Targette de fer repoussé, ciselé, ajouré.

La platine verticale, en rectangle allongé présente un décor asymétrique. La partie supérieure est ajourée et repoussée d’une guirlande de chardons dans un encadrement mouluré en saillie. En partie basse, le décor se réduit à une simple accolade. Important bouton présentant un cadre circulaire mouluré d’où émerge un buste d’homme ciselé en ronde bosse. Noter l’ornementation encore gothique de la platine et le décor déjà Renaissance du bouton. Traces d’étamage au revers.

France, début de la Renaissance.

Légers accidents et manque.

Hauteur : 19,1 cm

Targette à platine asymétrique en fer ajouré et gravé.

La partie supérieure de la platine ajourée représente deux dauphins à contours mouvementés que surmonte une couronne. Les dauphins reposent sur un entablement mouluré. La partie inférieure est repercée d’un motif en accolade chargé d’un culot. Le pêne à section semi circulaire, ainsi que les étriers gravés d’une série de filets parallèles. Le bouton conique.

France, fin du XVIe siècle.

Hauteur : 11,5 cm – Longueur : 8,2 cm

Targette de fer ciselé, ajouré, repoussé.

La platine carrée, ajourée à chaque angle de feuillages stylisés repoussés. La cage ajourée de fenestrages gothiques entre deux cordons torsadés. Le bouton ciselé, quadrilobé, conique.

France, XVe/XVIe siècle.

Hauteur : 10,3 cm – Longueur : 12,1 cm (au pêne).

Targette à platine asymétrique en fer repercé et ciselé du XVIe siècle.

La platine à décor de bonnet phrygien d’un côté et de deux petites flammes de l’autre. Le bouton du pêne ciselé en forme de pyramide. Les étriers, chanfreinés, dessinant un Z. Curieux modèle d’un décor peu commun.

France, XVIe siècle.

Hauteur : 12,7 cm – Longueur : 12,3 cm

Targette en fer ajouré, gravé et ciselé d’époque gothique.

La platine en rectangle allongé, de tôle unie, supporte une longue gaine légèrement bombée, ajourée de motifs végétaux et encadrée de cordons torsadés dans laquelle coulisse le pêne. Le bouton du pêne figure un profil de guerrier casqué et barbu.

Tôle de fer et fer repoussé, ajouré et ciselé.

Elégant travail gothique peut-être originaire des Flandres, XVe siècle ou début du XVIe siècle.

Longueur : 16,8 cm – Hauteur : 4,3 cm – Epaisseur cage : 1,6 cm

Bibliographie :

Cf. Metmann pl. 13 : n° 131.

Targette de fer ciselé et repercé d’époque gothique.

La platine en rectangle allongé terminé d’une fleur de lys. La cage ornée d’ajourages gothiques encadrés de cordons torsadés. Le bouton du pêne ciselé d’un visage de guerrier traité en haut relief.

Flandres, XVe siècle.

Restaurations.

Longueur : 12,9 cm

Targette formant serrure en fer découpé et ciselé du début du XVIe siècle.

La platine, verticale présente deux décors différents. En partie haute elle est repercée d’une haute couronne tréflée. En partie basse, elle présente un accueillage de clef chiffré qu’entoure une accolade rivetée en saillie, terminée de trois fleurs de lys. La platine est prolongée en son milieu par deux fleurons fleurdelysés surmontés d’un ornement découpé et repoussé de trois fleurs de lys. En saillie sur la platine, le pêne coulisse dans une cage ajourée de lancettes traitées en orbevoie et encadrées de deux cordelières torsadées. La prise du pêne représente un visage de vieillard barbu. Mécanisme encloisonné.

Début du XVIe siècle.

Longueur : 14,9 cm – Hauteur : 16 cm

Serrure formant verrou en fer découpé et ciselé de la fin du XVe siècle.

