Sautoir composé d’un rang de soixante treize perles fines d’environ 5,1 à 10,7 mm, agrémenté d’un fermoir en platine 850 ‰, orné d’un diamant ovale pesant
environ 0,6 ct dans un entourage de diamants taille 8/8.
Poids brut : 40,5 g – Longueur : 69 cm
ll est accompagné d’un certificat LFG n°389228 daté du 02/03/2022, attestant soixante treize perles fines d’eau de mer, couleur blanc crème, pas d’indication de traitement.

Montre pendentif pour dame dite Boule de Genève avec broche en or (750 ‰), à décor de volutes, entièrement pavée de cabochons de turquoises et de demi-perles,
retenant une montre boule à l’identique, cadran émaillé blanc avec chiffres arabes peints. Mouvement mécanique, remontage en tournant la boîte
(manque quelques cabochons, une turquoise changée, mouvement en l’état).
Travail étranger vers 1870.
Poids brut : 95,2 g – Hauteur : 12 cm

UTI
Montre-bracelet de dame le couvercle dissimulant le cadran en or (750 ‰), cadran brossé avec index bâtons gravés signé UTI, capot à décor tressé rehaussé
d’une ligne de diamants brillantés. Mouvement quartz. (sans garantie d’état pour le mouvement)
Bracelet tressé en or (750 ‰) avec fermoir à cliquet sécurisé.
Travail français vers 1960.
Poids brut: 29,1 g – Long: 16 cm

JAEGER-LeCOULTRE
Montre-bracelet de dame le couvercle dissimulant le cadran en or (750 ‰), cadran avec index bâtons et chiffres arabes appliqués, couronne au dos, aiguilles
dauphines, numérotée 141655. Capot à décor tressé et godronné rehaussé de petits diamants brillantés. Mouvement mécanique.
Bracelet tressé et godronné en or (750 ‰) avec fermoir à cliquet sécurisé (mouvement fonctionnel, révision à prévoir, sans garantie d’état pour le mouvement).
Travail français vers 1960.
Poids brut : 45,6 g – Longueur : 20 cm

Pendentif en or (750‰) et argent (800 ‰), composé d’une calotte pavée de roses diamantées, retenant en pampilles des perles de culture alternées de boules
d’or (transformation).
Poids brut : 4,7 g – Hauteur : 5,5 cm

Montre de col en or (750 ‰), cadran émaillé blanc avec chiffres romains peints, chemin de fer pour les minutes. Dos de boîte finement gravé d’un
monogramme. Mouvement mécanique. Cuvette intérieure en or (750 ‰).
Travail français de la fin du XIXe siècle. (sans garantie d’état pour le mouvement).
Poids brut : 16,2 g – Diamètre : 27 mm

LONGINES
Montre de poche en or (750 ‰), cadran argenté légèrement patiné, chemin de fer et chiffres arabes peints noirs, petite seconde à six heures en relief, aiguilles
bleuies trèfles. Boîtier fin, fond clipé signé du sablier Longines, carrure de tranche striée.
Mouvement mécanique à remontage manuel signé Longines, référence 1895M, numéroté 4’316’777. Circa 1925. (sans garantie d’état pour le mouvement).
Poids brut : 50,8 g – Diamètre : 45 mm

Montre de col en or (750 ‰), cadran rond émaillé blanc, chiffres romains peints, chemin de fer pour les minutes, lunette à décor facetté, mouvement
mécanique. Cuvette intérieure en or (750 ‰) (petits chocs, sans garantie d’état pour le mouvement).
Poids brut : 20,1 g – Diamètre : 3 cm

Montre de poche en or (750 ‰), cadran émaillé blanc avec chiffres arabes peints, chemin de fer pour les minutes, échelle 24H, petite trotteuse à 6 heures.
Mouvement mécanique, cuvette intérieure en or (750 ‰) (état fonctionnel).
Travail français de la fin du XIXe siècle, début du XXe siècle. (sans garantie d’état pour le mouvement)
Poids brut : 79,3 g – Diamètre : 4,8 cm

Médaille en cuivre commémorant l’Occupation de l’Hanovre par l’armée française en 1803 et le Traité d’Amiens rompu par l’Angleterre en mai 1803, ornée sur
l’avers d’une panthère déchirant un rouleau de parchemin symbolisant le traité d’Amiens, et au revers une Victoire ailée sur son cheval surmontant l’inscription
frappée avec l’argent des mines d’Hanovre l’an 4 de Bonaparte.
Diamètre : 4,1 cm

