Lot de targettes comprenant : Targette monogrammée en fer repercé, gravé et ciselé du XVIIe siècle. La platine en forme de navette terminée haut et bas par deux larges fleurons gravés de feuillages. La partie ovale est repercée de deux monogrammes figurant les lettres MVT entremêlées. Forts étriers striés et important bouton en sphère aplatie surmontée d’un téton.Travail français du XVIIe au monogramme non identifié (accident, calamine et usure sur la surface de la platine).Hauteur : 16,5 cm – Largeur : 5,2 cm Référence : Un modèle semblable dans la collection Le SECQ des TOURNELLES (Metmann n° 622).Targette de fer repoussé, ornée de deux monogrammes, époque Renaissance. La platine repoussée de monogrammes entremêlés, l’un et l’autre flanqués de volutes et surmontés d’une palmette. Le pêne manque. Fer et tôle de fer, forgé, repoussé et repercé.France, fin du XVIe siècle. Hauteur : 15,9 cm – Largeur : 5,5 cmRéférence : Un modèle identique Metmann n° 679. Targette en fer repoussé au chiffre de Diane de Poitiers de l’époque de la Renaissance. La platine est repoussée de cuirs dessinant un fort H surmonté aux deux extrémités d’un croissant dans un encadrement cintré orné d’un pointillé. Le bouton en cône godronné surmonté d’un petit ornement. Les étriers du pêne en tronc de pyramide. Le H et les croissants peuvent s’appliquer indifféremment à Henri II comme à Diane de Poitiers. Semble provenir du Château d’Anet, demeure de la Grande Sénéchale, où l’ensemble de la décoration mêle ses propres chiffres à ceux de son royal amant. Hauteur : 13,1 cm – Longueur : 6,9 cm Référence : Pour un modèle quasi identique CRMH : Les targettes, volume 1, pl 23.Deux targettes de décor similaire aux armes des Montmorency, d’époque Renaissance. L’une à platine, chantournée, en forme de bouclier est repoussée d’un important H largement mouluré terminé de deux demi-cintres. Les deux demi-cintres présentent l’alérion des Montmorency sous un encadrement de frise de perles et d’olives. Les étriers sont ciselés d’une frise de chevrons. Le bouton en cône orné de godrons. Traces d’étamage au revers. Fer forgé repoussé et ciselé. Circa 1550. Hauteur : 13,2 cm – Largeur : 6,6 cmL’autre à platine, à décor symétrique, est repoussée en son milieu d’un H constitué par un jeu de trois petites moulures parallèles dessinant les contours de cette lettre. De part et d’autre du H, la platine est terminée par un demi-cercle encadré d’olives et de perles alternées au centre duquel est repoussé un alérion. Les picolets sont ciselés d’une frise de chevrons. Le bouton, conique, est ciselé d’une corolle en fort relief surmontée d’un petit balustre. La platine est cassée en deux parties à la hauteur du pêne, mais sans manque au décor. Très élégant travail de fer repoussé et ciselé aux pièces d’armes d’Anne de Montmorency. Largeur : 7 cm – Hauteur : 26 cm Référence : Metmann, Le métal, n° 388 et 404.