Le palâtre rectangulaire est sommé en partie haute d’une longue couronne repercée de disques. Elle surmonte la cage, ajourée de motifs ogivaux, où coulisse le pêne que termine un petit bouton à décor d’une tête de guivre. En partie basse, l’accueillage est surmonté d’une accolade en saillie au centre d’une plaque aux contours crénelés. Mécanisme encloisonné.

Travail de la fin du XVe siècle ou début du XVI^e siècle.

Hauteur : 11,6 cm – Longueur : 13,9 cm

Serrure de coffre et un moraillon en fer repercé en orbevoie et ciselé du XVIe siècle.

Le palâtre rectangulaire présente sur trois côtés un large encadrement de frises de motifs ogivaux multilobés repercés en orbevoie. A l’intérieur de l’encadrement deux colonnettes torses prolongées de pinacles fleuronnés, posées en appliques entourent le moraillon et l’accueillage de la clef. Ce dernier se devine au centre d’un ensemble de fenestrages ogivaux repercés sur lequel vient se fixer en applique un dais voluté surmonté d’un cœur et sommé d’un fleuron ciselé. A ses côtés, le moraillon ciselé en haut relief d’une statue de Saint Pierre tenant une clef, vient se loger dans un compartiment dont la base est repercée de motifs lancéolés. Le mécanisme encloisonné.

Travail français du XVIe siècle.

Modification dans la fixation et moraillon anciennement adapté.

Hauteur : 15,9 cm – Longueur : 12,4 cm

Serrure de coffre et un moraillon en fer du XVIe siècle.

Le pourtour du palâtre de forte tôle est repercé et découpé sur trois côtés de motifs à fenestrages et d’ornements fleuronnés. Au centre de la plaque, un logement en U et en saillie accueille le moraillon en forme d’animal fantastique ou « guivre » au corps pisciforme renflé, gravé de filets et prolongé d’une fine queue enroulée. De part et d’autre du moraillon, deux contreforts posés en saillie sont sommés de petits pinacles.

Un des deux pinacles forme cache entrée, le troisième est manquant.

Travail du XVIe siècle.

Accidents.

Hauteur : 22 cm – Longueur : 14,1 cm – Hauteur moraillon : 17,4 cm

Serrure à vertevelle en fer ciselé du XVe siècle.

Le fond de la serrure est ajouré de barreaudages alternés de pinacles ciselés sur lesquels sont posées en saillie deux arcatures gothiques sommées de fleurons feuillagés et entièrement repercées de fenestrages asymétriques travaillés en orbevoie. Au centre de ce travail sous une des deux arcatures s’ouvre l’accueillage horizontal. Ce décor s’appuie sur une longue cage rectangulaire, en saillie, ajourée et ciselée de petits écussons garnis de fenestrages travaillés également en orbevoie. Le pêne – très simple – qui coulisse dans cette cage est actionné soit par un petit bouton sphérique posé en saillie, soit par une importante pendeloque en forme de goutte ajourée de fenestrages encadrés de moulures, sur lesquels s’appuie une coquille. Cette pendeloque est terminée d’un petit balustre. Sous l’extrémité du pêne, la platine de la serrure se prolonge par un large compartiment ajouré d’une rosace au centre d’un encadrement mouluré. Un élégant rameau floral terminé de trèfles s’élève au-dessus de ce compartiment et vient s’appuyer sur un des pinacles. Une longue tige plate fixée sur le pêne au revers de la serrure permet de l’actionner au travers de la porte

Fer ajouré, mouluré, ciselé et travaillé en orbevoie.

France ou Espagne, époque gothique.

Restauration à la vertevelle et manque le haut du pinacle central.

Hauteur 16,1 cm – Longueur : 22,6 cm (hors pêne)

Hauteur pendeloque : 12,6 cm

Façade de serrure à vertevelle en fer ciselé.

