Vase urne en faïence fine à décor de guirlandes sur un contre socle rectangulaire. Fin du XVIIIe siècle. Hauteur : 41 cm

Vase urne à dominante bleu et or sur un contre socle rectangulaire. Hauteur : 40 cm

Suite de seize assiettes en porcelaine à décor floral polychrome. Filet bleu. Bordure dents de loup. Marqué (usures).

Plat de forme ronde en porcelaine à décor floral polychrome à bordure dents de loup. Marqué et une jatte de forme circulaire à décor identique. (usures)

Paire de compotiers coquille, bordure dents de loup à décor floral polychrome (usures).

Suite de douze assiettes plates en porcelaine à décor floral polychrome. Bordure dent de loup. Marquées (usures).

Suite de douze assiettes creuses en porcelaine à décor polychrome, bordure dent de loup. Marquées (usures)

Partie de service de verres en cristal à pointes de diamants. Comprenant 10 verres à vin rouge, 10 verres à vin blanc et 10 verres à eau. Milieu du XIXe siècle.

Volet gauche d’un diptyque à frises d’arcatures. Ivoire patine jaune orangé. La Vierge couronnée, debout tient l’enfant Jésus dans son bras gauche replié, dans la main droite une fleur. De part et d’autre les deux anges tournés vers Elle la regarde, ils tiennent dans leurs deux mains un cierge. La scène se présente sous trois arcatures trilobées surmontées de clochetons.Au sommet deux trous, sur le côté droit les deux encoches pour fixer les charnières. Bel état comportant quelques stries. Ecole française, Ière moitié du XIVe siècle. Hauteur : 11,7 cm – Largeur : 7,9 cm – Epaisseur : 0,9 cm Provenance : ancienne collection Charles Ratton dont il porte une étiquette au dos avec un numéro d’inventaire. Pour des modèles similaire, voir ceux conservés au musée du Louvre.

Maitre actif en Toscane dans la deuxième moitié du XVe siècle Corpus Christi Ronde-bosse en bois de noyer. Le Christ présente un périzonium court, porté bas sur les hanches, à pans retombant sur sa gauche. La chevelure à longues mèches retombe sur les épaules, le visage incliné aux yeux mi-clos et la bouche entrouverte dénotent une influence clairement siennoise. Quelques traces de polychromie subsistent à la couronne d’épine et aux pieds. Les bras manquent. Hauteur : 96 cm – Largeur : 19 cm – Profondeur : 18 cm

Haut-relief en médaillon, buste féminin de profil. Bois de chêne. Les figures de profils en médaillons se répandent dans tout l’ouest de la France dès le début de la Renaissance sous l’influence italianisante de la première école de Fontainebleau. Après les bas- reliefs, on voit se répandrent des représentations en haut relief ou la figure semble surgir du médaillon, suivant des modèles qui fleurissent en Toscane depuis le XVe siècle en marbre ou en terre cuite. Le visage fortement stylisé ainsi que la coiffe élaborée localisent cette sculpture dans l’ouest de la France et très probablement en Normandie ou l’usage de décors sculptés en chêne fut largement développé au début du XVIe siècle (usures et accidents). Normandie, vers 1530. Hauteur : 26 cm – Largeur : 22 cm

Saint Jean l’Evangéliste Ronde-bosse en bois de tilleul, légères traces de polychromie. Le Jeune apôtre est figuré en pied, il présente une abondante chevelure aux boucles profondes, ses pieds sont presque croisés, dans une posture très mouvementée. Le drapé très particulier du manteau, à la fois souple et anguleux, présente notamment un rabat circulaire en bordure du manteau que l’on retrouve dans plusieurs oeuvres données au maître bâlois : Le Christ de Douleur du musée d’Unterlinden à Colmar, La Vierge d’Issenheim au Louvre ou un autre saint Jean l’évangéliste à Berlin. Les yeux légèrement tombants de l’apôtre montrent des paupières au bourrelet caractéristique. Les mains manquent. Hauteur : 49 cm – Largeur : 21 cm

Ensemble de neuf plaques rectangulaires en cuivre peint en émaux polychromes. Elles représentent des scènes de la vie du Christ : Jésus chasse les marchands du Temple – Caïphe – Reniement de Pierre – Le Christ aux outrages – Ecce Homo – Descente de croix – Jésus apparaît à sa Mère Marie (éclats) – Jésus apparaît aux saintes Femmes Ces plaques devaient faire partie d’une série plus complète, probablement un rétable. Contre-émail saumoné. OEuvre de Limoges, d’après la petite passion de DÜRER (1509-1511).Etiquette de la collection « Chicago Thos. F. L. Flannery ». Cadre en cuivre à fleurettes des ateliers André. Un certificat de Bernard BLONDEEL en date du 23 février 1984 sera remis à l’acquéreur.

Baiser de paix en émail peint sur cuivre. La partie supérieure cintrée ornée d’une Piéta. Contre-émail saumoné. Limoges, fin du XVIe siècle (éclat). 7,5 x 5 cm

Plaque en émail peint sur cuivre représentant Saint Pierre martyr (éclats). Fin du XVIIe siècle. Trace de signature de Jean LAUDIN en bas à droite. 10 x 8 cm

Paire de chaises à bras en bois naturel ciré partiellement doré à décor de perles ovales ou rondes. Piétement cubique à entretoise en H, dossier bas. (petites réparations) Travail italien du XVIIe siècle. Hauteur : 98 cm – Largeur : 59 cm – Profondeur : 42 cm

Paire de chaises en bois naturel ciré, dossier plat mouluré et violoné en partie ajouré. Le piétement comme les ceintures mouvementées à entretoise en H surmontés d’une toupie. Travail vénitien du XVIIIe siècle. Hauteur : 101 cm – Largeur : 42 cm – Profondeur : 38 cm Provenance : Galerie AKKO VAN HACKER.

Paravent en velours d’Utrecht frappé à décor de fleurs d’ananas stylisées et de larges palmes sur fond veiné rouge. Epoque Louis XIV (très légers accidents et usures aux charnières). Hauteur : 138 cm – Largeur d’une feuille : 56 cm

Siège de gondole en cuir sur âme de bois de forme violonée. Le cuir de couleur fauve gravé au petit fer, doré, à décor sur le dossier de grandes armoiries aux attributs épiscopales ou Cardinalices (chapeau de Cardinal). (petits accidents) Venise, milieu du XVIIIe siècle. Hauteur : 96 cm – Largeur : 66 cm Profondeur : 31 cm

Exceptionnel fusil à silex à deux coups dit canardière signé JANTEL le jeune à Caen. Platine et chien à corps plats signé. Chien à col de cygne décoré de rinceaux et fleurs partiellement dorées, bassinet à facettes. Canons à pans puis ronds en fer tordu bleui damasquiné d’or appliqué d’un décor de trophée, frise et rayon au-dessus de la visée. Bande de visée concave marquée, « canon tordu à ruban fer de faux » marquée des poinçons de JUAN SANTOS de Madrid, pièce de pontet et plaques de couche en acier gravé de réserves et feuillages. Monture en noyer sculpté de rinceaux, coquilles et guirlandes. JUAN SANTOS établi à Madrid de 1714 à 1750 a fourni les canons qui ont été montés par Jantel Le Jeune à CAEN, Arquebusier. Deuxième moitié du XVIIIe siècle. Longueur : 184,5 cm