIXe siècle (redorée).

Trumeau en bois laqué blanc et or rectangulaire à décor de thyrses et palmettes. Le miroir surmonté d’un panneau cintré dans lequel s’inscrit un motif décoratif à large palmette.
202 x 121 cm

Armoire en placage d’acajou de forme rectangulaire, ouvrant par deux portes encadrées de colonnes détachées.
Epoque Restauration (accidents).
Hauteur : 195 cm – Largeur : 96 cm – Profondeur : 46,5 cm

Lustre en bronze patiné et doré.
Style Empire.

Fauteuil de bureau en placage d’acajou à large dossier à bandeau incurvé surmonté par des volutes. Les accotoirs supportés par des dauphins. Pieds antérieurs en jarret de lion, postérieurs en carquois.
Epoque Restauration (insolé, accidents au dossier, deux éléments à refixer).
Hauteur : 92 cm – Largeur : 58 cm – Profondeur : 52 cm

Tabouret néo-gothique en noyer.

Encrier en placage d’ébène, ronce de frêne et bronze ciselé patiné et doré reposant sur une plaque de marbre griotte, de forme rectangulaire présentant une jeune femme agenouillée qui soutient deux cornes d’abondance. La base présente un tiroir destiné aux plumes.
Epoque Empire (éléments détachés).
Hauteur : 23 cm – Largeur : 31 cm – Profondeur : 19 cm
Bibliographie :
Le plus pur style Empire, Plaisir de France, Nov. 1956, p. 30.
Le banquier PERREGAUX, alors propriétaire de l’ancien Hôtel de Mademoiselle GUIMARD possédait un exemplaire mentionné une écritoire en racine d’if à figure de femme à genoux et en bronze locataire de deux cornes d’abondance. (Fig. 1)
Dans la vente des collections de Lord ELGIN, grand client de Lignereux, figurait un encrier identique à l’exception du marbre et des deux porte-plumes, vente Sotheby’s Londres, le 12 Juin 1992 lot 307.

Bureau plat toutes faces en acajou. Il présente trois tiroirs en ceinture à défoncement et moulurés.
Angles arrondis à cannelures. Pieds fuselés cannelés. Le plateau foncé de basane souligné d’une main courante en bronze. Deux tirettes latérales.
Estampille de PAPST.
Epoque Louis XVI.
Hauteur : 74,5 cm – Largeur : 111 cm – Profondeur : 61 cm
François Ignace PAPST reçu Maître en 1785.

Large console en placage d’acajou, la ceinture fixe, elle repose sur des cariatides en gaines en bronze ciselé et doré. La partie postérieure ornée d’un miroir. Plateau de marbre griotte.
Trace d’estampille de JACOB.
Epoque Empire.
Quelques bronzes probablement rapportés.
Hauteur : 93 cm – Largeur : 157 cm – Profondeur : 49 cm

Trumeau en bois et pâte laqués à l’imitation du bronze patiné et partiellement doré.
La partie supérieure à décor d’hippocampes stylisés de part et d’autre d’un vase antique surmonte un miroir encadré de fleurons, de palmettes et de têtes de Bacchus.
Travail probablement italien, début du XIXe siècle (accidents et manques).

Garniture de cheminée en bronze patiné et doré. Elle se compose d’une pendule formée d’un grand vase à anse sur piédouche à mi-corps orné en applique de frises de vestales. Le cadran à cercles tournants dissimulé laisse apparaître les chiffres par un guichet.
Le mouvement signé MOINET L’Aîné.
Les deux vases au modèle de la pendule et de la même époque.
Hauteur : 70,5 cm – Côté : 25,5 cm
Référence :
Vente Palais Galliera, 21 juin 1974 Laurin – Guilloux – Buffetaud, n°59 du catalogue reproduit.

Rare pendule perpétuelle à six cadrans en bronze, elle indique les heures, les jours, les mois, les phases de la lune, les levers et couchers du soleil.
Base de marbre griotte reposant sur de petits pieds de bronze ciselé et doré formés de griffes.
Le cadran signé LEBLONDEL, COUTANCES, 1797.
Sous une cage de verre ancienne.
Hauteur : 54 cm – Largeur : 40 cm – Profondeur : 12 cm

Paire de consoles d’applique en bronze ciselé et doré.
Epoque de la fin du XIXe siècle.
Hauteur : 20 cm

Miroir à cadre orné de guirlandes et frise de perles.
Surmonté d’un vase à l’Antique.
Epoque Louis XVI.
97 x 61 cm

Commode en acajou et placage d’acajou incrusté de filets d’ébène. Ouvre par cinq tiroirs sur trois rangs. Angles arrondis à cannelures, plateau de marbre Saint-Anne rapporté.
Epoque Louis XVI (bronzes rapportés, manque une poignée, un pied arrière accidenté).
Hauteur : 90 cm – Largeur : 126 cm – Profondeur : 56 cm

Vitrine ouvrant par une porte. Plateau de marbre encastré.
Style Louis XVI.
Hauteur : 147 cm – Largeur : 65 cm – Profondeur : 32 cm