Corne de rhinocéros blanc ou du Nil avec un socle.

Poids sans socle : 1 850 g – Longueur : 32 cm

Section basale : 15 x 14 cm

Préconvention 1934, avec son certificat Cites en date du 17 juillet 2015.

JAPON – Époque EDO (1603 1868)

Inro à quatre cases en laque noir et kimpun à décor en hiramaki-e de laque argent, rouge et or d’un coq et de bambous. Intérieur en laque nashiji (usures, petites rayures).

Signé Han’yusai.

Hauteur : 7,1 cm.

Ojime en métal à décor de fleurs. Netsuke en ivoire figurant un homme assis tenant un kabuto.

Hauteur : 3,8 cm

JAPON – Époque EDO (1603-1868)

Inro à quatre cases en laque ro-iro à décor en hiramaki-e de laque rouge et or de Hotei tenant son sac de richesses tandis que des enfants tentent de l’escalader. Le couvercle et le fond ornés de chrysanthèmes et paulownia, l’intérieur en laque brun (éclats et manques, usures).

Hauteur : 8,2 cm

JAPON – Époque EDO (1603-1868)

Inro à cinq cases en laque fundame à décor en hiramaki-e de laque or et argent d’un sennin sous les pins montrant un couple de grues, des champignons reishi à ses pieds. Intérieur en laque nashiji (rayures, petit enfoncement).

Signé Jokasai.

Hauteur : 8,1 cm

JAPON – Epoque EDO (1603-1868)

Inro à trois cases en laque kimpun et nashiji, à décor en hiramaki-e de laque or et bronze, et hedatsu d’or et d’argent d’un couple de grues et de branches de pin. Intérieur en laque fundame (petits manques).

Signé Yamada Yoshioki.

Hauteur : 8,1 cm

Ojime en ivoire sculpté de Hotei et d’enfants. Manju en laque fundame à décor en hiramaki-e de laque argent et brun d’un chrysanthème.

JAPON – Époque EDO (1603-1868)

Inro à quatre cases en laque fundame à décor en laque ro-iro et incrustation d’aogai d’étrangers, coiffés de grands chapeaux. Intérieur en laque ro-iro (éclats, manques et restaurations, usures).

Hauteur : 9,3 cm

CHINE – XIX^e siècle

Groupe en néphrite verte veinée de brun-rouge, chauve-souris sur des rochers, près de lingzhi (éclats).

Hauteur : 8,5 cm

CHINE – XIX^e siècle

Deux cachets en stéatite, l’un surmonté d’une chimère et de son petit, l’autre surmonté d’un crapaud (éclats).

Hauteurs : 6,2 et 5 cm

CHINE – XX^e siècle

Statuette en cristal de roche figurant un poisson dragon émergeant des flots, gueule ouverte (éclat).

Hauteur : 7, 6 cm

CHINE – Époque SONG (960-1279)

Petite statuette de rongeur en néphrite brun-rouge, ses pattes avant tenant un fruit.

Longueur : 4,3 cm

CHINE – Époque TANG (618-907)

Miroir en bronze polylobé à décor d’oiseaux, de fleurs et de papillons en léger relief.

Diamètre : 11 cm

CHINE – XVIII^e siècle

Petite fibule en néphrite blanche à décor de chilong, le crochet en forme de tête de dragon (infimes égrenures).

Longueur : 7,4 cm

CHINE – Époque MING (1368-1644)

Petite coupe en néphrite, le bord ourlé, les anses en forme de têtes de chilong (petits éclats).

Diamètre : 7,2 cm

CHINE – Époque MING (1368-1644)

Petite plaque en néphrite sculptée d’un dragon parmi les rinceaux, enchâssée dans une monture en bois quadripode (gerce).

7,4 x 5,9 x 2,2 cm

CHINE – XVIII^e siècle

Statuette de Guandi debout en stéatite verte veinée de rouge. Collée sur un socle de bois (petits éclats, trous.)

Hauteur : 21 cm

CHINE

Miroir orné d’un fixé sous verre à décor de trois personnages japonais en habits traditionnels.

Début XX^e siècle.

Hauteur : 51 cm – Largeur : 80 cm

CHINE 

Lin Fengmian (1900-1991)

Pavillon sous les pins

Encre et couleur sur papier.

Signé en bas à gauche.

38 x 39 cm à vue

Encadrée sous verre.

Provenance :

Acquis de Madame Lin directement par nos vendeurs.

LIN Fengmian (1900-1991) fait partie des plus illustres artistes chinois du XX^e siècle.

Issu  d’une famille de tailleurs de pierre, il commence à peindre alors qu’il n’a que cinq ans. Il  perd sa mère à sept ans. A quinze ans, il réussit son examen d’entrée à l’école provinciale de Meizhou. Il est l’un des premiers artistes chinois à étudier en France de 1918 à 1925, à Dijon d’abord, ensuite à Paris. A son retour en Chine, il occupe plusieurs postes officiels importants : président de l’Académie nationale des Arts de Pékin, directeur de l’Académie des Arts de Hangzhou.

