Allégorie de l’Amour et de la Force, un enfant conduisant un lion

Groupe en bronze ciselé doré. Repose sur un socle rectangulaire en bois noirci ou placage d’ébène incrusté de filets de laiton et d’une frise de laurier en bronze doré.

Epoque Louis XVI.

Hauteur : 42,5 cm – Largeur : 39,5 cm – Profondeur : 20 cm

La représentation de la force par le lion et celle de l’amour par l’enfant.

Coupe couverte en en porcelaine de Chine dite Arlequin. Dans une monture en bronze doré. Le piétement tripode ciselé de têtes de personnages.

Travail probablement d’époque Louis XIV.

Hauteur : 22 cm – Diamètre : 14 cm

Paire de larges fauteuils en bois sculpté et redoré.

Époque Louis XV (restaurations et réparations, sans garantie d’état du bois sous la dorure).

Hauteur : 93 cm – Largeur : 66 cm – Profondeur : 56 cm

Paire d’appliques de trumeau en bronze ciselé et redoré à décor de feuillages et tête de faune.

Époque Louis XVI.

Hauteur : 25 cm

Plaque de cheminée.

52 x 57 cm

Paire de chenets aux sphinges en bronze.

Style Louis XIV, XIX^e siècle.

Hauteur : 30 cm – Largeur : 16 cm – Profondeur : 50 cm

Salière provenant d’un surtout de table en bronze doré ciselé formé d’un triton supportant un poisson surmonté d’une coupe en forme de coquille. L’ensemble sur une base rocheuse.

Probablement Allemagne, XVIII^e siècle.

Hauteur : 15 cm – Largeur : 11 cm – Profondeur : 11 cm

Lot de coussins.

Armoire en marqueterie Boulle, à panneaux de laque rapportés.

Style Louis XIV (modification).

Hauteur : 250 cm – Largeur : 130,5 cm – Profondeur : 37 cm

Fauteuil en bois naturel sculpté mouluré. Le dossier mouvementé à décor de grenades stylisées, agrafes et feuillage en rappel sur la ceinture. Accotoirs mouvementés. Pieds cambrés sculptés de motifs floraux. Assise et dossier à fond de canne.

Estampille de DIEUDONNE.

Epoque Louis XV (restaurations).

Hauteur : 84 cm – Largeur : 62 cm – Profondeur : 70 cm

Étienne II DIEUDONNE, reçu Maître le 27 juin 1740.

Bureau plat en placage d’amarante ouvrant par trois tiroirs en ceinture, celui du centre en défoncement et trois simulés sur le côté opposé. Plateau recouvert d’un cuir doré au petit fer et serti d’une lingotière de bronze. Pieds légèrement cambrés. Ornementation de bronzes rapportés.

Fin de l’époque Louis XIV. (replacage et restaurations)

Hauteur : 76 cm – Largeur : 130 cm – Profondeur : 72 cm

Paire de candélabres à cinq lumières en bronze argenté.

Proviennent du service de Napoléon III aux Tuileries.

Reposent sur un piédouche au revers duquel est gravée l’inscription candélabres ayant appartenu à Sa Majesté l’Empereur Napoléon III ayant été achetés au Louvre après la guerre de 70 par Monsieur J. de Menderville.

Epoque Napoléon III.

Hauteur : 50 cm – Largeur : 31 cm

AUBUSSON, Manufacture Royale

Le thé du Prince chinois

D’après un carton de François BOUCHER.

Tapisserie et ses bordures

XVIII^e siècle (insolée).

Hauteur : 251 cm – Longueur : 430 cm

Dix esquisses de François BOUCHER peintes en 1742 conservées au Musée de Besançon sont à l’origine de cette tenture, seules six donnèrent lieu à une tapisserie. A savoir : n° 1 Le Repas, n° 2 La Foire, n°3 La Danse, n°4 La Pêche, n° 5 La Chasse et la n° 6 La Toilette. En 1758 furent tissées six pièces pour le Roi, avec les armes du Roi dans la bordure. Dans le relevé de fournitures faites aux affaires étrangères et sur ordre particulier du Roi, il est indiqué : 6 pièces tissées en 1758. 6 pièces livrées à M. Bertin pour envoyer en Chine. La seconde tenture chinoise fut un succès considérable. Douze tentures furent exécutées entre 1743 et 1775. La neuvième fut commandée en 1759 sur ordre du Roi et donnée en 1763 à Bertin alors ministre des affaires étrangères et collectionneur d’objets d’Orient. Il en fit cadeau à de jeunes chinois retournant à la mission des Jésuites à Pékin. Elle fut offerte par la mission à l’Empereur Kien Long.

Bibliographie :

The Cleveland Museum of Art, La foire chinoise.

Madeleine Jarry, Le rayonnement du goût chinois sur les Arts décoratifs des XVII^e et XVIII^e siècles, Office du Livre éditions Vilo.

Expositions :

Actuellement jusqu’au 2 mars 2020, Une des provinces du Rococo. La Chine rêvée de François Boucher, au musée des beaux-arts et d’archéologie de Besançon.

Tabouret en bois naturel sculpté, pieds cambrés à entretoise en X, se terminant par des sabots.

Époque Louis XV.

Porte une marque non identifiée (décapé).

Hauteur : 38 cm – Largeur : 56 cm – Profondeur : 39 cm

Paire de fauteuils cabriolets en bois naturel ciré, sculpté de fleurettes. Pieds cambrés, garnis de petits points.

Époque Louis XV, porte une estampille de CRESSON.

Hauteur : 86 cm – Largeur : 59 cm – Profondeur : 51 cm

Grand canapé tapissier, tissu vieux rose.

Hauteur : 80 cm – Largeur : 222 cm – Profondeur : 86 cm

Lampe bouillotte à deux bras de lumière en laiton. Repose sur un piédouche à frise de lotus. Abat-jour ovale en tôle peinte.

Epoque Restauration (usures).

Hauteur : 48 cm – Largeur : 23 cm

On joint une mouchette.

Maquette de bateau de pêche à la crevette, en bois polychrome sur son socle en bois.

Hauteur : 80 cm – Longueur : 135 cm – Profondeur : 36 cm

Paire de cache-pots en terre cuite polychrome formés de tête de Négresse.

Travail italien du XVIII^e siècle, probablement Sicilien ?

Hauteur : 33,5 cm – Largeur : 29 cm

Lustre en pâte dorée à quatre bras de lumière formé de mufles de lion s’échappant d’une corbeille ajourée à décor de motifs floraux.

Travail autrichien, vers 1820 (monté à l’électricité).

Hauteur : 77 cm – Diamètre : environ 40 cm