Epée d’officier. Fin XVIIème siècle. Monture en fer à croisière à quillons plats ciselés incurvés et pas d’âne. Pommeau lenticulaire poignée entièrement filigranée de fer. Lame à deux tranchants. (76 cm) Avec gorge dans laquelle est gravé d’un côté « vive le roi » et de l’autre « W. les arme » B.E. Sans fourreau.

Epée de cavalerie dite « Wallonne ». Fin du XVIIème siècle. Monture en fer à deux branches perpendiculaires, doubles pontats ajourés, poignée entièrement filigranée fer, pommeau piriforme. Lame à deux tranchants et gorge marquée « I.4.I.4 » suivi d’un loup de Passau naïf. T.B.E. Sans fourreau.

Epée de cavalerie dite « Wallonne ». Fin du XVIIème siècle. Monture en fer à trois branches en « N », poignée entièrement filigranée fer, pommeau en melon. Lame à deux tranchants et gorge marquée « I.O.H.A.N » suivi d’un loup de Passau naïf. T.B.E. Sans fourreau.

Epée de cavalerie dite « Wallonne ». Fin du XVIIème siècle. Monture en fer à branche simple et double pontats ajourés d’étoiles. Poignée entièrement filigranée fer. Pommeau piriforme. Lame à deux tranchants et gorge marqué « S.A.H.A.G.O.M » suivi d’un loup de Passau naïf et poinçon d’Amsterdam. B.E. Sans fourreau. (ancienne collection Petitot)

Epée de cavalerie dite « Wallonne ». Début du XVIIIème siècle. Monture en fer à plusieurs branches (l’une d’entre elle signée) et pièce de pouce. Pontats double ajourés. Poignée entièrement filigranée laiton à chevrons. Lame à deux tranchants et gorge, loup de Passau stylisé. B.E. Sans fourreau.

Epée de cavalerie dite « Wallonne ». Début du XVIIIème siècle. Monture en fer à plusieurs branches, double pontats ajourés. Pommeau rond, poignée entièrement filigranée laiton. Lame à deux tranchants datée « 1709 » suivi d’un loup de Passau naïf. T.B.E. Sans fourreau.

Epée de cavalerie dite « Wallonne ». Début du XVIIIème siècle. Monture en fer à branche simple et double pontats ajourés d’étoiles. Poignée basane filigranée, pommeau rond. Lame à deux tranchants et méplat gravé d’un côté « au duc de Bourgogne, Ravoisie marchand, fourbisseur du Roy, pont St Michel» et de l’autre « dragon » et armes de France. B.E. Sans fourreau. (ancienne collection du Docteur Hutin)

Epée de cavalerie dite « Shiavone ». XVIIIème siècle. Monture en fer à branches en grille, pommeau en laiton en « tête de chat » et têtes de personnages sur les deux faces. Poignée cuir sans filigrane. Lame à deux tranchants et gorge très sobrement garnie d’un motif. T.B.E. Sans fourreau.

Forte épée de troupe de cavalerie. Mle 1680. Monture à branche simple et pontat unique, pommeau sphérique, poignée moulée en torsades. Lame large à deux tranchants et arête médiane (95 cm) Oxydation ancienne. B.E. Sans fourreau. (Il s’agit de la première arme blanche réglementaire de cavalerie française qui remplacera la wallonne en fer rapportée des guerres de Hollande.)

Forte-épée de troupe de cavalerie. Mle 1730. Monture en laiton à branche simple (brisure à la base) et pontat unique. Poignée entièrement filigranée en chevrons. Pommeau piriforme. Large lame (92 cm) à deux tranchants et arête médiane. (oxydation ancienne) Sinon B.E. Sans fourreau.