Pendant environ 80 ans de création artistique, LIN Fengmian a acquis une notoriété nationale dès sa jeunesse. Il a aussi vécu les périodes les plus cruelles : d’août 1968 à décembre 1972 notamment, il a été mis en prison et maltraité. Il a connu une gloire internationale pendant ses dernières années. Malgré les aléas de la vie, LIN Fengmian est reste fidèle à ses principes, énoncés à 36 ans : aimer la nature, s’éloigner de l’argent et de la célébrité, être observateur, travailler diligemment pour  être un vrai artiste.

En voulant être différent des autres peintres chinois célèbres du XX^e siècle, comme QI Baishi, XU Beihong ou HUANG Binhong, LIN Fengmian a cherché à créer un style qui se distinguerait à la fois de la peinture traditionnelle chinoise et de la peinture occidentale moderne. En quête d’une  fusion parfaite entre  ces deux genres d’art, il a choisi le chemin le plus difficile et il a réussi. C’est peut-être pour cela que les rares grands peintres chinois modernes connus internationalement, tels que Zao Wou-Ki, Wu Guanzhong et Chu Teh-Chun sont tous des élèves de LIN Fengmian.

La plupart de ses peintures sont de forme carrée, format  qui n’existe quasiment pas dans la peinture chinoise. Il utilise souvent la perspective et la ligne de fuite comme dans la peinture occidentale. Il abandonne le principe : « l’harmonie de calligraphie, peinture, poèmes et cachet » qui est le principe le plus important de la peinture chinoise depuis le XIII^e siècle et laisse une signature simple sur un coin de sa peinture.

CHINE

Lin Fengmian (1900-1991)

Paysage d’hiver à la barque

Encre et couleur sur papier.

Signé en bas à droite, suivi du cachet de l’artiste.

65 x 65,5 cm à vue

Encadrée sous verre.

Provenance :

Acquis de Madame Lin directement par nos vendeurs.

LIN Fengmian (1900-1991) fait partie des plus illustres artistes chinois du XX^e siècle.

Issu  d’une famille de tailleurs de pierre, il commence à peindre alors qu’il n’a que cinq ans. Il  perd sa mère à sept ans. A quinze ans, il réussit son examen d’entrée à l’école provinciale de Meizhou. Il est l’un des premiers artistes chinois à étudier en France de 1918 à 1925, à Dijon d’abord, ensuite à Paris. A son retour en Chine, il occupe plusieurs postes officiels importants : président de l’Académie nationale des Arts de Pékin, directeur de l’Académie des Arts de Hangzhou.

Pendant environ 80 ans de création artistique, LIN Fengmian a acquis une notoriété nationale dès sa jeunesse. Il a aussi vécu les périodes les plus cruelles : d’août 1968 à décembre 1972 notamment, il a été mis en prison et maltraité. Il a connu une gloire internationale pendant ses dernières années. Malgré les aléas de la vie, LIN Fengmian est reste fidèle à ses principes, énoncés à 36 ans : aimer la nature, s’éloigner de l’argent et de la célébrité, être observateur, travailler diligemment pour  être un vrai artiste.

En voulant être différent des autres peintres chinois célèbres du XX^e siècle, comme QI Baishi, XU Beihong ou HUANG Binhong, LIN Fengmian a cherché à créer un style qui se distinguerait à la fois de la peinture traditionnelle chinoise et de la peinture occidentale moderne. En quête d’une  fusion parfaite entre  ces deux genres d’art, il a choisi le chemin le plus difficile et il a réussi. C’est peut-être pour cela que les rares grands peintres chinois modernes connus internationalement, tels que Zao Wou-Ki, Wu Guanzhong et Chu Teh-Chun sont tous des élèves de LIN Fengmian.

La plupart de ses peintures sont de forme carrée, format  qui n’existe quasiment pas dans la peinture chinoise. Il utilise souvent la perspective et la ligne de fuite comme dans la peinture occidentale. Il abandonne le principe : « l’harmonie de calligraphie, peinture, poèmes et cachet » qui est le principe le plus important de la peinture chinoise depuis le XIII^e siècle et laisse une signature simple sur un coin de sa peinture.

CHINE – Époque MING (1368-1644)

Encre sur soie, représentant deux immortels Hanshan et Shide auprès d’un arbre. Découpé en deux parties (collées sur toile et montées en châssis, restaurations, manques et pliures).

90 x 56 cm et 68 x 39,5 cm

CHINE – XIX^e siècle

Encre et couleurs sur soie, représentant une aigrette et deux oiseaux parmi les lotus.

Signé QIAN Jun (restaurations, manques et déchirure).

176, 5 x 92,5 cm