Sabre briquet d’officier. Mle 1770. De fabrication révolutionnaire. Monture en laiton à pans décorés de filets, branche avec médaillon ovale gravé d’une fleur de lys et de la légende « vive la constitution et liberté » lame blanche sans marquage. B.E. Sans fourreau. Ref. Blondieau « sabres français » p. 147.

Sabre-briquet d’officier. Mle 1770. De fabrication révolutionnaire. Monture en laiton à poignée à pans et pommeau en casque empanaché. Lame blanche gravée de trophées et signes cabalistiques. B.E. Sans fourreau. Ref. Blondieau « Sabres français » p. 150.

Sabre-glaive d’artilleur à pied. Mle 1767. Poignée en laiton fondu en tête d’aigle avec cou, plumes simulées, rivets laiton (traces de poinçons sous le cou) Croisière séparée. Lame à gorges. (poinçon de Juchereau et B couronné.)

Sabre-glaive de canonnier de la marine. Mle 1771. Poignée en laiton fondu en tête de chien de mer avec cou au pelage simulé. Rivets laiton. Croisière séparée à quillons inversés. Lame plate sans gorge (oxydation) sinon B.E. Sans fourreau.

Sabre-briquet des compagnies d’élites. Mle AN XI. Monture en laiton montrant plusieurs poinçons, lame signée de la manufacture impériale de Kligenthal et datée janvier 1814, beaux poinçons au talon. Complet avec cravate et fourreau. T.B.E.

Sabre de troupe de cavalerie légère. Mle 1822. Monture au même N° que le fourreau. Lame de Châtellerault datée 1852. T.B.E.

Rare et belle épée offerte à un haut magistrat. (Monarchie de Juillet) D’un modèle atypique pour l’époque rappelant les rapières du XVIIème siècle à monture en bronze doré et ciselée à deux branches et pas d’âne, clavier orné d’un coq rapporté entre feuillages de chêne. Sous le clavier figure une attribution : « Armand Lefevre, ministre plénipotentiaire 1801-1864. (inscription posthume) poignée entièrement filigranée. Belle lame bleuie et dorée. Fourreau cuir à deux garnitures laiton. T.B.E. Avec sa housse de voyage.

Trois sabres glaives : 2 artilleurs à pied 1830 à poignées écailles (oxydations) et modèle garde nationale 1848. Sans fourreaux.

Epée d’officier supérieur toutes armes. Mle 1852. Monture en laiton à clavier décoré de l’aigle sur fond de drapeau. Poignée corne sans filigrane. T.B.E. Sans fourreau.

Sabre d’officier d’état-major. 1854. Monture du type 1845 à lame droite de Kligenthal à deux gorges. Fourreau fer. T.B.E. Avec dragonne et ceinturon avec cartouchière, plaque 1870-1871.

Sabre d’officier d’infanterie. Mle 1855. Monture en fer poli à quatre branches. Poignée corne. Lame de Coulaux type « Préval. » T.B.E. Avec fourreau fer à deux anneaux.

Couteau dit « Navaja ». Monture en laiton à plaquettes de corne rose. Lame signée « Michegaran à Oloron. » Long. ouverte : 41 cm. T.B.E.

Bavière. Sabre-glaive d’infanterie. Mle 1838. Poignée laiton, fourreau cuir 1869. T.B.E.

Brunswick. Sabre de troupe de hussards Mle 1857. Marqué au Regt. N°17. T.B.E. Avec dragonne et fourreau.

Prusse. Sabre-glaive d’infanterie Mle 1852 monture en laiton datée « 57 », marquée au Regt. N° 32. B.E. Avec fourreau.

Prusse. Sabre-glaive d’infanterie Mle 1860. Poignée laiton marquée au régiment N°24. Daté « 65. » B.E. Avec fourreau.

Wurtemberg. Sabre-glaive d’infanterie à poignée fer, marqué au Regt. N° 123. B.E. Avec fourreau.

Paire de pistolets de la maréchaussée. Mle 1763. Platines à silex signées « Baldinger à Rouen » montures en noyer. Toutes garnitures fer. T.B.E. Complet avec baguettes. Long : 25,5cm.

Paire de pistolets d’officier de dragons (Mle 1767) Platines à silex signées « Pate à Charleville ». Chien plat, bassinet en fer à pans. Canon bronzé (oxydations par endroit) Toutes garnitures en cuivre (une réparation sur une queue de pontet) Sinon B.E. avec baguettes et de la plus grande rareté. Long : 36, 5 cm (Lorsqu’ en 1963, Monsieur Baudriot réalisait son atlas des armes à feu réglementaires françaises il n’eut pour décrire ce pistolet d’officier de dragons de 1767 à sa disposition que le seul exemplaire connu qui était en possession du musée de la manufacture de St Etienne. Il n’était pas question de paire. D’après l’auteur il s’agit du premier pistolet d’arçon d’officier qui soit réglementaire. L’aspect de ce pistolet s’identifie à celui de la troupe par les dimensions légèrement réduites. L’arme ne comporte aucun décor. Ref : Jean Baudriot, armes à feu réglementaires françaises tome I page 97. A notre connaissance cette paire de pistolets est encore probablement unique à ce jour.)

Pistolet de cavalerie autrichien (XVIIIème siècle) Modèle de troupe. Platine en fer non marquée chien à col de cygne. Toutes garnitures fer. T.B.E. Long : 42 cm.