Lot de targettes comprenant :Très belle targette encloisonnée à décor à l’antique circa 1550. La platine, rectangulaire, encadrée d’une triple mouluration fixée en applique, est repoussée sur toute sa surface d’un très riche décor de satyre, de nymphe, personnages à l’antique, tête de griffons et de chimères mêlés de rinceaux et de volutes entourant au centre l’épée en pal. Le bouton figure un buste de guerrier casqué, ciselé en ronde bosse. Fer et tôle de fer mouluré ciselé, repoussé vers 1550. Les petites moulures de l’encadrement, en haut et en bas ont été vraisemblablement remplacées comme le plus souvent puisque ces deux parties, prolongées de longues pointes servaient à fixer la targette dans la porte. Elles ont été le plus souvent détruites lors de la dépose ou perdues. Hauteur : 14,9 cm – Largeur : 6,8 cm Référence : Voir Le SECQ des TOURNELLES, pl. 159 et 160 ; Musée Grobet Labadie à Marseille …Deux belles targettes encloisonnées à décor similaire à l’antique.L’une est encloisonnée à décor à l’antique circa 1550. La platine, en rectangle terminé par deux demi-cercles, est entourée d’un cadre à triple mouluration (manque les baguettes supérieure et inférieure) fixé en applique. Toute la surface de la platine est repoussée d’un décor présentant un cartouche encadré de deux filets enserrant un chapelet de perles et d’olives ainsi que de petites croix. Il est couronné en partie haute par une femme en buste soutenant deux épées flanquées de roues, elle même surmontée d’une corbeille garnie. Le demi-cintre en partie basse figure une fontaine jaillissante flanquée de palmes. Le bouton, conique, est ciselé de godrons. (Cf les numéros 381 et 382 in Metmann). Fer et tôle de fer mouluré, ciselé, repoussé. Epoque Renaissance. Hauteur : 14,9 cm – Largeur : 6,8 cmL’autre est encloisonnée de l’époque de la Renaissance. Modèle quasiment semblable au précédent à la seule exception du décor du cartouche central de la platine où, entre les filets, les perles et les olives sont remplacées par une frise d’entrelacs (ornementation du n° 381 in Metmann). Infime différence de dimensions. Hauteur : 15 cm – Largeur : 6,8 cm

Serrure de porte au chiffre des Montmorency en fer ciselé et gravé. Le palâtre rectangulaire est entièrement gravé de feuillages et de rinceaux qui entourent deux monogrammes aux lettres AMD entrelacées, surmontés d’une couronne à boules et feuilles de chêne alternées. Bouton de va-et-vient en saillie sur le palâtre, en forme de demi-sphère posée sur une platine ciselée de coqs stylisés. Au revers, le foncet est superbement gravé d’entrelacs, de feuillages d’un dessin très élaboré et surmonté d’un couronnement ajouré et également gravé d’un couple de personnages ailés, enlacés, terminés de queues feuillagées et fleuronnées à enroulements multiples. Les autres parties du mécanisme sont ciselées, moulurées et le pêne entièrement gravé d’ornements divers.Rare et beau travail français de la fin du XVIe siècle.Noter la qualité d’exécution de la gravure du foncet. Bien que le chiffre d’Anne de Montmorency, le plus souvent utilisé par le Connétable, soit un entrelacs de A et M ; on trouve, et notamment à Ecouen, le monogramme AMD que nous avons ici. Il est donc vraisemblable que cette serrure fût exécutée pour une des demeures du Connétable (manque le canon et l’embout).Dimensions : 22,2 cm – 8,7 cm – Epaisseur : 2,6 cm
Bibliographie : La fidèle ouverture ou l’art du serrurier, Marie PESSIOT, Rouen 2007, n°93 du catalogue de l’exposition p. 119.

Lot de targettes comprenant : Targette à platine asymétrique en fer repercé et ciselé du XVIe siècle. La platine à décor de bonnet phrygien d’un côté et de deux petites flammes de l’autre. Le bouton du pêne ciselé en forme de pyramide. Les étriers, chanfreinés, dessinant un Z. Curieux modèle d’un décor peu commun. France, XVIe siècle. Hauteur : 12,7 cm – Longueur : 12,3 cmTargette de fer ciselé, ajouré, repoussé. La platine carrée, ajourée à chaque angle de feuillages stylisés repoussés. La cage ajourée de fenestrages gothiques entre deux cordons torsadés. Le bouton ciselé, quadrilobé, conique. France, XVe -XVIe siècles. Hauteur : 10,3 cm – Longueur : 12,1 cm (au pêne)

Rare clef de meuble en fer repercé et ciselé des XVI^e et XVII^e siècles. L’anneau est orné d’une importante fleur de lys, ciselée en ronde bosse et entourée d’un lacet à contour trilobé. L’ensemble est inscrit dans un large anneau ovale qui était initialement couronné d’un petit ornement. La bossette en sphère aplatie rehaussée de moulurations et de filets est surmontée d’un large plateau à découpe octogonale. Tige à section triangulaire, forée d’un triangle. Panneton à museau à double saillie et râteaux, repercé de différents rouets (oxydations).

