Sabre de troupe de cavalerie légère (Mle an XI) Monture en laiton à poignée basane (manque une olive) lame de la manufacture de Solingen, Knecht S. et G. fourreau fer au modèle mais matricule différent. T.B.E.

Belle épée des officiers d’état-major. (vendémiaire an XII) Monture en laiton à branche simple décorée au centre d’un motif à facettes, pommeau en casque empanaché, croisière avec écusson en casque antique avec drapeaux en sautoir. Poignée entièrement filigranée de cuivre. Lame à méplat et deux tranchants gravée de bouquets stylisés, traces de dorure. Fourreau cuir à deux garnitures de laiton. B.E. (cette arme provenant de la collection personnelle de Jean et Raoul Brunon a servi de modèle pour la planche de Christian Ariés du fascicule 1967)

Rare sabre de luxe d’officier d’état-major de l’armée de Condé. (Consulat) Au modèle d’officier supérieur de la cavalerie légère à monture à branche simple en laiton doré. Cette branche s’élargissant en son centre est décorée d’une couronne de feuillage en relief. Le genre de calotte de la poignée en forme de crosse couverte de feuillages est déjà connu sur un sabre de récompense signé « Boutet » (Ariès, XXIV, 1977) croisière renforcée, guillochée latéralement se terminant en un quillon plat arrondi. Poignée en bois finement quadrillée (fêlures et réparation) Oreillons en losange décorés pour l’un d’une lance et d’un écu lui-même orné d’une petite fleur de lys, et l’autre du foudre des état-majors. Très belle lame de Solingen, bleuie et doré au tiers décorée de trophées et de feuillages. Fourreau laiton décoré au trait de toiles d’araignées, de rameaux stylisés et de petites palmettes sur les bracelets. Vers 1800-1804. T.B.E. (Le rassemblement d’émigrés et les fractions de troupes, royalistes qui quittent la France en 1789 forment un corps militaire important que l’on désigne sous le nom d’armée de Condé. Cette armée qui combattra les troupes de la Révolution puis celles de l’Empire possède un état-major, une prévôté, de l’infanterie, de la cavalerie, de l’artillerie, un corps du génie et un service de santé.) Référence : Vicomte GROUVEL « le corps de troupe d’immigration française 1789-1815 » à la Sabretache 1956 et « Le passepoil » octobre 1932.

Sabre d’officier de cavalerie légère (Consulat-1er Empire) Monture en laiton à branche simple à pans et angle droit. Pommeau rectangulaire décalé « à l’allemande » poignée bois noirci finement quadrillé. Rare lame à deux pans creux pour ce modèle de la manufacture nationale de Klingenthal avec traces de bleui et d’or et trophées gravés. Fourreau laiton. (poignée fendue coté externe). Sinon B.E.

Sabre d’officier d’infanterie légère (1800-1815) Monture en laiton argenté à branche simple en balustre, pommeau en demimelon. Poignée en bois noirci, finement quadrillé. Belle lame bleuie et dorée au tiers gravée de trophées et feuillages stylisés. Fourreau cuir à deux garnitures argentées. B.E.

Sabre d’officier d’infanterie de ligne (1800-1815) Monture en laiton à branche simple à olive, pommeau plat. Poignée en bois noirci finement quadrillé. Lame avec encore de bonnes traces de bleui et d’or gravée de trophées et bouquets. Fourreau cuir à deux garnitures laiton.

Sabre de sapeur. (1er Empire) Monture en laiton à tête de coq, poignée lisse, croisière droite terminée en têtes de béliers. Lame de briquet bien poinçonnée, marquée « manufacture impériale de Klingenthal 1813 ». B.E. Sans Foureau

Sabre d’officier de cavalerie légère (1er Empire) du type de l’an IX à monture laiton à trois branches, poignée basane filigranée avec olives. Lame gravée d’un coté « Coulaux frères » dans un décor de guirlandes, de palmettes, de trophées d’armes, le tout surmonté de l’aigle impérial, de l’autre coté, même décor avec un cartouche « manufacture de Klingenthal. » Fourreau fer à deux bracelets plats en laiton. B.E. (à nettoyer)

Sabre de sous-officier de cavalerie de ligne, cuirassiers ou dragons. (période des Cent-Jours) Monture à garde de bataille en coquille St Jacques en laiton, poignée basane à gros filigrane torsadé. Lame blanche à deux pans creux avec poinçons marquée de la manufacture royale de Klingenthal 1814, pointe dans le prolongement du dos. Fourreau cuir à trois garnitures laiton. B.E.