Le palâtre, presque carré, encadré d’une mince baguette striée. Il est orné de deux pinacles ciselés, fleuronnés posés en saillie qui flanquent une accolade sommée d’une large pique. Deux petites têtes ciselées en saillie au-dessus de l’accolade complètent ce décor (anciens clous de fixation). En dessous, le pêne est orné d’un bouton rond ciselé en haut relief d’un visage lunaire. Il coulisse entre deux baguettes striées et deux larges étriers moulurés.

Fin du XVe siècle ou début du XVIe siècle.

Hauteur : 20,5 cm – Longueur : 18,8 cm – Longueur vertevelle : 24,3 cm

Importante serrure de porte allemande de la fin du XVIIe siècle.

Le boîtier légèrement cruciforme offre à la vue l’ensemble du mécanisme comme il est fréquent pour les serrures de cette origine. Mécanisme à cinq pênes. Petite tourelle en forme de dôme octogonal abritant les garnitures de la clef en saillie sur le boîtier. Une plaque entièrement ajourée gravée de volutes et de feuillages recouvre le mécanisme du côté des pênes. Importante poignée en crosse formée d’un épais ruban dessinant des volutes et des rinceaux gravés.

Allemagne, fin du XVIIe siècle.

Longueur : 33,8 cm – Largeur : 15,8 cm

Serrure de porte ou de meuble allemande en fer gravé du XVIIe siècle.

Elle comporte une importante platine largement ajourée et gravée, débordante, sur laquelle repose le boîtier cruciforme abritant le mécanisme recouvert d’une plaque également ornée de larges ajourages et gravée de chimères, volutes et feuillages stylisés. Elle est fixée par cinq jolies vis moulurées. En saillie sur le boîtier, un petit dôme octogonal abrite les garnitures de la serrure. Mécanisme à quatre pênes.

Beau travail allemand typique des serrures de cette époque que l’on retrouve dans l’ensemble des états germaniques.

Longueur : 41,9 cm – Largeur : 21 cm

Superbe serrure de porte en fer ciselé, repercé et gravé aux armes du Surintendant Fouquet et attribué à Homer Mourie. XVIIe siècle.

Le palâtre présente aux quatre angles un écoinçon finement gravé d’un entrelacs de rinceaux et feuillages. Au centre, posée en forte saillie, le faux fond, une importante tête de lion maintient dans sa gueule une guirlande de feuillage qui l’entoure complètement. La tête de lion est très finement ciselée en haut relief, la guirlande en léger relief. Au-dessus coulisse le va-et-vient actionné par un bouton ciselé de godrons. De part et d’autre de la gueule de lion, le palâtre est gravé de deux médaillons entourés de rameaux feuillagés et surmontés d’une couronne comtale. Un des médaillons présente un monogramme offrant des F inversés, adossés et entrecroisés et l’autre un écu armorié figurant un écureuil dressé regardant à sénestre. Le foncet gravé de volutes est couronné d’une frise de rinceaux feuillagés centrée d’un masque de grotesque sous laquelle sont gravés les lettres HOM. Hormis l’extrémité des pênes toutes les parties visibles du mécanisme sont richement ciselées et gravées d’une profusion de décors différents : masques, volutes, rinceaux etc. Le conduit du va-et-vient gravé, repercé et ciselé de frises est terminé de serpents entrelacés. Le canon de la serrure est foré à tiers point cannelé. Les trois côtés de la serrure ainsi que la têtière sont finement gravés de filets terminés de fleurs et d’entrelacs. Les côtés sont fixés par cinq vis.

Ce très beau travail de serrurerie française de la seconde moitié du XVIIe siècle est remarquable à la fois par sa qualité d’exécution (qui laisse présumer qu’il s’agit très probablement d’un travail de maîtrise) et par sa provenance puisqu’elle porte les armes de Nicolas Fouquet (1615- 1680), Surintendant des Finances de Louis XIV ainsi que son chiffre où les F inversés et entrelacés dessinent les C chiffre de sa seconde femme Marie Madeleine de Castille.

