Jean DUNAND (1897-1942)

Paravent à deux feuilles en laque à décor sur fond noir de poissons et motifs cylindriques.

Signature en bas à gauche. (accidents, fentes)

Hauteur : 180 cm – Largeur d’une feuille : 79 cm

Bibliographie :

Félix MARCILHAC, Jean Dunand : vie et œuvre  Paris, les Éd. de l’Amateur, n°10, p. 201

Exposition :
Galerie Georges Petit, 1923, sous le n°4

Nous remercions Monsieur Félix Marcilhac qui nous a gracieusement confirmé l’authenticité de cette œuvre.

Jean DUNAND (1897-1942)

Panneau de laque à décor or et polychrome de motifs géométriques, feuillage, couple de personnages (musicienne).

Epoque Art déco.

Hauteur : 63 cm – Largeur : 43 cm

Bibliographie :
Félix Marcilhac, Jean Dunand, vie et œuvre, Thames & Hudson, Londres, 1991. Les éditions de l’amateur, Paris, 1991, n°277, p. 231

Nous remercions Monsieur Félix Marcilhac qui nous a gracieusement confirmé l’authenticité de cette œuvre.

Marc CHAGALL (1887-1985)

PARAVENT Paris 1963

Composé de quatre lithographies en couleurs sur feuillets montés sur panneaux de bois, encadrement de chêne cérusé.

Bel exemplaire signé, numéroté 39/100.

Quelques éraflures et frottements, éraflure dans le ciel au second panneau, petit manque en bas au dernier panneau (Mourlot, Chagall lithographe n° 390)

Dimensions totales : 147 x 190 cm

Pablo PICASSO

Taureau

Céramique originale.

Cendrier/coupelle en terre de faïence blanche, décor à la paraffine oxydée, émail blanc, noir.

Trace du cachet Madoura et Edition Picasso au revers.

Diamètre : 14,5 cm

Modèle créé en 1952 et édité à 500 exemplaires.

Bibliographie :

Alain RAMIE, Picasso, catalogue de l’œuvre céramique, édité 1947-1971, Madoura, 1988, un exemplaire similaire est décrit et reproduit p. 95 sous le n°177.

REVENTOS (Ramon) – PICASSO (Pablo).

Deux contes. Le centaure Picador. Le crépuscule d’un faune. Paris et Barcelone, Albor, 1947, in-4 en feuilles sous couv. impr., chemise constituée de 2 plaques de bois attachées par des cordons de soie rouge.

EDITION ORIGINALE de la traduction française par Jaume Canayameres. Avec 4 eaux-fortes originales hors-texte de Pablo Picasso imprimée par l’atelier Roger Lacourière. Tirage limité à 250 ex. sur vélin de Lana (n°142). Brunissure à la couv. et pet. déchirure au dos de la couv.

TINGUELY (Jean) – PONTUS HULTEN (K.G.).

Méta. Paris, Horay, 1973, in-4, rel. en toile crème de l’éditeur sous la forme de valise illustrée en couleurs par Tinguely, avec rabat supérieur, fermoir métallique cassé et poignée.

EDITION ORIGINALE. Avec de nombreuses reproductions en noir et en couleurs, certaines sur papier calque. Avec un dessin original signé par Jean Tinguely, au verso un certificat indique « peinture exécutée en collaboration avec metamatic 8 de Tinguely le 8.6.74 à Stockholm ». Avec un envoi autographe signé de l’auteur accompagné d’un petit dessin « Pour la belle Kitty» sur la page de titre.

CHINE. Lin FENGMIAN (1900-1991)

Danseuse à la robe verte et à l’éventail

Encre et couleurs sur papier. Signée vers le bas à droite suivi du cachet rouge de l’artiste.

43 x 35 cm

LIN Fengmian (1900-1991) fait partie des plus illustres artistes chinois du XX^e siècle.

Issu  d’une famille de tailleurs de pierre, il commence à peindre alors qu’il n’a que cinq ans. Il  perd sa mère à sept ans. A quinze ans, il réussit son examen d’entrée à l’école provinciale de Meizhou. Il est l’un des premiers artistes chinois à étudier en France de 1918 à 1925, à Dijon d’abord, ensuite à Paris. A son retour en Chine, il occupe plusieurs postes officiels importants : président de l’Académie nationale des Arts de Pékin, directeur de l’Académie des Arts de Hangzhou.