Rare sabre de troupe des Cent-Suisses de la Maison du Roi. (Epoque Restauration) Monture à branche simple en laiton à quillon en trompe type garde impériale, oreillons en navette moulé pour l’un d’une grenade à fond rayonnant, l’autre est gravé du matricule « 235 ». Pommeau en demi-melon, poignée en bois noirci finement quadrillé. Lame marquée de la manuf. Royale de Klingenthal. Fourreau cuir à deux garnitures laiton, coupées en accolades (cuir usé) Sinon T.B.E.

Sabre d’officier de cavalerie légère. (Mle 1816) Monture en laiton ciselé à quillon en goutte. Poignée basane filigranée. Lame à dos en jonc avec poinçons signée de Coulaux et frères à Klingenthal (en partie effacée) Petites réparations à l’extrémité du fourreau. T.B.E.

Beau sabre d’officier subalterne des compagnies d’élite de la cavalerie légère. (1817) Monture en laiton à branche principale évidée et trois branches secondaires moulées avec arête médiane et bordure en filet. Pommeau court à calotte ovale décorée d’une grosse fleur de lys. Poignée basane filigranée. Très belle lame de Coulaux à Kligenthal datée 1814, bleuie et dorée au tiers finement gravée d’un cavalier chargeant, trophées d’armes, grenades enflammées ou explosant. Fourreau signé dans la partie supérieure « manufacture d’armes de Klingenthal. » T.B.E.

Sabre d’officier de cavalerie de ligne, cuirassiers et dragons. (vers 1817) Monture en garde de bataille à plusieurs branches et écusson évidé garni d’une grenade enflammée avec trois fleurs de lys. Poignée recouverte de chagrin avec filigrane de cuivre. (dorure postérieure) Lame blanche type grenadier à cheval marquée « manuf . imp. de Kligenthal » Coulaux frères. Poinçons. Fourreau fer. T.B.E.

Sabre d’officier de canonnier monté. (Mle 1829) Monture à branche simple en laiton ciselé de feuillages, rare exemplaire possédant encore la fleur de lys moulée et ciselée au pommeau. Poignée corne filigranée. Lame blanche de la manufacture royale de Chatellerault. Mars 1830. T.B.E. avec fourreau fer.

Sabre de troupe de canonnier monté. (Mle 1829) Monture en laiton sans fleur de lys au pommeau, poignée basane sans filigrane. Lame marquée « manuf. Rle de Chatellerault 1838. » B.E. avec fourreau et dragonne. (à nettoyer)

Sabre-briquet de la garde nationale (1830-1871) monture en laiton à poignée à torons, lame d’officier 1er Empire gravée de volutes. B.E. Sans fourreau.

Glaive d’infanterie (Mle 1831) Poignée en laiton à torons. Fabrication privée de « A. Abot frères à Paris » pour la garde nationale de Paris. T.B.E. Avec fourreau.

Glaive d’infanterie (Mle 1831)Poignée en laiton à torons. Lame de la manufacture royale de Klingenthal marquée au modèle (oxydations) B.E. avec fourreau.

Sabre de bord. (1833) Garde et poignée en fer noirc

Beau sabre d’officier de marine (type 1837) A monture en laiton doré entièrement ciselée et coquille ajourée, décorée d’une ancre non couronnée. Poignée en corde sans filigrane. Lame blanche de Coulaux à Klingenthal. Fourreau cuir à trois garnitures laiton moulées d’ancres et de feuillages. Vers 1880. Très belle dorure. T.B.E.