CHINE

lot :

Ornement en forme de cong en néphrite brune à décor sculpté de masques de taotie et trigrammes bagua.

Époque néolithique, culture de Liangzhu, 3000-2000 av. J.C. 

Longueur : 7 cm – Diamètre : 2 cm

– Petit ornement en forme de cong en stéatite beige sculpté d’yeux de masques et trigrammes (égrenures).

Époque néolithique, culture de Liangzhu, 3000-2000 av. J.C. 

Hauteur : 7,3 cm – Largeur : 2 cm

– Petit buffle en néphrite brune, deux buffles couchés.

Début de l’époque MING (1368-1644).

– Petit cheval couché en néphrite, os de poulet gris et mauve, tenant dans sa gueule un lingzhi.

Début de l’époque MING (1368-1644).

Longueur : 4 cm

Masque ovale en argent repoussé 2^e titre.

Travail étranger.

CHINE

Lot :

– Ensemble comprenant trois chevaux dont un accidenté en néphrite brun et vert, un bouc couché en néphrite et une chimère en agate macaroni brune (accidents).

Époque MING (1368-1644). 

Longueurs : de 4 à 5,5 cm

– Petit lave-pinceaux en néphrite brune et céladon à décor sculpté d’un chilong.

Époque MING  (1368-1644). 

Diamètre : 6 cm

– Bague d’archer et bracelet en néphrite brun et gris (restauration au bracelet).

Époque néolithique. 

Diamètres : 3 et 8 cm

– Bracelet composé de perles et tubes en agate et néphrite brune (égrenures).

Époque néolithique.

CHINE

Pierre de rêve de forme rectangulaire laissant imaginer des montagnes. Porte une signature en haut au milieu.

21,5 x 17 cm

Provenant de l’exposition Pierres de Rêve à la galerie Arts d’Asie, rue de Beaune de mai 1972.

CHINE

Cong en néphrite beige à décor sculpté de trigrammes et spirales (égrenures).

Époque néolithique, culture de Liangzhu, 3000-2000 av. J.C. 

Hauteur : 7 cm

Socle en bois.

INDE

Petit groupe en stéatite grise, Ganesh debout dansant.

XVIII^e-XIX^e siècles.

9,5 x 6,5 cm

On joint un élément en terre cuite émaillée brune en forme de personnage.

Thaïlande, Sawankalok, XV^e siècle. 

Hauteur : 10 cm

IRAN, KADJAR

Plumier en papier mâché, peint et laqué à décor polychrome et or sur fond noir d’oiseaux et motifs floraux. L’intérieur à décor floral sur fond vert ou bleu nuit.

Époque de la fin du XVIII^e, début du XIX^e siècle (quelques usures et manques).

Hauteur : 6,2 cm – Largeur : 28 cm – Profondeur : 6 cm

Bronze du LOURISTAN

Lot de onze pièces comprenant deux socles de bouteille en bronze, ornés de deux épingles surmontés d’un cheval.

Hauteurs : 12,5 et 13 cm

– Un bracelet ouvert, aux extrémités des oiseaux stylisés – Une masse d’arme ornée de deux visages.

Hauteur : 9 cm

– Une épingle ornée d’une tête d’animal.

Longueur : 14 cm

– Sept épingles, l’une ornée de deux têtes de bouquetins affrontés, deux simulant des masses d’arme, l’une surmontée d’une sphère, deux de motifs stylisés.

L’ensemble repose sur un présentoir sous cage de verre.

Paire de pots à feu en pierre sculptée à décor de coquilles stylisées et guirlande florale.

Hauteur : 86 cm – Largeur : 33 cm

Paire de vases en pierre sculptée de motifs floraux et godrons. Repose sur une colonne.

Hauteur : 156 cm – Diamètre : 50 cm

Fontaine en pierre sculptée, le bassin sculpté de larges godrons, repose sur deux socles cylindriques  (accidents, manques).

Hauteur : 81 cm – Largeur : 81 cm

Profondeur : 56 cm

Paire de grandes plaques en cuivre émaillé polychrome de forme ronde de la série des Césars, l’un représentant Claude à cheval, la seconde Domitien à cheval.

Contre émail foncé.

Attribuée à Noël II Laudin (1657-1727).

XVII^e siècle (quelques accidents).

Dimension : 20,5 cm

Les statues équestres antiques tout comme les groupes sculptés ont inspiré les émailleurs limousins dès le XVI^e siècle. Le caractère lyrique et mennonite de ces plaques en est évident. C’est dans l’œuvre de Tempesta qui connaît un vif succès au début du XVII^e siècle en France qu’il faut rechercher l’origine du décor de nos plaques. Il convient de les attribuer à Noël II Laudin (1657-1727).

