Meuble en bois naturel ciré de forme rectangulaire à décor de motifs géométriques. Il présente cinq tiroirs en façade. Repose sur des pieds pleins. Ancien travail Espagnol. Hauteur : 85 cm – Largeur : 67 cm – Profondeur : 43 cm

Meuble confiturier en bois naturel ciré ouvrant par une porte dans un encadrement balustre en chapelet. Ancien travail provincial. (accidents). Hauteur : 107 cm – Largeur : 101 cm – Profondeur : 51 cm

Grande pelle en bois pour four à pain.

Grande table rectangulaire en bois naturel ciré reposant sur quatre pieds cubiques réunis par une entretoise. (Accidents et piqûres). Hauteur : 75 cm – Largeur : 250 cm – Profondeur : 75 cm

Mobilier de salon de jardin en bois naturel ciré comprenant : six chaises pliantes, une table roulante bar, deux chaises longues à roulettes et deux fauteuils.

Table à plateau circulaire en marbre blanc et piètement en fer forgé. Hauteur : 71 cm – Diamètre : 70 cm

Buste représentant une nubienne. Porte une inscription Calvi Fecit et une date 1871. Composition et laque imitant le bronze. Hauteur : 94 cm

Table basse de forme carrée en bois naturel ouvrant par un tiroir mouluré en façade. On joint un tabouret de chantre en bois ciré. L’ensemble

Importante cariatide représentant Marcel Aymé en plâtre. Hauteur : 240 cm – Largeur : 67 cm – Profondeur : 60 cm Serge MOUILLE (1922 – 1988) Lampe de bureau à bras articulé. Hauteur : 100 cm Table d’architecte, deux sellettes de sculpteur et un établi. Chevalet en bois naturel. La palette de peintre de Jean MARAIS. Lot composé de pots en terre crue tournée contenant des pinceaux et ustensiles de sculpteur et tampon buvard, la prise en bakélite blanche. L’ensemble

Tapis d’édition de forme ronde à fond bleu ciel. (Usures et accidents). Diamètre : 220 cm COGOLIN. Tapis en laine tufetée à fond bleu ciel et décor géométrique. Signé sur la bordure Jean MARAIS. (mauvais état). 310 x 350 cm L’ensemble

un tapuscrit de 59 p. sur le synopsis de l’Apprenti Fakir, certaines pages annotées par Cocteau dont la page de titre. Cocteau donne à Jean Marais des conseils : « signe les costumes et les décors mais pas le texte […] Mon Jeannot, il est probable que soit je te ferai de la peine soit tu me trouveras odieux. » 4 pages autographes de Jean Cocteau sur l’Apprenti-Fakir ([…] Car cet homme n’est pas un fakir, il est le fakir des fakirs…) 2 intéressantes lettres manuscrites de Jean Cocteau à Jean Marais à propos de la pièce l’Apprenti-Fakir : « Ce qui l’emportera ce seront les décors et les costumes. Interrogé sur le reste, rigole et dis : c’est de mon nègre. […] » Dans l’autre lettre : « Mon Jeannot, tu peux imaginer mon chagrin d’avoir à te dire des choses sévères – mais n’oublie pas que votre sévérité (celle de Georges [Reich] et la tienne) pour toutes les oeuvres, n’a d’excuses… Il y a une ligne de vie qu’on doit suivre et respecter avant tout. J’appelais cela être le gardien de son ange… » Jean Cocteau se montre assez critique à l’égard de ce ballet.