Pendule en marbre blanc, le mouvement retenu par des colonnes tronconiques coiffées de motifs de style chinois à clochettes. Repose sur une base en marbre blanc ceint d’une galerie de bronze ajourée, décor de chaînettes.

Le cadran par LACAN à Paris surmonté d’un biscuit probablement rapporté.

Fin de l’époque Louis XVI. 

Hauteur : 41 cm – Largeur : 26 cm – Profondeur : 10 cm

Henri LACAN, reçu Maître horloger en 1771.

Important meuble à cartes en bois de placage marqueté en ailes de papillon et encadrement de frisage. Il ouvre par six tiroirs en façade. Pieds et montants à pans à cannelures. Plateau de marbre gris veiné blanc rapporté.

Estampille d’Antoine-Marie SCHMIDT. 

Epoque Louis XVI. 

Hauteur : 118 cm – Largeur : 128 cm – Profondeur : 57 cm

Antoine-Marie SCHMIDT, reçu Maître en 1784.

Paire de cassolettes en bronze ciselé doré formée d’un vase en céramique craquelée bleu lavande.

Début du XIX^e siècle. (la céramique postérieure)

Hauteur : 26 cm – Diamètre : 8 cm

Pendule dite des Maréchaux en bronze doré et ciselé, le socle de marbre rouge griotte. Cadran émaillé blanc à quantièmes (éclats) accosté de deux figures symbolisant la Lecture et l’Ecriture posant sur une base en bronze doré à décor de feuillages stylisés. A l’amortissement un aigle. Elle repose sur quatre pieds toupie.

Epoque Empire. (accidents et manques)

Hauteur : 54 cm – Largeur : 70 cm – Profondeur : 15 cm

Ce modèle à succès a fait l’objet de commandes pour de grandes résidences à partir de 1783. Pierre VERLET attribue la création du modèle au marchand mercier DAGUERRE à qui il appartenait et l’exécution au bronzier REMOND, d’après des figures réalisées par le sculpteur Simon-Louis BOIZOT pour la manufacture royale de SEVRES.
En 1788, DAGUERRE livre deux pendules de ce modèle pour le château de Saint-Cloud, l’une pour le Salon des Jeux , l’autre pour le Cabinet du Roi.
D’autres modèles sont conservés en France au Palais de l’Elysée, au Ministère des Affaires Etrangères, au château de Versailles, et à l’étranger dans les collections Royales d’Angleterre et de Suède et dans des musées comme le Victoria & Albert Museum , l’Ermitage et le Palais du Quirinal.

Bibliographie :

Vergoldete Bronzen I, Hans OTTOMEYER, P.295 , fig. 4.17.5

Paire de fauteuils en bois relaqué gris à dossier droit légèrement renversé, support d’accotoirs en balustre. Pieds antérieurs tronconiques ornés de grattoirs, postérieurs sabre.

Epoque début XIX^e siècle (renforts).

Porte la marque du château des Tuileries sous la Restauration. 

Hauteur : 81 cm – Largeur : 53 cm – Profondeur : 50 cm

Non venu.

Fauteuil en acajou et placage d’acajou, dossier cintré ajouré d’un motif à palmettes et fleurs de lotus. Les pieds antérieurs formés de griffons ailés.

Epoque Empire. 

Hauteur : 92,5 cm – Largeur : 65 cm – Profondeur : 45 cm

Provenance :

Jean-Jacques-Régis de Cambacérès, duc de Parme, archichancelier de l’Empire.

Bibliographie :

Voir le portrait de François Adrien Boieldieu par Louis Léopold Boilly conservé au Musée de Rouen. (fig. 1)

Voir des modèles approchant dans Le siège Français par Madeleine Jarry, édition Vilo. (planche 287 et 288) (fig. 2)

Voir le projet de fauteuils dessiné par Percier dans Les ébénistes du XIX^e siècle par Denise Ledoux-Lebard p. 283. (fig. 3)

Pour un dossier ajouré à motif de palmettes et fleurs de lotus identiques voir dans Les ébénistes du XIX^e siècle par Denise Ledoux-Lebard p. 56. et au château d’Arroué.

Voir également un fauteuil estampillé de Béllangé de la collection Beauvau-Craon reproduit dans les sièges par Guillaume Janneau p. 200, n°88.