La marque HOM sur le foncet pourrait être la signature d’HOMER MOURIE ou MOREAU. Serrurier et ornemaniste actif vers 1635 dont le Musée Victoria & Albert conserve des dessins présentant des décors de même esprit avec une signature identique.

22,3 x 8,3 cm – Epaisseur : 3,2 cm

Référence :

La fidèle ouverture ou l’art du serrurier, Rouen 2007, Marie Pessiot, n°123 du catalogue de l’exposition, p. 140.

Clefs, Gabriele Mandel, p. 89 n°238 – 239.

Exposition :

Bordeaux, 1973, n°175.

Elégante serrure de meuble en fer ciselé et sa clef.

Le palâtre rectangulaire en fer plat présente sur sa face extérieure un important faux fond très richement ciselé d’un tronc de cylindre, d’une rosace, d’une fleur en très léger relief.

Cet élément s’appuie sur une platine asymétrique ciselée d’un beau fleuron très finement rehaussé de feuillages d’un côté et de l’autre, de doubles consoles sommées de volutes et garnies intérieurement de fleurs de lys et de feuilles de persil superbement ciselées et feuillagées.

Entre les ciselures tous les fonds sont sablés.

La clef à anneau simple en cuisse de grenouille, surmonte une longue bossette en balustre et à courte tige forée en tiers point cannelé. Panneton à museau et râteaux, repercé de pertuis ouverts.

Les côtés du palâtre sont montés à vis. La serrure comportait trois pattes et entraînait peut-être des verrous de blocages verticaux.

Mécanisme à trois pênes.

Bel ouvrage de serrurier français.

Travail de maîtrise du début du XVIIIe siècle.

Serrure : Longueur : 22,7 cm – Hauteur : 13 cm

Clef : Largeur anneau : 7 cm – Hauteur : 19 cm

Serrure de porte au chiffre des Montmorency en fer ciselé et gravé. 

Le palâtre rectangulaire est entièrement gravé de feuillages et de rinceaux qui entourent deux monogrammes aux lettres AMD entrelacées, surmontés d’une couronne à boules et feuilles de chêne alternées. Bouton de va-et-vient en saillie sur le palâtre, en forme de demi-sphère posée sur une platine ciselée de coqs stylisés. Au revers, le foncet est superbement gravé d’entrelacs, de feuillages d’un dessin très élaboré et surmonté d’un couronnement ajouré et également gravé d’un couple de personnages ailés, enlacés, terminés de queues feuillagées et fleuronnées à enroulements multiples. Les autres parties du mécanisme sont ciselées, moulurées et le pêne entièrement gravé d’ornements divers. 

Rare et beau travail français de la fin du XVI^e siècle. 

Noter la qualité d’exécution de la gravure du foncet. 

Bien que le chiffre d’Anne de Montmorency, le plus souvent utilisé par le Connétable, soit un entrelacs de A et M ; on trouve, et notamment à Ecouen, le monogramme AMD que nous avons ici. Il est donc vraisemblable que cette serrure fût exécutée pour une des demeures du Connétable. 

Manque le canon et l’embout.

Dimensions : 22,2 cm – 8,7 cm – Epaisseur : 2,6 cm

Bibliographie : 

La Fidèle ouverture ou l’art du serrurier,Marie Pessiot, n°93 du catalogue de l’exposition Rouen 2007, p. 119.

Importante serrure de maîtrise en fer ciselé de la fin du XVII^e ou du début du XVIII^e siècle.

De forme rectangulaire, elle présente un encadrement richement mouluré entourant trois compartiments. Le compartiment central figure, ciselé en forte saillie, un fronton mouluré en chapeau de gendarme supporté par deux colonnes doriques exécutées en ronde bosse.