Elégant travail français d’un motif peu fréquent et d’une grande qualité d’exécution. 

Fin du XVI^e siècle ou début du XVII^e siècle. 

Dimension : 14,2 cm – Epaisseur de l’anneau : 11 mm 

Serrure de coffre et sa clef, travail de maîtrise de la fin du XVII^e siècle ou du début du XVIII^e siècle. Le palâtre, rectangulaire, présente d’un côté un faux fond en dôme mouluré, en forte saillie, entouré d’un ornement circulaire repercé d’une frise de losanges, de cœurs et de disques travaillés en entrelacs. De l’autre le mécanisme est protégé par un foncet entièrement repercé de cœurs entourés de volutes. Il est surmonté d’une forte mouluration en saillie qui soutient les boules d’une couronne comtale. Mécanisme à trois pênes dont les coqs sont terminés de fleurs de lys (accidentées). Le foncet est fixé par de curieux écrous à décor quadrilobé. Le canon de la serrure est foré d’un triangle. La clef, à tige triangulaire, forée, se termine par un large panneton à museau débordant et râteaux repercé de pertuis. Elle n’a jamais été terminée et laisse voir aujourd’hui une bossette en cylindre et un anneau de forte tôle plate sans décor (légers accidents et manques). Travail de maîtrise français de la fin du XVII^e siècle ou du début du XVIII^e siècle.

Longueur : 19 cm – Largeur : 11 cm – Epaisseur : 4,7 cm 

Importante serrure de maîtrise en fer ciselé de la fin du XVIIe ou du début du XVIIIe siècle. De forme rectangulaire, elle présente un encadrement richement mouluré entourant trois compartiments. Le compartiment central figure, ciselé en forte saillie, un fronton mouluré en chapeau de gendarme supporté par deux colonnes doriques exécutées en ronde bosse. L’intérieur du fronton présente en or ajouré le monogramme du facteur JBP pour Jean-Baptiste Platon. Entre les colonnes, une importante tête de lion est sculptée en haut relief sur une porte à sommet chantourné qui sert de cache entrée. Une tirette dissimulée dans l’encadrement de la serrure permet de déclencher l’ouverture du cache entrée. De part et d’autre de ce portique se trouvent deux panneaux ajourés de volutes et de rinceaux à décor rocaille, chacun surmonté d’une couronne comtale. De l’autre côté de la serrure, le mécanisme est dissimulé dans un boîtier de fer poli à contour latéral très chantourné. Au centre du boîtier, le faux fond à moulurations circulaires en forte saillie, est entouré d’une fine frise de petites volutes ajourées. Un travail identique à décor de rinceaux élégamment découpés et repercés, surmonte en légère saillie, le bas fortement mouluré de la têtière. La serrure est bien complète de ses quatre tiges de fixation terminées de jolis écrous dessinant deux C ciselés en opposition. A l’intérieur du boîtier, le mécanisme à deux pênes. Fer tourné ciselé, repercé, ajouré, légèrement gravé. Hauteur : 9,5 cm – Longueur 17 cm
Provenance : Vente SPITZER, 1893, n°891 (reproduit). Bibliographie : La fidèle ouverture ou l’art du serrurier, Marie PESSIOT, Rouen 2007, n°208 du catalogue de l’exposition p. 202.

Lot comprenant

Petite clef de meuble à anneau de bronze ciselé. L’anneau repercé d’une chute de feuillages entourée de rinceaux et surmontée d’un couronnement feuillagé. Moulures cintrées formant les côtés de l’anneau se refermant sur la bossette. Large bossette annelée surmontée d’une crête de feuillages. Courte tige de fer cylindrique et forée. Petit panneton à un seul pertuis. Bronze fondu et ciselé pour l’anneau et la bossette. Fer forgé pour la tige et le panneton. 

