Trois pièces de 20 dollars or. 1887 et 1889. 

Poids : 100,21 g 

Pièce de 100 Francs en or, génie ailé. 1903. 

Poids : 32,2 g 1 200 / 1 400 €

Un heurtoir et un bouton en bronze.

– Petit heurtoir en bronze ciselé et patiné.

Il présente un visage de déesse laurée, prolongé par une longue chute feuillagée. Il est surmonté d’un cartouche rectangulaire sur lequel s’appuie une sphinge.

Style Empire, XIX^e siècle.

– Pommeau de porte en bronze patiné du début du XVIII^e siècle.

Il présente une épaisse platine moulurée supportant un fort piédouche sur lequel repose la poignée.

Deux serrures dont une de petit coffret du XVIII^e siècle, et un ensemble de bronzes dorés dont entrées de serrure, éléments décoratifs, boutons …

Trente pièces environ.

Ensemble comprenant des platines, des entrées de serrure, et une plaque ajourée à décor de fleur de lys (sans encadrement).

Du XVI^e siècle à la fin du XIX^e siècle.

Trente pièces environ.

Vingt targettes en fer découpé

Du XVI^e siècle à la fin du XIX^e siècle.

Important lot de quinze verrous ou éléments de verrous de porte (accidents et manques), en bronze doré pour certains.

Début et fin du XIX^e siècle.

Lot comprenant huit éléments d’ornements d’applique et des boutons de tirage de meuble en bronze doré.

Début du XIX^e siècle.

On joint des éléments de style Empire :

– Deux éléments d’applique en bronze ciselé et doré en forme de caducée.

– Un élément figurant des foudres.

– Deux petites rosaces de palmes et une plus grande à décor de tore de feuilles de laurier.

– Une boîte de robinets à décor d’une couronne de laurier entre deux abeilles, modèle similaire au Château de Compiègne.

Serrure de port en bronze ciselé et doré à décor de rais-de-cœur. La fixation est assurée par trois frettes.

Bouton de va-et-vient supprimé.

Marqué. Fleur de lys et T.H.

Modèle du Palais des Tuileries.

Epoque Louis XVI.

On joint :

– Une serrure à décor similaire avec un bouton de va-et-vient mais sans les frettes.

– Une gâche doublée en fer.

Les deux éléments de fabrication plus tardive.

 Eléments en bronze ciselé et doré du XVIII^e siècle.

– Paire de gonds de chaise à porteur.

– Paire d’importantes poignées de tirage de meuble à décor mouvementé de fleurons et de volutes feuillagées qui supportent deux coqs se faisant face.

– Boucle rocaille.

– Importante poignée en forme de deux C qui maintiennent un écu armorié (époque de cette poignée : fin du XIX^e siècle).

– Platine de poignée de meuble en forme de masque de grotesque (manque l’anneau tombant).

Lot comprenant :

– Deux targettes en bronze ciselé et doré.

XIX^e siècle, de style du XVIII^e siècle.

– Deux targettes en bronze ciselé et doré, modèle du Palais du Louvre au chiffre de l’Empereur. D’après un dessin de PERCIER et FONTAINE, mais de fabrication plus tardive.

– Targette et sa contrepartie en bronze ciselé et doré, modèle fait pour les appartements de Jérôme BONAPARTE, Roi de Westphalie pour le Palais Royal.

Fin du XIX^e siècle.

– Importante targette et sa contrepartie en bronze ciselé et doré. Chiffrée C.M.S.

Fin du XIX^e siècle.

– Petite targette et sa contrepartie en bronze ciselé et doré au chiffre de l’Empereur Napoléon sur le bouton et décor de palmette sur la platine.

Fin du XIX^e siècle.

– Targette et sa contrepartie (gâche) de style Directoire.

Fin du XIX^e siècle.

Important ensemble de quinze poignées d’espagnolette en bronze ciselé et doré.

Travail français du XVIII^e siècle au XX^e siècle.

Ensemble comprenant :

– Trois manchons de tige en bronze doré ciselé. 

XVIII^e et XIX^e siècles.

– Neuf butées d’espagnolette en bronze ciselé et doré.

Epoque de la fin du XVIII^e siècle, Empire et XIX^e siècle.

– Paire de poignées de carrosse en bronze.

XVIII^e siècle.

Important ensemble de dix-sept verrous en fer forgé découpé du XVIII^e siècle.

Certains plus tardifs.

– Cinq poignées d’espagnolette en fer ajouré et tourné.

Fin du XVIII^e siècle et du début du XIX^e siècle.

– Quatre ornements d’angle en fer découpé à décor de fleur de lys.

XVIII^e et XIX^e siècles.

– Une serrure en fer forgé au bonnet phrygien.

Vers 1800 (accidents).

Deux palâtres de serrure en fer repoussé.

– L’un à décor de griffons ailés.

– Le deuxième à décor de masque grotesque dans un médaillon ovale.

France, XVI^e siècle.

(Accidents et manques).

On joint un cache-entrée du XV^e siècle aux Armes de France.

Ensemble d’entrées de serrure.

– Une en fer découpé et repercé avec reste de dorure.

– Trois en bronze, Espagne XVII^e siècle.

– Cinq en fer gravé et découpé, XVI^e et XVII^e siècles.

France, dans l’esprit de Mathurin JOUSSE.

On joint deux entrées XVII^e et XVIII^e siècles.

Importante poignée de meuble ou de porte, de forme en demi-cintre, renflée en son milieu ciselé de feuillage et ornée d’un masque.

France, XVI^e siècle.

Lot de dix clefs de porte ou de meuble, avec principalement un anneau en cuisse de grenouille ou aux dauphins.

France, fin du XVII^e siècle, première partie du XVIII^e siècle.

Accidents et manques.

Intéressant lot de treize clefs.

France, Angleterre, des XVIII^e et XIX^e siècles.

Dont une clef de maîtrise du XIX^e siècle avec anneau en forme de lyre à trois cordes et dauphins. Elle est présentée avec une fraction de canon cannelé.

Et une autre clef aux dauphins en fer damasquiné également du XIX^e siècle.