Artillerie nord-africaine. Flamme de trompette du 54ème Regt. en drap bleu brodé de l’étoile et du chiffre d’un côté, de l’autre 2 canons croisés. (petits trous) Sinon B.E. 1929-1940.

Armée de libération. 1944-45. Flamme de trompette d’un régiment des Ardennes, étamine rouge et bleue, grenade tête de sanglier sur fond de croix de Lorraine tricolore. (petits trous) Sinon B.E.

Fanion de la 1ère section du commando N° 1 (époque Indochine) Triangle de petite taille en satin noir d’un côté, tête de mort, tibias et ancre, légende brodée or. Rouge au revers avec légende brodée jaune. Franges or (encadrement troupes coloniales) T.B.E.

Fanion du commando N°12 (époque Indochine) De petite taille en satin rouge et insigne de l’unité brodé d’un côté, la légende au revers. Franges jaunes. B.E.

Fanion du 1er commando vietnamien (époque Indochine) En satin violet d’un côté avec légende brodée en fil d’or, bleu nuit de l’autre côté avec légende « 3ème L.M.G.R » et grenade brodées or. Franges or. (unité de supplétifs située à Ben Tré en 1948 à encadrement de la 3ème légion de marche de la garde républicaine) T.B.E.

Fanion de la 1ère section du commando N° 20. (époque Indochine) Forme triangulaire. D’un côté moitié satin noir à légende brodée or, moitié couleurs du drapeau vietnamien, tricolore au revers avec ancre et étoile marocaine brodées jaunes. Franges or. B.E. (commando créé avec des supplétifs muongs).

Fanion de la 8ème C.I.P du 8ème bataillon de parachutistes coloniaux. (époque Indochine) En satin beige clair d’un côté, légendes brodées en fil d’or, violet de l’autre côté avec repro. de l’insigne brodé, franges or. (Unité de supplétifs rattachée au 8ème B.C.P. Anéantie à Dien-Bien-Phu en 1954.) T.B.E.

Fanion de la 3ème Cie du 9ème Regt. de chasseurs parachutistes. Rayonne de soie bleue et noire, repro du brevet et légende brodés d’un côté en fil d’or, repro de l’insigne au revers. T.B.E. (années 1950-1960)

Fanion du 3ème Bat. Du 74ème R.I. Rayonne de soie rouge brodée d’un seul côté de la légende, bras tenant un flambeau entouré de chêne et de laurier. T.B.E. Années 1950-1960.

Fanion d’une unité de réparation du matériel de l’armée de l’air. Rayonne de soie rouge de forme triangulaire, décorée d’un côté d’une roue et d’une enclume ailée brodées en fil d’or. T.B.E. Années 1950-1960.

Marine nationale. Fanion de l’escorteur « Hova. » Insigne du bateau peint sur une satinette rouge. Au verso ancres rouges sur fond blanc. 1944-1964. T.B.E. Avec hampe.

Fanion d’une Cie. De Cdt. des troupes de marine. Rayonne de soie bleue d’un côté avec ancre d’or, rayonne blanche de l’autre côté avec légende. (Manque une partie de la frange) Sinon comme neuf.

Emblème de fanion. (attribué au) Bataillon assyro-chaldéen. Taureau ailé en bronze doré. (Campagne du Levant années 1920-1930) T.B.E.

Hampe de fanion. Goums marocains. Emblème au croissant et à l’étoile en laiton. Fab. locale. B.E.

Casque de chevau-légers de la garde du roi (1814-1815). Bombe en cuir noir verni à cimier et garnitures en laiton doré. La plaque est ornée d’une fleur de lys argentée, avec devise « Sencere gigantes » jugulaires à écailles complètes. (Il manque le crochet à la base du cimier, la crinière en peau d’oursin présente par endroits des manques) Sinon T.B.E. Avec coiffe intérieure et coffret de voyage.

Paire de pistolets de chevau-légers de la garde du roi. (1814-1815). D’un modèle assez proche des pistolets des gendarmes de la maison du roi à platines à silex à col de cygne non signées. Canons octogonaux à gros poinçon à fleur de lys au tonnerre. (Poinçons de Liège) Montures en noyer, toutes garnitures fer. (Légère fêlure sur une crosse avec quelques petites piqûres dans le bois, manque une vis de noix, une vis de contre-platine et une vis de queue de culasse.) Sinon B.E. Avec baguettes. Long : 34 cm. A nettoyer. Jean Baudriot mentionne bien pour ces pistolets très peu connus, l’important poinçon à fleur de lys à fond doré. (L’or ayant disparu ici)

Sabre de chevau-légers de la garde du roi. (1814-1815). Du type « à la chasseur » de l’an IX à monture en laiton ciselé et fleur de lys stylisée sur le dos de la calotte. Lame gravée de motifs conventionnels ; bouquets et trophées. (Bleui et or effacés) Fourreau fer à bracelets en laiton moulés de feuillages stylisés. T.B.E. A nettoyer.

Epée de ville de chevau-légers de la garde du roi. (1814-1815). Monture en laiton doré à plateau décoré des armes de France et fond de drapeaux, daté « 1593 » sur la croisière en chiffres moulés. Filigrane d’argent, pommeau orné d’un côté d’un profil de Henri IV et d’une fleur de lys de l’autre. B.E. Sans fourreau. A nettoyer.

Etat-major général. Monarchie de Juillet. Habit frac d’un maréchal de camp, en drap bleu nuit sans broderie, boutons or. Epaulettes à grosses torsades à deux étoiles argentées. Motif des retroussis en foudres d’état-major en fil d’or. T.B.E. Avec le pantalon garance à pont.

Etat-major général. Second-Empire. Uniforme comprenant un képi de général de corps d’armée à double rangées de feuillages et soutache argent, tunique de général de division en drap noir à collet et parements brodés de deux rangées de feuillages en fil d’or, deux rangées de boutons dorés. Epaulettes à grosses torsades à trois étoiles argentées et cordonnet pour passage du cordon Grand Croix. Avec pantalon garance.