Travail du XVIII^e siècle. 

Hauteur : 7,5 cm

On joint une clef de meuble en bronze fondu et ciselé du XIX^e siècle. L’anneau à décor de C entrecroisés, entourés de volutes feuillagées. Bossette également baguée. Forte tige bénarde et panneton à deux pertuis. Bronze fondu et ciselé. 

Travail du XIX^e siècle. 

Hauteur : 8,3 cm 

Clef de meuble en bronze ciselé et fer tourné du début du XVIII^e siècle. L’anneau de bronze est finement repercé et ciselé de fleurons entourés de volutes feuillagées et reposant sur un décor de cuirs simulant une arbalète. Longue bossette de fer annelée et surmontée d’une sphère. Tige cylindrique bénarde. Panneton chiffré. Fer et bronze ciselé. 

Elégant travail strasbourgeois ou de la vallée du Rhin d’époque Régence. 

Hauteur : 13,55 cm

On joint une petite clef de meuble à anneau de bronze ciselé. L’anneau de bronze fondu et ciselé repercé de C entrecroisés prolongés et entourés de volutes feuillagées mouvementées. La bossette annelée et la tige de fer forée terminée d’un petit panneton ont été remplacées postérieurement.

L’anneau du début du XVIII^e siècle. 

Hauteur : 10 cm 

Clef de meuble espagnole à décor au tournesol. L’anneau, mince, à décor d’une fleur de tournesol ciselée dans un encadrement de courbes et contre-courbes moulurées en léger relief. Longue bossette annelée. Epaisse et courte tige ronde forée, terminée par un petit panneton plat à fond sablé et repercé d’un X. 

Seconde moitié du XVIII^e siècle. 

Hauteur : 8,95 cm 

Curieuse et rare clef du consul Sieyès, fin du XVIII^e siècle. L’anneau simple ovale. La tige forée ronde. Le très curieux panneton figure en toutes lettres le nom du consul SIEYES.

France, extrême fin du XVIII^e ou tout début du XIX^e siècle. 

En l’absence de précision, il est difficile de savoir pour quel usage (serrure de porte, coffre ou meuble ? ou clef de présent) cette clef fut créée. 

Longueur : 13,4 cm – Hauteur : du panneton 4,3 cm 

Bibliographie :

Gabriele MANDEL, Ars Mundi 1982, n°403 p. 146, reproduit.

Abbé SIEYES (1748-1836), homme politique français qui fût député du Tiers Etat (1789), Directeur du Directoire (1799) puis Consul (nov 1799). 

Beau heurtoir boucle en fer fondu très finement ciselé d’époque Régence. En forme de boucle de gibecière. Les côtés de la boucle, ciselés en léger relief de feuillages, se referment au centre sur un masque de grotesque ciselé en ronde bosse et se poursuivent en partie haute par deux volutes s’évasant sur l’extérieur. Elles sont sculptées de feuillages et de têtes de griffons qui encadrent un petit masque surmonté d’un large lambrequin feuillagé et terminé d’un culot de feuilles d’acanthe. Très élégant travail finement ciselé de la fin de l’époque Louis XIV ou du début de la Régence, France. Hauteur : 22,2 cm – Largeur : 17,9 cm

Lot comprenant :Heurtoir en fer ciselé de la fin du XVIIe siècle. Le battant est en forme de longue pendeloque de section circulaire renflée à son extrémité inférieure et ciselée en léger relief de feuillages. Elle est prolongée d’un petit ornement balustré. En partie haute, elle présente un jeu de bagues avant le lacet. Ce dernier a été remplacé postérieurement et la platine, ancienne, n’est pas d’origine. Fer ajouré et ciselé.Travail français du XVIIe siècle. Hauteur : 20 cm Heurtoir boucle en fer gravé du XVIIe siècle. La boucle de section losangée, offre un décor de filets et de feuillages stylisés. En son centre, un anneau en saillie s’orne d’un motif quadrifolié.Fin du XVIIe siècle. Largeur : 13 cm Bibliographie :La Ferronnerie ou l’Art de travailler le fer, Musée de la Poste, Paris, XVe, 1982, n°44 du catalogue, p. 13.

