Lot de quatre cuillères en argent dont deux modèles violon et deux modèles à filet usés. Travail étranger du XVIIIe siècle. Poids : 215 g.

Cachet en argent, la prise de pouce ajourée avec une base godronnée. Il est gravé d’armoiries surmontées d’une couronne comtale et de lions en support. France, XVIIIe siècle. Hauteur : 2,8 cm – Poids : 11 g.

Couvert en argent. Modèle uni plat gravé des initiales L.M. Maître orfèvre Jean baptiste Tostée, reçu en 1780. La flèche 1784 (juridiction d’Angers). Poids : 150 g.

Taste vin en argent, l’anse faite de deux têtes de serpent affrontées. Il est décoré de cupules en alternance avec des grappes de raisin. Gravé sous la bordure « C.D.LAPIERE ». Juridiction de Dijon, vers 1780. Maître orfèvre insculpé trois fois mais le poinçon n’est pas identifiable. Poids : 86 g.

Pelle à sel en argent, modèle violon uni monogrammé postérieurement sur la spatule. Attribuée au maître orfèvre Louis Thibault reçu en 1742. Angers 1781 – 1785. Longueur : 10,9 cm – Poids : 9 g.

Cuillère à ragout en argent, modèle uni plat monogrammé G+D sur la spatule. Maître orfèvre François Bonnet, reçu maître à Paris en 1678. Marseille, 1718 – 1720. Longueur : 29,6 cm – Poids : 118 g.

Plat en argent de forme ronde à décor en repoussé sur la bordure de coquilles, rocailles et croisillons et dans la partie centrale d’une femme jouant de la guitare dans un décor d’arbres et d’architectures. (Une déchirure.). Maître orfèvre non identifié E.M.E. Contrôleur Juan Igniacio Montéro. Salamanque, 1759. Diamètre : 31,2 cm – Poids : 348 g.

Pince à sucre anciennement vermeillée. La bordure à contours et filets encadre sur chaque bras un décor ajouré d’enroulements feuillagés. Les terminaisons faites de coquilles. Maître orfèvre Jean Henri Oertel, reçu en 1749. Strasbourg, 1750 – 1789. Longueur : 13,5 cm – Poids : 43 g.

Cuillère à sucre anciennement vermeillée. Modèle filet coquilles, le cuilleron repercé d’une rosace centrale dans un entourage de feuilles de palmier. La spatule gravée d’armoiries surmontée d’un tortil de baron. Maître orfèvre non identifiable. Strasbourg, 1786 – 1790. Longueur : 21,2 cm – Poids : 107 g.

Suite de six petites cuillères en argent. Modèle filet, violon coquilles et agrafes. Attribuées au maître orfèvre Jacques Anthiaume, reçu en 1758. Paris, 1766 – 1767. Poids : 215 g.

Quatre petits couteaux les manches en argent les lames en acier. Ils sont décorés de canaux dans la partie centrale et de godrons aux extrémités. Délimité par un fond amati. A la base figure un monogramme entrelacé gravé et surmonté d’une couronne comtale. Travail de la première moitié du XVIIIe siècle. Non identifié. Longueur : 17,2 cm

Couvert de voyage en vermeil, acier et émail. Composé d’une cuillère, une fourchette à deux dents et d’un couteau, le cuilleron et le fourchon étant en vermeil. Les manches sont émaillés de fleurs et leur feuillages en blanc et noir sur un fond lilas. Maître orfèvre A.S non identifié. Probablement Dresde, fin XVIIe ou début XVIIIe siècle.

Etui en or de deux couleurs de forme ovale. L’extrémité est gravée d’un monogramme entrelacé. Il est décoré sur toute sa surface d’un guillochage pyramidal entre des guirlandes enrubannées. Différent du maître orfèvre difficile à lire. Paris, 1777 – 1778. Longueur : 8,9 cm – Poids : 20 g.

Pince à sucre en argent uni, les extrémités ont la forme de petite louche. Gravé sur un bras des initiales IB. Maître orfèvre Joseph Roger, reçu en 1778. Bordeaux, 1786 – 1787. Longueur : 15,5 cm – Poids : 46 g.

Deux portes curent dents en argent, la base ronde tripode se prolonge par des fleurs dont les pétales sont percés. Pour un modèle les fleurs sont dans un vase et pour le second elles sortent d’un réceptacle composé de quatre feuilles. Porto, XIXe siècle. Hauteurs : 15,5 cm et 15,5 cm

Pot à thé en cuivre doré. Il pose sur un piédouche décoré d’enroulements et de rocailles en rappel sur chaque parti du corps et du couvercle avec des branchages feuillagés en plus. Travail probablement anglais du XVIIIe siècle. Hauteur : 13,5 cm

Livre religieux, la garniture rocaille en argent sur chaque face est posée sur une soie bleu pale.AU centre des armoiries dans un entourage rappelant celui des fermoirs. Edité en 1765. Maître orfèvre non identifié. Italie, vers 1765 – 1770. Hauteur : 31,2 cm – Largeur : 24,2 cm

Lot de quatre cuillères dont une en étain les autres en argent. Les cuillerons queue de rat. Travail d’Europe du nord du XVIIIe siècle de différentes origines. Poids des cuillères en argent : 147 g.

Lot de trois cuillères en argent, modèle uni plat avec un cuilleron queue de rat, les spatules gravées d’armoiries sur les spatules. Paris, première moitié du XVIIIe siècle. Différentes dates. Poids : 227 g.

Lot de neuf petites cuillères en argent. Modèles dépareillés. France, XVIIIe siècle (Paris et province) et étranger. Poids : 180 g.