L’intérieur du fronton présente en or ajouré le monogramme du facteur JBP pour Jean-Baptiste Platon. Entre les colonnes, une importante tête de lion est sculptée en haut relief sur une porte à sommet chantourné qui sert de cache entrée. Une tirette dissimulée dans l’encadrement de la serrure permet de déclencher l’ouverture du cache entrée. De part et d’autre de ce portique se trouvent deux panneaux ajourés de volutes et de rinceaux à décor « rocaille », chacun surmonté d’une couronne comtale.

De l’autre côté de la serrure, le mécanisme est dissimulé dans un boîtier de fer poli à contour latéral très chantourné. Au centre du boîtier, le faux fond à moulurations circulaires en forte saillie, est entouré d’une fine frise de petites volutes ajourées. Un travail identique à décor de rinceaux élégamment découpés et repercés, surmonte en légère saillie, le bas fortement mouluré de la têtière.

La serrure est bien complète de ses quatre tiges de fixation terminées de jolis écrous dessinant deux C ciselés en opposition. A l’intérieur du boîtier, le mécanisme à deux pênes.

Fer tourné ciselé, repercé, ajouré, légèrement gravé.

Hauteur : 9,5 cm – Longueur 17 cm

Provenance :

Vente Spitzer, 1893, n°891 (reproduit).

Référence :

La fidèle ouverture ou l’art du serrurier, Rouen 2007, n°208 du catalogue de l’exposition p. 202.

Serrure de coffre et sa clef. Travail de maîtrise de la fin du XVII^e siècle ou du début du XVIII^e siècle. 

Le palâtre, rectangulaire, présente d’un côté un faux fond en dôme mouluré, en forte saillie, entouré d’un ornement circulaire repercé d’une frise de losanges, de cœurs et de disques travaillés en entrelacs. De l’autre le mécanisme est protégé par un foncet entièrement repercé de cœurs entourés de volutes. Il est surmonté d’une forte mouluration en saillie qui soutient les boules d’une couronne comtale. Mécanisme à trois pênes dont les coqs sont terminés de fleurs de lys (accidentées). Le foncet est fixé par de curieux écrous à décor quadrilobé. Le canon de la serrure est foré d’un triangle. La clef, à tige triangulaire, forée, se termine par un large panneton à museau débordant et râteaux repercé de pertuis. Elle n’a jamais été terminée et laisse voir aujourd’hui une bossette en cylindre et un anneau de forte tôle plate sans décor (légers accidents et manques).

Travail de maîtrise français de la fin du XVII^e siècle ou du début du XVIII^e siècle. 

Longueur : 19 cm – Largeur : 11 cm – Epaisseur : 4,7 cm

Clef dite à lanterne. (Style du XVII^e siècle)

La clef dite à lanterne offre le décor très caractéristique et très codifié de ce type d’ouvrage : une petite tige forée à double forage très courte supportant un très fort panneton à peigne et à section en hache. Une bossette en parallélogramme allongé et aplati dont les côtés saillants et bombés sont sertis de plaques très finement ajourées. Au-dessus, un large tronc de cylindre garni à l’intérieur d’une rosace ajourée et ornée en saillie sur ses flancs de deux masques de grotesques ciselés en haut relief. Au-dessus, l’anneau à proprement parler, simulant une lanterne à section quadrangulaire composée d’un tronc de pyramide en tôle ajourée surmonté d’une large corniche moulurée sur laquelle repose un dôme à quatre faces bombées également ajouré de volutes.

L’ensemble est sommé d’un tout petit édicule à quatre colonnes qui était lui-même terminé ou d’un petit balustre ou d’une bélière (manquant). Une longue tige balustrée est disposée à l’intérieur de la lanterne.

Fer tourné, ciselé, repercé, ajouré, légèrement gravé.

XIX^e siècle.

Hauteur : 11,5 cm

Provenance :

Vente Spitzer, 1893, n°910 (reproduit).

Référence :

La fidèle ouverture ou l’art du serrurier, Rouen 2007, n°208 du catalogue de l’exposition p. 202.

La clé, Gabriele Mandel, Ars Mundi, 1992, n°136, p. 58.