Origine et provenance :

Document accompagnant le fauteuil

et photo prise lors de sa vente en 1916, 600 Francs or.

Joseph CHINARD (1756-1825)

L’Impératrice Joséphine

Buste petite nature en terre cuite, signé Chinard sur le devant de la base et porte l’inscription Chinard/L’institut et / membre de plusieurs académies au revers. Repose sur un socle carré en marbre vert-de-mer (usures et accidents, fêles au col, éclats ).

Hauteur : 29,5 cm – Largeur : 17 cm – Profondeur : 11 cm

Œuvre en rapport :

Joseph Chinard, Buste de l’impératrice Joséphine, 1805, terre cuite (Hauteur : 29,5 cm – Largeur : 17 cm – Profondeur : 11 cm), Cleveland Museum of Art, n°inv. 1994.125.

La première version du portrait de l’Impératrice Joséphine est sculptée par l’artiste lyonnais Joseph CHINARD à Milan en 1805, lors du couronnement de Napoléon en tant que roi d’Italie.

Bergère à dossier gondole, en acajou et placage d’acajou. Accotoirs pleins se terminant par des têtes de bélier en bronze doré, pieds sabre.

Époque Empire. (petits accidents)

Hauteur : 82 cm – Largeur : 58 cm – Profondeur : 43 cm

Pendule à la Lecture en bronze ciselé et doré, repose sur un socle rectangulaire en marbre vert-de- mer.

Epoque Empire. (accidents et manques)

Hauteur : 35 cm – Largeur : 35 cm – Profondeur : 14 cm

Colonne en granit rose d’Assouan, repose sur un socle mouluré à pans.

Hauteur : 110 cm – Largeur : 51,5 cm

Sellette en marbre blanc formée d’une colonne dorique. Repose sur un contre-socle rectangulaire à degrés, la partie supérieure à double gorge.

Hauteur : 92 cm – Diamètre : 31 cm

Vase Médicis en marbre blanc mouluré, repose sur un socle à degrés et un contre-socle circulaire à moulures (éclats et manques).

Hauteur : 104 cm – Diamètre : 57 cm

Paire de vases de forme Médicis en marbre blanc sculpté de godrons.

Fin du XVIII^e siècle, début du XIX^e siècle (éclats et manques).

Hauteur : 52 cm – Diamètre : 42 cm

Ensemble composite de la fin du XVIII^e siècle ou du début du XIX^e siècle se composant d’une colonne en marbre blanc à cannelure reposant sur un socle à pans et de deux vases Médicis en marbre blanc à décor frise de godrons (un des vases n’a plus son pied).

Hauteur de l’ensemble colonne et vase : 153,5 cm – Largeur : 48 cm – Profondeur : 48 cm

Paire de gaines en placage de marbre rouge royal. La façade ornée d’une moulure dans laquelle s’inscrit un cercle. La partie supérieure à triple bec de corbin et doucine.

Hauteur : 147 cm – Largeur : 51 cm – Profondeur : 37, 5 cm

Table bureau en acajou et placage d’acajou, le plateau mobile formant table à jeu. Elle ouvre par deux tiroirs latéraux, l’un comprenant les accessoires de l’écriture. Pieds tronconiques fuselés. Estampille de DESTER et JME.

Epoque Louis XVI. 

Hauteur : 75 cm – Largeur : 96 cm – Profondeur : 57,5 cm

Godeffroy DESTER, reçu Maître le 27 juillet 1774. 

Grand lustre cage en perles de verre enfilées et facettées à neuf bras de lumière à décor de plaquettes et rosaces facettées, fleurs polychromes en porcelaine de Saxe, appliqué de feuillage en tôle découpée.

Ancien travail italien à partir d’éléments du XVIIIe siècle (on joint des ampoules à filaments). Hauteur : 115 cm

Diamètre : 90 cm

Paire de fauteuils en bois naturel mouluré et sculpté relaqué blanc. Le dossier médaillon sculpté d’un nœud de rubans, descentes d’accotoirs sinueuses. Dés de raccordement appliqués de rosaces, pieds fuselés à cannelures rudentées.

Dans le goût des sièges de Louis Madeleine PLUVINET. 

Epoque Louis XVI (restaurations).

Hauteur : 94 cm – Largeur : 60 cm – Profondeur : 52 cm

non venu