Pendant environ 80 ans de création artistique, LIN Fengmian a acquis une notoriété nationale dès sa jeunesse. Il a aussi vécu les périodes les plus cruelles : d’août 1968 à décembre 1972 notamment, il a été mis en prison et maltraité. Il a connu une gloire internationale pendant ses dernières années. Malgré les aléas de la vie, LIN Fengmian est resté fidèle à ses principes, énoncés à 36 ans : aimer la nature, s’éloigner de l’argent et de la célébrité, être observateur, travailler diligemment pour  être un vrai artiste.

En voulant être différent des autres peintres chinois célèbres du XX^e siècle, comme QI Baishi, XU Beihong ou HUANG Binhong, LIN Fengmian a cherché à créer un style qui se distinguerait à la fois de la peinture traditionnelle chinoise et de la peinture occidentale moderne. En quête d’une  fusion parfaite entre  ces deux genres d’art, il a choisi le chemin le plus difficile et il a réussi. C’est peut-être pour cela que les rares grands peintres chinois modernes connus internationalement, tels que Zao Wou-Ki, Wu Guanzhong et Chu Teh-Chun sont tous des élèves de LIN Fengmian.

Il abandonne le principe : « l’harmonie de calligraphie, peinture, poèmes et cachet » qui est le principe le plus important de la peinture chinoise depuis le XIII^e siècle et laisse une signature simple sur un coin de sa peinture.

CHINE. Lin FENGMIAN (1900-1991)

Danseuse à la lance

Encre et couleurs sur papier. Signée en bas à gauche suivi du cachet rouge de l’artiste.

43 x 33 cm

LIN Fengmian (1900-1991) fait partie des plus illustres artistes chinois du XX^e siècle.

Issu  d’une famille de tailleurs de pierre, il commence à peindre alors qu’il n’a que cinq ans. Il  perd sa mère à sept ans. A quinze ans, il réussit son examen d’entrée à l’école provinciale de Meizhou. Il est l’un des premiers artistes chinois à étudier en France de 1918 à 1925, à Dijon d’abord, ensuite à Paris. A son retour en Chine, il occupe plusieurs postes officiels importants : président de l’Académie nationale des Arts de Pékin, directeur de l’Académie des Arts de Hangzhou.

Pendant environ 80 ans de création artistique, LIN Fengmian a acquis une notoriété nationale dès sa jeunesse. Il a aussi vécu les périodes les plus cruelles : d’août 1968 à décembre 1972 notamment, il a été mis en prison et maltraité. Il a connu une gloire internationale pendant ses dernières années. Malgré les aléas de la vie, LIN Fengmian est resté fidèle à ses principes, énoncés à 36 ans : aimer la nature, s’éloigner de l’argent et de la célébrité, être observateur, travailler diligemment pour  être un vrai artiste.

En voulant être différent des autres peintres chinois célèbres du XX^e siècle, comme QI Baishi, XU Beihong ou HUANG Binhong, LIN Fengmian a cherché à créer un style qui se distinguerait à la fois de la peinture traditionnelle chinoise et de la peinture occidentale moderne. En quête d’une  fusion parfaite entre  ces deux genres d’art, il a choisi le chemin le plus difficile et il a réussi. C’est peut-être pour cela que les rares grands peintres chinois modernes connus internationalement, tels que Zao Wou-Ki, Wu Guanzhong et Chu Teh-Chun sont tous des élèves de LIN Fengmian.

Il abandonne le principe : « l’harmonie de calligraphie, peinture, poèmes et cachet » qui est le principe le plus important de la peinture chinoise depuis le XIII^e siècle et laisse une signature simple sur un coin de sa peinture.

CHINE. Lin Fengmian (1900-1991)

Pavillon sous les pins

Encre et couleur sur papier.

Signé en bas à gauche.

38 x 39 cm à vue

Encadrée sous verre.

LIN Fengmian (1900-1991) fait partie des plus illustres artistes chinois du XX^e siècle.

Issu  d’une famille de tailleurs de pierre, il commence à peindre alors qu’il n’a que cinq ans. Il  perd sa mère à sept ans. A quinze ans, il réussit son examen d’entrée à l’école provinciale de Meizhou. Il est l’un des premiers artistes chinois à étudier en France de 1918 à 1925, à Dijon d’abord, ensuite à Paris. A son retour en Chine, il occupe plusieurs postes officiels importants : président de l’Académie nationale des Arts de Pékin, directeur de l’Académie des Arts de Hangzhou.

