Trois targettes dont deux au chiffre de François 1^er (F couronné) et la troisième similaire à Ecouen.

Fin du XIX^e siècle, début du XX^e siècle.

Six targettes en fer découpé des XV^e et XVI^e siècles.

Accidents et manques.

Serrure de coffre avec un moraillon (accidenté) de style Renaissance.

Modèle de serrure présent dans de nombreux musées comme Ecouen (leg ROTHSCHILD), WALLACE… Présentée comme bellifontaines ou romaines du XVI^e siècle.

Bien que les travaux de Charles AVERY soient relayés par de nombreux catalogues de collections publiques et de ventes aux enchères, nous présentons cette serrure comme datant de la fin du XIX^e siècle.

Leur nombre anormalement élevé (une soixantaine d’exemplaires connus), apparition chez les grands collectionneurs du XIX^e siècle et les collections publiques à la même époque sans qu’aucune ne soit conservée sur un coffre authentique du XVI^e siècle. Des incohérences héraldiques, la moitié des armoiries qui figurent sur les moraillons ne peuvent être identifiées avec des fontes grossières de style (fleurs de lys) de la version d’Amsterdam, encadrement fantaisiste de celle du Musée Lazaro GOLDIANO de Madrid.

Nous pouvons aussi ajouter que les serrures de coffre de la Renaissance sont généralement fabriquées en fer.

Cette destination nécessite l’usage d’une longue fixation du moraillon afin de garantir la sécurité (toutes exécutées au même modèle !).

Sans donner toutes les incohérences, nous pouvons ajouter que le mécanisme en fer fixé sommairement n’est absolument pas sécurisant et contraire à toute serrure du XVI^e siècle.

On joint deux moraillons de même modèle, fin du XIX^e siècle.

Cf. La France des Fondeurs – Art et Usage du bronze aux XVI^e et XVII^e siècle (page 102)

Les Cahiers du Musée National de la Renaissance n°7 – Bertrand BERGBAUER.

Importante et rare serrure à décor de portique dans un encadrement, un buste orne le fronton.

XVI^e siècle.

On joint une entrée de serrure à décor également de portique, orné en son centre de rameaux feuillagés.

XVI^e siècle.

Deux belles serrures de coffre.

– L’une à décor d’orbevoie et deux pinacles.

On joint un moraillon orné d’un saint (reproduit Mendel).

– La deuxième également à décor d’orbevoie et deux pinacles servant de fixation (manque le cache-entrée)

Epoque de la fin du XV^e siècle.

Deux serrures de coffre gothique.

– Une avec un moraillon à décor de dragon (manque).

Début du XVI^e siècle.

– Une de style à décor de feuillage stylisé avec un moraillon orné d’un pichet.

Fin du XIX^e siècle.

Lot comprenant trois petites serrures verrous à décor d’orbevoie en fer découpé.

Epoque de la fin du XV^e siècle.

Légers accidents et attaches en fer (à décor de torse) pour une serrure refaite.

Belle serrure décor Watteau.

Fonte de Réaumur, Manufacture d’Orléans.

On y joint une gâche à décor voisin.

Rare et charmante petite serrure à décor des Fables de La Fontaine.

Trois serrures et trois gâches, parties manquantes aux mécanismes.

Fonte de Réaumur.

Trois gâches de modèles légèrement différents.

Trois serrures de fer porte dont une de coffre datée postérieurement portant une date 1630.

Importants manques de mécanisme d’époque et de style.

Trois belles reproductions de serrures du XVIII^e siècle par la Maison STERLIN, matrice en fer et épreuve en plomb.

Une avec son étiquette.

Suite de serrures à chapeau de gendarme, palâtre encadré de moulures ou double et une grande avec sa clef.

Trois grandes serrures du XVIII^e siècle, dont deux avec leur gâche.

Une ornée de moulures denticulées en bronze patiné.

Une avec deux clefs (dont une copie en bronze) et avec une entrée.

Lot de jolies serrures de bronze doré, bronze patiné et fer et bronze du XVIII^e siècle.

Lot de jolies serrures de bronze doré, bronze patiné et fer et bronze du XVIII^e siècle.

Ensemble de deux serrures en bronze doré dont une avec sa gâche, et trois autres en fer et bronze doré du XVIII^e siècle.

Suites de cinq palâtres de serrure en bronze ciselé ou patiné, en fer ou bronze.

Style du XVIII^e siècle.

Lot de heurtoirs boucle.

Lot de heurtoirs de provenance diverses.

– Curieux heurtoir boucle en fer ciselé.

L’anneau ovale, figure une boucle aplatie ciselée en léger relief d’une frise de fleurettes encadrée de deux minces baguettes également en relief. Le lacet présente le même décor. Les sommets de l’anneau sont ornés de deux larges spirales constituées de tiges torsadées de diamètre s’amincissant vers le centre.

– Heurtoir en fer relevé et ciselé de style gothique espagnol.

L’anneau figure deux trompes creuses, abouchées à leur extrémité, la plus évasée sur une petite saillie formant battant. Elles sont ciselées de cannelures en partie haute et repercées d’un ornement ogival en partie basse. Elles sont sommées d’un curieux petit boîtier rectangulaire entièrement ajouré. La platine, en croissant, suit les contours de l’anneau en léger débordement et est entièrement ajourée et gravée d’une frise de canaux.

– Poignée de coffre en fer ciselé du XIX^e siècle dans l’esprit du XVII^e siècle.

Elle figure deux crosses sinueuses qui se referment en partie basse sur un noyau central quadrifolié. Le sommet des crosses est ciselé de feuillages surmontant un bouton floral en ronde bosse. Le reste des hampes est creusé de larges cannelures.

Manque des pièces de fixation.

Trois heurtoirs boucle dont un orné d’un buste de divinité et un autre gravé. 

France XVI^e et XVII^e siècles.