Verrou à queue de porte en fer ajouré et ciselé du XVIII^e siècle. La platine, rectangulaire, est sommée d’un couronnement découpé et ajouré de feuillages stylisés. Les picolets sont ciselés de moulurations torses.

France, XVIII^e siècle. 

Largeur : 9 cm – Hauteur : 31 cm 

On joint deux butoirs de barre de blocage de porte du XVII^e siècle en fer gravé. La platine figure une longue feuille elle-même gravée d’autres feuillages. Elle est surmontée d’une tige simple coudée en L, qui assure le blocage d’un battant mobile. 

France, XVII^e siècle. 

Largeur : 8,5 cm – Hauteur : 19,5 cm 

Trois targettes en fer repercé des XVII^e et XVIII^e siècles. L’une, à fléau pour volets intérieurs de fenêtre, à platine symétrique, est ornée de fleurs de lys reposant sur une accolade. Tôle de fer découpée et ajourée. 

XVII^e siècle. 

Une autre, également à platine symétrique, est repercée d’un cœur surmonté d’entrelacs et de volutes feuillagés. Elle comporte un mécanisme de blocage du pêne. Tôle de fer ajourée. 

XVIII^e siècle. 

La dernière pièce présente un décor légèrement différent d’une partie de la platine sur l’autre figurant un croissant surmonté d’un riche décor d’une fleur de lys stylisée entourée de volutes et de feuillages. Tôle de fer découpée et repercée. Les picolets sont moulurés, le bouton plat. 

Début du XVIII^e siècle. 

Les trois sont d’origine française. 

Dimensions (au plus grand) : Largeur : 15 cm – Hauteur : 33 cm 

Serrure de porte en fer fondu à décor ciselé en léger relief. Le palâtre entièrement ciselé en léger relief présente deux amours jouant sur une terrasse godronnée. La scène est entourée d’un riche encadrement d’entrelacs, de joncs soutenant des draperies, de volutes feuillagées et de fleurons. Trois pattes de fixation en fer ajourées de C affrontés sont fixées par des vis. Mécanisme à un pêne de va-et-vient. Fer fondu et ciselé et fer repercé. Travail français du début du XVIIIe siècle, ouvrage de la Manufacture royale d’Orléans (manque au mécanisme, transformation et accident à la têtière). Longueur : 18,2 cm (21,3 cm avec les frettes) Hauteur : 9,7 cm (16,7 cm avec les frettes) Epaisseur : 2,95 cm On joint un bouton de verrou représentant un amour nu allongé (actuellement non fixé). Longueur : 7,7 cm – Hauteur : 3,1 cm

Lot comprenant :Ornement de portail en forme de heurtoir boucle. La platine, ronde, figure dans un encadrement mouluré un mufle de lion sculpté en haut relief qui maintient dans sa gueule un anneau chantourné présentant deux dauphins affrontés s’abouchant sur un masque de grotesque. Bronze fondu, ciselé et patiné. Fin du XIXe siècle. Largeur : 16,5 cm – Hauteur totale : 27 cmOrnement de portail en forme de heurtoir en bronze patiné à tête de lion. XIXe siècle. Il figure une importante tête de lion fondue et ciselée en haut relief maintenant entre ses crocs un anneau fixe en boucle à contour chantourné qui se termine par un cartouche ovale ciselé d’un bonnet phrygien. Les fonds de la boucle amatis. Bronze fondu, ciselé et patiné. Fin du XIXe siècle. Hauteur : 33 cm – Longueur : 19,5 cm

