Chape de procession en tissus rouge et décor or.

Paire d’appliques à deux bras de lumière en métal argenté, le fut formé d’un vase Médicis d’où s’échappe une gerbe de fleurs.

Attribuée à BAGUES.

38 x 20 cm

Deux bergères de forme gondole, le bois teinté façon acajou. Recouvert de tissu bleu.

XX^e siècle.

Hauteur : 75 cm – Largeur : 67 cm – Profondeur : 66 cm

Lot de chaises et fauteuils divers. 

Certains à l’état d’épave.

Six chaises légères à dossier ajouré (garnies de velours bleu).

Style Louis XVI.

Lot comprenant deux tables en bois naturel, l’une le plateau amovible. XI^e siècle – Chevet rustique en bois naturel, pieds tournés fuselés. Hauteur : 68 cm – Largeur : 44 cm – Profondeur : 27 cm – On joint une paire de lampe en métal doré, XX^e siècle.

Lustre en métal doré à dix-huit bras de lumière formés de fleurs et feuillages.

Style Rocaille.

Hauteur : 82 cm

Paire de chenets aux lévriers en bronze doré patiné et ciselé.

XIX^e siècle.

Hauteur : 24 cm – Largeur : 24 cm

Console en acajou et placage d’acajou ouvrant par un tiroir en ceinture, pieds colonne et dessus de marbre gris,

Epoque Empire. 

Lit bateau en noyer et placage de noyer.

XIX^e siècle.

Hauteur : 100 cm – Largeur : 194 cm – Profondeur : 96 cm

On joint :

Chevet en acajou et placage d’acajou à volets. Pieds cambrés se terminant par des roulettes. Hauteur : 71 cm – Largeur : 55 cm – Profondeur : 36 cm

Deux cassolettes en bronze doré, le fût formé d’une colonne à cannelures sur lequel repose un vase à l’antique. Le binet réversible se transforme en bougeoir.

Début du XIX^e siècle.

Hauteur : 27 cm – Largeur : 6,5 cm

Pendule représentant l’allégorie de la Fidélité figurant un mouton couché en bronze doré. Le cadran supporté par quatre sphinges, repose sur un socle rectangulaire ornée d’une frise de putti.

Le cadran signé F. PERIE à Paris. 

Epoque Empire. 

Hauteur : 37 cm – Largeur : 22 cm – Profondeur : 12 cm

Console en acajou et placage d’acajou et un miroir. Pieds griffe.

Epoque Restauration.

On joint :

Miroir en bois doré.

XIX^e siècle (accidents et manques).

Pendule squelette en bois de placage, marbre et bronze doré, le cadran à décor de deux putti de part et d’autre d’une enclume et d’une roue à rémouler signée de Ferdinand STRECHER. Le mouvement surmonté d’un aigle, les ailes déployées, repose sur des colonnes en marbre de Sienne sur fond de miroir, elles-mêmes sur un socle en bois de placage.

Travail autrichien du début XIX^e siècle.

Hauteur : 62 cm – Largeur : 38 cm

Console en acajou et placage d’acajou. Pieds antérieurs en colonne à bague de bronze. Un tiroir en ceinture. Dessus de granit de Belgique.

Epoque Empire.

Hauteur : 88 cm – Largeur : 97 cm – Profondeur : 43 cm

Meuble desserte en acajou et placage d’acajou ouvrant par deux portes en façade. Pieds gaine. Plateau de granite noir.

Début du XIX^e siècle. 

Hauteur : 80 cm – Largeur : 80 cm – Profondeur : 63 cm

Pendule borne en bronze ciselé et doré à décor de plaques de porcelaine polychrome et bordures bleues célestes dans la manière de Sèvres.

Style Louis XVI, fin du XIXe siècle. (petits accidents notamment aux aiguilles).

Hauteur : 48 cm – Largeur : 24 cm

Bureau plat en placage d’acajou, il présente deux tiroirs en ceinture. Plateau de basane. Pieds gaine.

Style Louis XVI, début du XX^e siècle.

Hauteur : 78 cm – Largeur : 110 cm – Profondeur : 58 cm

PIANO-GIRAFE. Par Corneille Charles Emmanuel van der DOES (1769-1827)

En acajou et placage d’acajou de Cuba. Une corniche en bois sculpté et doré s’enroule sur une crosse au sommet de l’instrument. Celle-ci prend appui sur une colonne cannelée, surmontée d’un chapiteau corinthien, et reposant sur un stylobate d’acajou. La console est soutenue par deux lions, en bois doré sur fond noir. Le couvercle du clavier est arrondi.

Epoque Empire. 

Hauteur : 226 cm – Largeur : 134 cm – Profondeur : 64 cm

Typique de l’époque Empire, le piano-girafe est la forme verticale du piano de concert. Les premiers modèles sont probablement fabriqués à Vienne autour de 1800. Leurs qualités décoratives nettement privilégiées par rapport aux autres instruments de forme plus classique, assurent leur succès dans les salons des capitales européennes. Adaptés par les ébénistes à la mode, au jeu et à l’esthétique de la clientèle, ils sont joués principalement aux Pays-Bas, en Prusse et en France.

Un instrument comparable conservé à Londres au Victoria et Albert Museum.

Deux instruments portant la signature de Cornelius van der DOES sont répertoriés à ce jour : un piano carré, conservé au Métropolitan Museum of Art de New-York et l’un au Victoria et Albert Museum de Londres.

Bibliographie :

Pascale Vandervellen, Le piano de style en Europe, des origines à 1850, Mardaga ed. Liège 1994. pp.103-104.

Martha Novak Clinskale, Makers of the Piano 1700-1820, Oxford University Press, New York 1993.

Philip James, Early Keyboard Instruments, P. Davies ed. Londres 1930.

Rosamund Harding, The Piano-forte, Da Capo press, Londres 1933.

Howard Scott, Victoria and Albert Museum, Catalogue of Musical Instruments, Vol 1. p.117.

Table en palissandre et placage de palissandre à plateau dépliant, le fût tronconique repose sur un piétement quadripode.

Travail d’époque Regency. 

Hauteur : 74 cm – Largeur : 34 cm – Profondeur : 36 cm