Pendant environ 80 ans de création artistique, LIN Fengmian a acquis une notoriété nationale dès sa jeunesse. Il a aussi vécu les périodes les plus cruelles : d’août 1968 à décembre 1972 notamment, il a été mis en prison et maltraité. Il a connu une gloire internationale pendant ses dernières années. Malgré les aléas de la vie, LIN Fengmian est resté fidèle à ses principes, énoncés à 36 ans : aimer la nature, s’éloigner de l’argent et de la célébrité, être observateur, travailler diligemment pour  être un vrai artiste.

En voulant être différent des autres peintres chinois célèbres du XX^e siècle, comme QI Baishi, XU Beihong ou HUANG Binhong, LIN Fengmian a cherché à créer un style qui se distinguerait à la fois de la peinture traditionnelle chinoise et de la peinture occidentale moderne. En quête d’une  fusion parfaite entre  ces deux genres d’art, il a choisi le chemin le plus difficile et il a réussi. C’est peut-être pour cela que les rares grands peintres chinois modernes connus internationalement, tels que Zao Wou-Ki, Wu Guanzhong et Chu Teh-Chun sont tous des élèves de LIN Fengmian.

Il abandonne le principe : « l’harmonie de calligraphie, peinture, poèmes et cachet » qui est le principe le plus important de la peinture chinoise depuis le XIII^e siècle et laisse une signature simple sur un coin de sa peinture.

Jean BOUCHAUD (1891-1977)

Les laveuses à Hue

Huile sur toile, signée en bas à droite.

Titrée au revers du châssis sur une étiquette.

100,5 x 81 cm

MAX ERNST (1891-1976)

Etoile de mer

Dessin au crayon, signé en bas à droite.

Au revers, porte une étiquette de l’exposition Art du XX^e siècle au musée d’art et d’histoire de Genève du 28 juin au 23 septembre 1973 où cette œuvre était répertoriée sous le n° 97.

11 x 20 cm

Bibliographie :

Reproduit au catalogue raisonné de Max ERNST sous le numéro 4328.

Exposition en 1970 : « The Generation of Surrealists, Drawings and Prints, 1925-1950 », New York Blue Moon Gallery, 21.02 – 28.03 1970 Et les Collections genevoises : « Art du 20e siècle, collections genevoises », Genf, Musée Rath, cabinet des Estampes, 28.06 – 23.09 1973

André DERAIN (1880-1954)

Portrait de Bela HEIN

Huile sur toile, signée en bas à droite avec envoi A l’ami Hein.

54,5 x 46 cm

Il s’agit du portrait du célèbre marchand d’art primitif et grand collectionneur.

BERNARD BUFFET (1928-1999)

« Saint-Briac, bateaux échoués à marée basse »

Huile sur toile signée et datée 1973 en haut à droite. Titrée au dos.

90 x 130 cm

Muni du duplicata du certificat délivré par Madame Céline Lévy de la galerie Maurice Garnier en date du 4 octobre 2019.

Jean-Michel ATLAN (1913-1960)

Sans titre

Huile sur toile, signée en bas vers le milieu.

60 x 92 cm

Exposition :

Au revers du châssis, une étiquette de l’exposition Jean Atlan au château de Simiane – Valréas, juillet-Août 1967 sous le n°13 du catalogue.

Provenance :

Une deuxième étiquette de la galerie Cavalero à Cannes mentionne la provenance de l’ancienne collection Bing.

Félix ZIEM (1821-1911)

Port méditerranéen

Huile sur panneau, signée en bas à gauche.

49 x 63 cm – Dans un cadre patiné.

L’Association Félix Ziem, représentée par Mathias Ary Jan, Davis Pluskwa et Gérard Fabre, a confirmé l’authenticité de cette œuvre qui sera reproduite dans le catalogue raisonné en préparation. Un certificat d’authenticité sera délivré à l’acquereur.

Eugène LAMI (1800-1890)

Le départ pour la promenade à cheval

Toile

32 x 54,5 cm

Signé en bas à gauche Eugene LAMI / 1847

Cadre en bois sculpté et doré d’époque Louis XIV ressemelé.