Lot comprenant :Clef de chambellan en bronze ciselé et doré du XVIIIe siècle. L’anneau est orné d’un médaillon ciselé d’armoiries encadré de deux volutes feuillagées et surmonté d’un bonnet d’électeur ciselé en léger relief. Bossette en forme de vase orné des lettres MA et MJ, monogramme de Maximilien-Joseph de Bavière, et surmonté des cordons de l’ordre de la Toison d’or et d’Hubertus Orden. Longue tige cylindrique forée, terminée d’un panneton repercé de croix, et à museau saillant plat. Le monogramme est celui de Maximilien III de Bavière (1727-1777) et l’anneau est aux armes de Bavière.Munich, milieu du XVIIIe siècle.Hauteur : 19,2 cmRéférence : Pièce identique Canz n°53 et une pièce voisine au British Museum. Clef de chambellan aux armes de l’Electeur Palatin en bronze ciselé et doré du XVIIIe siècle. L’anneau, presque rond, est ciselé en ronde bosse et en léger relief des armes de Bavière et du collier de l’ordre de la Toison d’or, entourés par deux fortes volutes feuillagées surmontées d’un bonnet d’électeur. Bossette double ciselée de fleurettes et d’un M. Tige cylindrique forée. Panneton à museau largement repercé. Bronze repercé, ciselé en léger relief et en ronde bosse et doré.Bavière, XVIIIe siècle. Hauteur : 19,4 cm

Clef de chambellan aux armes de l’Etrurie. 1806. L’anneau figure deux C rehaussés de feuillages finement ciselés soutenant une couronne royale. A l’intérieur de l’anneau, la tour et le lion courant d’Espagne encadrent une fleur de lys. La bossette en écusson est gravée des monogrammes CL et ML. La tige cylindrique et pleine est ornée sous la bossette d’une suite d’anneaux, de bagues et de renflements cannelés. A l’extrémité de la tige se trouve un très petit panneton rectangulaire et plat gravé d’un C. Bronze ciselé et doré. Cette clé est au chiffre de Charles Louis de Parme et de Marie Louise de Bourbon, souverains de l’Etrurie en 1806. Hauteur : 14,9 cm

Importante façade de serrure en fer ajouré et gravé du XVIIe siècle. Elle présente, riveté sur une plaque de tôle à découpe mouvementée, un riche décor d’entrelacs mêlés d’ornements divers et gravés de filets. Elle offre deux accueillages dont l’un actionne un petit mécanisme encloisonné. Il est possible que l’autre accueillage ait également actionné un dispositif identique. Entrée de serrure ou façade de serrure incomplète (accidents et manque).Elégant travail du XVIIe siècle.Largeur : 15 cm – Hauteur : 24 cm

Heurtoir pendeloque en fer ciselé du XVIIe siècle. Il figure une tige mouvementée en S présentant en partie haute, un buste de chimère aux seins nus dont le corps va s’amincissant et s’enroulant pour se terminer par une tête de serpent. La partie haute du corps est gravée de plumes (usures et chocs sur le visage). Fer forgé, ciselé et gravé. Travail français du début du XVIIe siècle. Hauteur : 20 cm

Deux petites clés de meuble en fer forgé, Espagne, XVIIe siècle. L’une à l’anneau épais à deux volutes affrontées, surmontées d’un petit dais. Très mince bossette plate circulaire. Courte tige forée et petit panneton repercé. Dimension : 8,9 cm La deuxième à l’anneau à double C affronté, surmonté d’un motif ogival. Bossette parallélépipédique terminée d’une bague circulaire. Courte tige forée et panneton chiffré à large rouet. Dimension : 8,1 cmClef de meuble dite Henri IV. L’anneau ovale repercé de deux têtes de dauphins ciselées et gravées entourées de feuillages gravés qui ornent également l’intérieur des côtés de l’anneau. Bossette caractéristique en forme de coupe sur un piédouche. Tige forée. Panneton à museau et râteau repercé d’une large garniture cruciforme. Fer repercé et gravé. Travail français du début du XVIIe siècle. Dimension : 11,2 cm

Lot comprenant :Ensemble de huit pièces diverses en bronze à patine de fouille : anneaux, buste d’applique, poignées …Ensemble de huit pentures en fer forgé et repercé. XVe et XVIe siècles. Longueurs : de 27,6 cm à 30,6 cm