« Jean Marais endormi » Dessin au crayon noir et à l’estompe. 27 x 20,5 cm (Collé en plein). 21 x 17 cm (Traces de plis).

« Portrait de Jean Marais » Dessin au crayon noir avec rehauts de crayon bleu, signé vers le bas à gauche, annoté « académie 19 » en haut vers la droite. 54 x 41 cm (Déchirure en haut à gauche).

« Projet d’affiche pour Les Parents Terribles », avant distribution. « Le problème ». Projet d’affiche avant distribution définitive. Dessin à la plume, annoté « Yvonne de Bray Alice Cocia Gabrielle Doziat » en haut à gauche, « Le Problème 3 actes de Jean Cocteau » en haut à droite, « C.. Rémy Jean Marais » sur la droite et « Théâtre de Ambassadeurs » en bas. 26,5 x 20,5 cm (Traces de colle en haut sur toute la longueur, tache ronde en bas à gauche. Papier jauni). Exposition : – « Jean Cocteau Magicien du spectacle », Musée Borely – Musée provençal du cinéma, Marseille, nov. 1983-fév. 1984. Décrit et reproduit sous le N° 176 du catalogue.

« Visage, 1950 » Dessin à la plume, dédicacé « A Jean Marais », signé et daté « 1950 » en haut à droite. 27 x 21 (21,5 x 18,5 la vue) Bibliographie : – COCTEAU Jean, « Jean Marais », Calmann-Lévy, Paris, 1951, reproduit p. 9.

« Georges Auric, Pramousquier, 1922 » Dessin à la plume, situé et daté « Pramousquier septembre 1922 » en bas vers la droite. 24,5 x 19 (Papier jauni). Exposition : – « Jean Cocteau Magicien du spectacle », Musée Borely- Musée provençal du cinéma, Marseille, nov. 1983 – fév. 1984. Décrit sous le n°220 du catalogue. « Georges Auric est sans conteste un ami très proche de Jean Cocteau. Dès 1918 Jean Cocteau lui dédia ses « notes autour de la musique » et après les expériences du groupe des Six, les deux hommes collaborèrent régulièrement. Georges Auric composera la musique de plusieurs films réalisés ou écrits par Jean Cocteau. Avant de devenir le musicien de cinéma que l’on sait, il composera sa première musique de film pour « Le sang d’un poète ». » Extrait du catalogue de l’exposition « Jean Cocteau Magicien du spectacle ».

« Paul Morihien, 1942 » Dessin au crayon noir, signé et daté « 1942 » en bas à droite. 31,5 x 22,5 cm Paul Morihien (né en 1917) fut occasionnellement le libraire, l’éditeur et le secrétaire de Jean Cocteau.

Jeune homme au chapeau assis sur un banc. Aquarelle. 27,5 x 27,5 cm (Traces de plis).

« Narcisse » Dessin au crayon noir, annoté « Echo » en haut et « Narcisse » au milieu. 30 x 26,5 cm

« Profil, 1948 » Dessin à la plume, avec rehauts de pastel, dédicacé : « A Jeannot pour son anniversaire », daté « 1948 » et situé « Milly ». 44 x 29 cm Jean Cocteau et Jean Marais achètent une maison à Milly-la-Forêt (Ile-de-France) en 1947.

« Sphynx, 1957 » Dessin aux crayons gras, signé et daté « 1957 » en bas à droite. 64 x50 cm (Tache ou repentir sur la droite).

« Fruits confits » Dessin aux stylos feutres, titré en bas à droite, situé, daté « Nice 63 », dédicacé « à Jeannot ce souvenir de notre travail avec » et signé par les deux artistes. 48 x 61 cm En décembre 1962, Jean Cocteau aidé par le peintre Raymond Moretti, réalisa dans les studios de la Victorine à Nice les maquettes des vitraux des trois portes en taille réelle pour la Chapelle Notre-Dame de Jerusalem à Fréjus.

« Profil aux flammes, 1963 » Pastel, signé et daté « 1963 » en bas à gauche. 50 x 65 cm Mise en couleur posthume pour un projet de tapisserie.

« Yvonne de Bray », 1946 Dessin à la plume, signé vers le bas, vers la droite et dédicacé « à Yvonne » en bas à gauche. 17,5 x 16 Exposition : – « Jean Cocteau Magicien du spectacle », Musée Borely – Musée provençal du cinéma, Marseille, nov. 1983-fév. 1984. Décrit et reproduit sous le n°263 du catalogue. « Yvonne de Bray fut l’interprète favorite de Cocteau dans les années 40. Le poète, Bérard, le décorateur, et les acteurs : Jean Marais et Yvonne de Bray, sont alors inséparables, et c’est avec cette équipe que Cocteau réalise les spectacles, pièces et films, qui le rapprochent le plus du grand public. Dédicataire des Parents terribles, qu’elle avait en partie inspirés, Yvonne de Bray ne put jouer à la création le rôle d’Yvonne, qu’elle tînt à la reprise et dans le film. Mais Les Monstres Sacrés furent écrits pour elle, L’éternel Retour lui donna son premier rôle au cinéma, et surtout, elle trouva sans doute dans Les Parents Terribles le plus grand rôle de sa carrière. » « Madame Yvonne de Bray, écrit Cocteau à propos de ce rôle, est un phénomène des planches. Cette comédienne grande entre les grandes, prétend ne pas aimer le théâtre. Sans doute veut-elle nous laisser entendre qu’elle n’aime pas les procédés auxquels le théâtre condamne beaucoup d’artistes. Il en résulte qu’elle ne se repose que sur son génie et ne fixe aucune de ses trouvailles. Sa voix profonde, rieuse, cassée, veloutée, l’éclair bleu de son oeil, sa tignasse et sa démarche de fauve, ses mains charmantes qu’elle agite comme après les avoir trempées dans l’eau, ne sont que les accessoires d’une âme lointaine et presque distraite. Il faut qu’une phrase ou qu’une situation s’emparent d’elle pour que ses moindres forces coïncident et lui permettent de se substituer au personnage, de le douer de vie » (Le Foyer des Artistes). Extrait du catalogue de l’exposition « Jean Cocteau et son temps », Musée Jacquemart-André, 1965

« Portrait d’Yvonne de Bray » Gouache. 61 x 41,5 cm (Traces de plis, insolée). Exposition : – « Jean Cocteau et son temps », Musée Jacquemart-André, Paris, 1965. N°467 du catalogue.

« Renaud et Armide » Dessin à la plume et aquarelle. 34,5 x 24 cm (Petites rousseurs).

« Paysage animé » Dessin au lavis d’encre brune. 19 x 26 cm

« Projet de décor » Dessin à la plume et au lavis, avec rehauts de pastel. 10 x 17 cm (Pliure).

« Étude de personnages » Dessin à la plume et au lavis. 23,5 x 39,5 cm (Collé en plein, bulles d’air, traces d’humidité, petites déchirures en bas).

« Projet de masque pour La bête » Dessin au lavis. 55 x 48,5 cm (Rousseurs). Bibliographie : «Jean Cocteau magicien du spectacle», Musée Borely -Musée provençal du cinéma, Marseille, nov/1983- fev. 1984. Décrit et reproduit n°225

« Pierrot et Arlequin » Gouache, signée en bas à droite. 32,5 x 28 cm. Exposition : – « C. Bérard », 3 février-2 mars 1966, Au Pont des Arts, Galerie Lucie Weill, n°19.