Provenance:

Vente Paris, Galerie Charpentier, 19 mai 1950, n°6, reproduit planche III ;

Vente Sotheby’s Londres, 16 octobre 1974, n° 82 reproduit.

François-André VINCENT (Paris, 1746-1816)

Portrait d’homme en buste, peut-être le sculpteur Jean-Joseph FOUCOU (1739-1815)

Toile (accident au centre à droite).

Sans cadre.

59 x 47 cm

Provenance :

Collection BOITELLE.

Vente BOITELLE, 2 avril 1874 n°16.

Seconde vente BOITELLE, 13 mars 1891, n°9.

Paris, collection Sigismond BARDAC.

Vente Paris, Hotel Drouot, 3 avril 1911, n°33, ill.

Paris, collection Louis RENAULT.

Paris, Maurice SEGOURA, 1989.

Collection particulière.

Exposition :

Chardin-Fragonard, organisé par le Comité Chardin et Fragonard et la revue de L’Art et les Artistes pour ériger un monument à Chardin, Paris, galerie George Petit, juin-juillet 1907, n°89 (Fragonard).

Bibliographie :

Baron Roger PORTALIS, Fragonard, sa vie, son œuvre, Paris, J. Rothschild, 1889, p. 165, p. 277.

Pierre de NOLHAC, J. H. Fragonard 1732-1806, Paris, 1906, p. 110 (Fragonnard, Portrait de Foucou, le sculpteur).

Louis REAU, Fragonnard. Sa vie et son œuvre, Bruxelles, Elsevier, 1956, p.173 (Fragonard).

George WILDENSTEIN, The paintings of Fragonard, Londres, Phaidon, 1960, p.25 et n°372, repr. fig. 158 (Fragonard, années 1773-1776).

Daniel WILDENSTEIN, Gabriele MANDEL, L‘opera completa di Fragonard, Milan, Rizzoli, 1972, p. 103, n°396, ill. (Fragonard).

Jean-Pierre CUZIN, De Fragonard à Vincent, Bulletin de la Société de l’Histoire de l’Art français, 1981 (1983), p. 106-107, p. 121, note 7 (Vincent ?).

Jean-Pierre CUZIN, François-André Vincent, 1746-1816, entre Fragonard et David, Arthéna, Paris, 2013, p. 347, cat. 32 P, reproduit.

L’identification du modèle avec le sculpteur est traditionnelle. Ce tableau a longtemps été attribué à FRAGONARD, au vu de la rapidité de la touche et de la fermeté du modelé. Il a été rendu à VINCENT par Jean-Pierre CUZIN en 1981, qui le date vers 1770-1771 juste avant le départ des deux artistes pour l’Italie. Jean-Joseph FOUCOU avait alors 31 ans.

Antoine-Louis GIRODET (1767-1824), entourage de

Portrait d’homme

Huile sur toile.

54 x 65 cm

Charles LEPEINTRE (Paris 1735-1799)

Portrait de Françoise-Marie-Rosette Gourgaud, dite Madame Vestris, dans le role d’Electre

Toile

60,5 x 45 cm

Dans un cadre en bois sculpté et doré, travail français du XVIII^e siècle.

Provenance :

Chez Cailleux, Paris en 1935.

Expositions :

Les Arts au Théâtre, Paris, galerie Charpentier, 1925, n°71 ;

Le Théâtre à Paris,  Paris, musée Carnavalet 1929, n° 45;

Troisième Centenaire de l’Académie Francaise, Paris Bibliothèque nationale, 1935, n° 783 ; Célébrités Françaises, Paris, galerie Charpentier, 1954, n°127.

 L’actrice Françoise Rose Gourgaud, dite Vestris, actrice de la Comédie Française (1743-1804) est ici représentée dans le rôle d’Electre.

Alexandre-François DESPORTES (Champigneulle 1661- Paris 1743)

Chien à l’arrêt devant un trophée de perdrix, col-vert et bécasse : au-dessus deux éperviers branchés

Toile

126 x 138 cm

Signée et datée sur le tronc : Desportes / 1728

Bibliographie : Georges de Lastic, Pierre Jacky ; Desportes, catalogue raisonné, éditions Monelle Hayot, 2010 Ill. p. 201

Œuvres en rapport : Huiles sur papier représentant le Faucon pèlerin et le Faucon pèlerin chaperonné, Lastic et Jacky, p.65 (P274 et P275).