Marie-Adélaïde DUVIEUX née LANDRAGIN (active, 1791-1798, née en 1761)
Portraits de deux enfants jouant de la musique.
Rare miniature ronde peinte à la gouache, figurant un garçon jouant du violon aux côtés de sa soeur jouant du piano-forte, sur la partition apparaît la signature
de l’artiste Landragin / Duvieux.
Cerclage en métal doré, dos en nacre.
Dans un écrin rond en maroquin rouge de la Maison MELLERIO dits MELLER, 9 rue de la Paix à Paris, doré aux petits fers à décor de fleurs en mosaïque et
monogrammé d’un côté JD et de l’autre FD, intérieur en velours de soie cramoisi. Très bon état général.
Diamètre : 7,4 cm – Diamètre de l’écrin : 11,5 cm

Rare tabatière en écaille brune de forme rectangulaire à bords incurvés, le couvercle monté à charnière en or 750 ‰ est appliqué d’une plaque d’argent
rectangulaire sous verre bombé renfermant un précieux profil en cire blanche au portrait lauré de l’Empereur et Roi Napoléon Ier, bordée de diamants taillés en
roses et flanquée de chaque côté d’un N couronné sertis de roses diamantées. Restauration au niveau du cou, léger manque d’écaille sur le bord gauche.
Nettoyée par la Maison CHAUMET à Paris.
France ou Italie, début du XIXe siècle.
Le repértoire décoratif légèrement différent des canons français nous fait penser que cette tabatière pourrait avoir été réalisée en Italie, Napoléon étant roi
d’Italie entre 1805 et 1814.
Hauteur : 2 cm – Largeur : 8,5 cm – Profondeur : 6,5 cm
Poids brut : 96,3 g.
Spécimen en écaille de tortue marine spp. Conforme au règle CE 338 / 97 art.2.w.mc du 09 / 12 / 96. Spécimen antérieur au 1er juin 1947. Pour une sortie de l’UE, un CITES de ré-export sera nécessaire, celui-ci étant à la charge du futur acquéreur (I / A) (CE) pré-convention.
Provenance :
Probablement un présent de l’empereur Napoléon Ier.
Collection du Palais princier de Monaco.
Collection privée.

Broche ovale en métal doré incrustée d’un portrait miniature peint à la gouache figurant l’empereur Napoléon Ier en uniforme de colonel des Chasseurs à cheval
de la Garde, d’après un modèle de Jean-Baptiste ISABEY (1767-1855) circa 1812, sous verre, avec une chaînette (légères restaurations en bas).
Début du XIXe siècle, après 1812.
Hauteur : 7 cm – Largeur : 5,5 cm
OEuvres en rapport :
Plusieurs miniatures par ISABEY datées de 1812 ayant servi de modèles à notre portrait sont conservées dans des musées, par exemple une à Cognacq-Jay (inv.
J742) ou une autre à l’Institut de la littérature russe de Saint-Pétersbourg.

Nicolas BRIOT et Pierre REGNIER.
Louis XIII, roi de France (1610-1643)
Très rare médaille, alliage cuivreux, 1613.
Avers : * LVDO(VICVS) * XIII * D(EI) * G(RATIA) * FR(ANCIAE) * ET * NAVAR(RAE) * REX * CHRIS(TIANISSIMVS) * , Louis XIII, par la grâce de dieu, roi très chrétien
de France et de Navarre.
Le buste lauré du roi regarde à droite. Il porte une fraise circulaire, une cuirasse drapée et ornée d’un mufle de lion sur l’épaule. Il arbore le collier de l’Ordre du
Saint-Esprit.
Sous le buste, * 1613 *.
Revers : * DAT * PACCATVM * OMNIBVS * AETHER * , elle donne un ciel paisible à tout le monde.
Marie de Médicis, figurée en Junon, est habillée à l’antique. Regardant à droite, elle est assise sur un arc-en-ciel qui domine un paysage. Elle tient un sceptre de
la main gauche et un paon de la main gauche.
De part et d’autre de la légende, * 1613 *.
Magnifique frappe originale. Superbe portrait.
Diamètre : 5,25 cm
Le revers est celui de la médaille créée pour la régence de Marie de Médicis. REGNIER en est l’auteur. Le portrait du roi a été gravé par Briot, d’après un modèle
en cire de Guillaume DUPRE.
Nicolas BRIOT (vers 1579-1646) est un des plus importants graveurs de son époque. Tailleur général des monnaies en 1605, il est l’auteur des poinçons de
plusieurs monnaies et de nombreux jetons et médailles frappés. Il s’exile en 1625 en Angleterre à la suite de conflits avec la Cor des Monnaies, en partie liés à
l’introduction de la frappe monétaire au balancier (cf. Mazerolle, tome I, p. CIX-CXXIX).
Nous reprenons dans cette notice les informations issues de l’ouvrage rédigé par Thierry Rouhette et Francesco Tuzio, Médailles françaises des XVe, XVIe et XVIIe
siècles du Musée des Beaux-Arts de Lyon.