Une série complète de douze plaques figurant les Césars équestres d’après Tempesta figurait dans la vente Ducatel de 1890 (N°189 vente des 19/21 avril de 1890).

On relève également douze plaques circulaires bombées et polychromées sur fond violacé avec rehauts d’or dont une figure au musée de l’Évêché à Limoges représentant Auguste à cheval.

Il faut également noter que des médaillons inspirés directement de ceux que nous présentons mais avec un décor polychrome plus contrasté sur fond également Urbain furent exécutés plus tardivement dans un diamètre de 27 cm. Ces pièces retracent fidèlement les gravures de Tempesta avec une polychromie accentuée sur un fond de paysage Urbain.

Vente New York, 18/6/97, n°47 Gall. Othon.

Vente Tajan, 14/11/78 III César /Caligula.

Vente Christies, New York, 8/01/990, n°36 Domitien.

Vente Fraysse et Associés, lot 183 du 10/12/2015 adjugé 14 500 euros.

Important crucifix avec Christ vivant en ivoire sculpté et croix en palissandre.

Tête levée vers le ciel, bouche entrouverte laissant apparaître la langue et la dentition, chevelure avec raie médiane tombant sur les épaules en mèches ondulées, barbe bifide ; réseau veineux apparent sur les bras et les pieds ; périzonium laissant la jambe droite découverte avec chute latérale ondulée ; jambes parallèles avec la gauche légèrement fléchie  et pieds juxtaposés. Signature gravée sous le pied droit P. CRVPVOLLE.F. Fixations en fer forgé au dos avec platines en forme de cœur.

Dieppe, Pierre Cruppevolle (1725-1806), deuxième moitié du XVIII^e siècle. (petites traces de colle)

Christ, Hauteur : 74 cm – Largeur : 48 cm

Croix, Hauteur : 118 cm – Largeur : 80   cm

Ce Christ aurait été offert par Napoléon lors du remariage de sa sœur Pauline au Prince Borghèse.

Mariée en première noce au Général Leclerc, ce dernier meurt de la fièvre jaune en 1802. Napoléon la remarie le 28 août 1803 au Prince Camille Borghèse.

Les Cruppevolle sont une famille d’ivoiriers dieppois qui ont exercé durant tout le XVIIIe siècle et durant le siècle suivant pour le dernier d’entre eux. L’imposant Christ présenté ici est de la main du fils du fondateur de la famille qui portait le même prénom que son père actif de 1706 à 1740. C’est à ce Pierre Cruppevolle Fils que l’on doit attribuer le célèbre Crucifix dit «de La Rochefoucauld» conservé au trésor de la cathédrale de Rouen, d’une taille comparable, qui aurait été offert à Mgr Dominique de La Rochefoucauld, archevêque de Rouen à partir de 1759 (fig.1). On peut observer en effet de grandes similitudes entre ces deux grands Christ tant dans l’attitude générale avec la tête levée vers le ciel et les jambes parallèles que le traitement du périzonium et sa chute aux fortes ondulations.

Bibliographie :

La vie du Christ, Les Cahiers de l’ivoire du Château-Musée de Dieppe, N°4, 2008.

Paire de consoles d’applique en bois sculpté et doré à décor de têtes de mascaron et rinceaux feuillagés.

En partie d’époque Régence. 

Hauteur : 31 cm – Largeur : 25 cm – Profondeur : 14 cm

Sphère armillaire en acier. 

Hauteur : 61 cm – Diamètre : 34 cm

Guéridon en métal, le fût central entièrement escamotable. Plateau amovible de forme circulaire en laque noir probablement du Japon à décor or d’oies dans un paysage, repose sur trois pieds.

Fin XIX^e siècle. 

Hauteur : 68 cm – Diamètre : 30 cm

Branche de corail (accidents et manques). Sur un socle de bois.

Poids : 81,49 g

Spécimen en corallium spp n’est pas soumis à la réglementation française (CE) car corail non prélevé sur les côtes françaises. De ce fait, ce spécimen n’est pas soumis au régime d’interdiction du code de l’environnement français. En revanche, pour une sortie de l’UE, un CITES de ré-export sera nécessaire, celui-ci étant à la charge du futur acquéreur.

Deux cartons à courrier.

XVIII^e siècle.

Deux étuis à lunettes en galuchat.

Fin du XVIII^e siècle, début du XIX^e siècle.

Maquette pour une villa en terre cuite. Œuvre du Grand Tour.

XIX^e siècle.

Hauteur : 44 cm – Largeur : 34 cm – Profondeur : 37 cm