Forte épée de troupe de cavalerie. Mle 1734. Monture en laiton à branche simple et pontat double signée « Wilette-sur la place-à Sedan » pommeau à facettes. Poignée entièrement filigranée. Lame à deux tranchants marquée « I.4.I.4 » suivi d’un loup de Passau figuratif. B.E. Sans fourreau. (ancienne collection du Docteur Hutin)

Forte-épée de troupe de cavalerie. Mle 1734. Monture en laiton à branche simple et pontats doubles. Poignée entièrement filigranée en chevron. Pommeau piriforme, lettre « S » gravée. Lame (94 cm) restaurée au dernier tiers. A deux tranchants et méplat marqué d’un côté « Vive le Roy » avec trophée et « Régiment d’Aumont » de l’autre. B.E. Sans fourreau. Voir la reproduction. (Mr D. d’Aumont Mestre de camp de 1728 à 1746, propriétaire du régiment qui avait pris le N° d’ordre 43. Une des très rares inscription régimentaires tôt pour l’époque, on trouve généralement la légende vers 1750)

Forte-épée d’officier de cavalerie. Mle 1750. Monture en cuivre à branche principale et une secondaire en « S » décorée d’une couronne venant rejoindre le bord du pontat extérieur (quillon réduit à l’époque) poignée entièrement filigranée de fil de cuivre plat et rond en fer. Large lame à la colichemarde (97,5 cm) Avec traces de gravures. B.E. Sans fourreau.

Sabre d’officier de carabiniers. Vers 1750. Monture en laiton à branche principale et deux secondaires formant une coquille qui se pose sur le rebord du pontat externe. Pommeau en urne à facettes. Poignée entièrement filigranée en chevrons. Fine lame de bretteur (94 cm) gravée sur un côté « Vive le Roy », les armes de France de l’autre côté. (oxydations anciennes) Sinon B.E. Sans fourreau. Modèle très rare. Ref : M. Pétard « Sabres et épées. » Tome I, p. 129. Fig. 121.

Forte-épée de troupe de cavalerie. Mle 1767. Monture en laiton à branche principale et deux secondaires venant rejoindre le bord du pontat extérieur. Poignée entièrement filigranée en chevrons, pommeau piriforme. Lame plate (84 cm) à dos carré, poinçon avec couronne. Sans inscription. B.E. Sans fourreau. (La dernière forte épée de la série de 1680 et certainement la plus rare de toutes)

Sabre d’officier de la seconde compagnie des mousquetaires du Roi. Milieu XVIIIème siècle. Monture en fer multibranches à garde en coquille ajourée, poignée entièrement filigranée d’argent, lame plate à dos gravé de la légende et surmonté des armes de France avec la devise « Alterius jouis altera tela . » Talon décoré d’un côté d’un motif à entrelacs, de l’autre « Giverne fourbisseur des compagnies de mousquetaires du roi. » doré au tiers…T.B.E. Sans fourreau. Ref. Blondieau « Sabres français » p. 20.

Sabre d’officier de hussards. Vers 1780. Monture en laiton à branche simple festonnée en bordure, pommeau à l’allemande. Poignée roussette sans filigrane. Lame (87 cm) à deux pans creux et trois petites gorges, gravées des deux côtés d’entrelacs, de trophées et de palmes. B.E. Sans fourreau.

Sabre d’officier de dragons. XVIIIème siècle. Monture en laiton en garde de bataille à coquille St Jacques, poignée cuir filigranée, lame plate gravée de volutes, trophée et trois fleurs de lys. Fourreau cuir à deux garnitures laiton. T.B.E. ( Ancienne collection du Docteur Hutin. Ref. Blondieau « Sabres français » page 86.)

Sabre d’officier de dragons. XVIIIème siècle. Monture en laiton en garde de bataille à coquille St Jacques, poignée en bois noirci. Lame de troupe à deux pans creux. (poinçon) Fourreau cuir à deux garnitures laiton. Traces de dorure. T.B.E. (ancienne collection du Docteur Hutin. Ref. Blondieau « Sabres français » page 176.)

Sabre de cavalerie de la maréchaussée. Vers 1780. Monture en laiton à branches secondaires formant les initiales « M.O. » Large plateau de garde (brisure) Poignée basane à double filigrane en chevrons. Lame plate à dos. (oxydations) Sinon B.E. Ref. M. Pétard « des sabres et des épées. » Fig. 121 p. 129