Centenaire du royaume de Prusse (1701-1801).
Rare médaille en argent commémorative du Centenaire de la Prusse, figurant sur l’avers les portraits en bas relief des rois Frédéric Ier, Frédéric Guillaume I, II et
III, le revers est orné d’un scène allégorique surmontant la date 18 janvier 1801, légendes en allemand.
Diamètre : 5,7 cm – Poids : 70,9 g

Boîte ronde en loupe d’orme et écaille tachetée, le couvercle incrusté d’une miniature ronde figurant une femme (artiste?) assise sur une chaise tenant dans les
mains et montrant une huile sur toile ovale au portrait d’une jeune fille, probablement la sienne, présenté sur un chevalet (usures et petits manques).
Vers 1780.
Hauteur : 3 cm – Diamètre : 8 cm
Spécimen en écaille de tortue marine spp. Conforme au règle CE 338 / 97 art.2.w.mc du 09 / 12 / 96. Spécimen antérieur au 1er juin 1947. Pour une sortie de l’UE, un CITES de ré-export sera nécessaire, celui-ci étant à la charge du futur acquéreur (I / A) (CE) pré-convention.

Rare lorgnette de poche et son étui au chiffre de l’empereur Napoléon Ier. La lorgnette en laiton doré rétractable, l’objectif garni du cuir vert bordé de frises à
palmettes, non signée. Dans son étui circulaire en carton gainé de cuir rouge frappé aux petits fers dorés du chiffre N couronné de l’empereur Napoléon Ier dans
un semis de pensées, s’ouvrant à charnière par un bouton poussoir en acier facetté, intérieur garni de velours bleu et de soie crème. Très bon état.
Époque Empire.
Hauteur : 11,5 cm – Diamètre : 4,5 cm (déployé)
Ecrin :
Hauteur : 3,7 cm – x Diamètre : 5,7 cm
OEuvres en rapport :
Une lorgnette similaire avec placage de nacre dans un écrin en cuir rouge au chiffre de Napoléon (non couronné) est conservée au château de Fontainebleau
(inv. F.2016,5), signée par CHEVALIER.
Une lorgnette similaire de théâtre dans un écrin en cuir rouge au chiffre de l’impératrice Joséphine est conservée au château de Malmaison (inv. M.M.66.1),
signée par l’opticien LEREBOURS (1761-1840).
Une lorgnette similaire en cuivre argenté et corne dans un écrin en cuir rouge au chiffre de Napoléon est conservée au Musée de l’Armée à Paris (inv. 6212),
signée par BAPST.
Historique :
Légèrement myope, l’empereur Napoléon faisait usage au quotidien, à Paris comme en campagne, de lorgnettes ou longues-vues de poche, cette lunette
d’approche de petite taille servant à distinguer des objets situés à quelques dizaines de mètres.
Notre exemplaire, malheureusement non signé, correspond par ses matériaux luxueux aux objets de raffinement que privilégiait l’Empereur.

Tabatière rectangulaire en agate et nacre montée en or (750 ‰) à décor finement ciselé de rocailles et de fleurs, s’ouvrant à charnière par un poussoir
mouluré. Une plaque de nacre fendue et quelques manques aux angles.
Allemagne ou Angleterre, XVIIIe siècle.
Sans poinçon apparent. (petits accidents et fêles)
Hauteur : 3,3 cm – Largeur : 5 cm
Profondeur : 4 cm
Poids brut : 53,5 g

Boîte à mouches en vernis Martin sur âme de carton, à décor japonisant imitant le laque or sur fond rouge, montée en or (750 ‰) de style Louis XV, s’ouvrant à
charnière par un poussoir à rocailles et renfermant trois compartiments, deux décorés en suite s’ouvrant à charnière pour les mouches, un pour le pinceau
(manquant), au revers du couvercle un miroir au mercure (usures et manques aux angles).
Paris, 1750-1752 (trace du poinçon de l’orfèvre perceptible mais non lisible).
Hauteur : 2,5 cm – Largeur : 6 cm
Profondeur : 4,7 cm
Poids brut : 76,7 g

Tube de rouge à lèvres en or (750 ‰), à décor de vannerie. Numéroté 29 (petit enfoncement).
Poinçon de Maître de Pierre BRUN.
Accompagné d’un étui en daim noir.
Poids : 24,8 g – Hauteur : 5,5 cm)
Pierre BRUN ayant travaillé dans les années 80 avec de nombreuses maisons joaillières telles que Cartier, Fred, etc.