Auguste BROUET (1872-1941)

Les Blessés – Dans la Baraque (deux exemplaires) – Les Patates – Départ des émigrants – Le Brasero (deux exemplaires) – Boucherie ambulante – Les Poilus et autres sujets

11,5 x 19, 5 cm – 14 x 29, 5 cm

Pointe sèche, épreuves signées légèrement jaunies, rousseurs, petites marges.

Ensemble de dix-huit planches.

Auguste BROUET (1872-1941)

Danseuse au portant (six épreuves) – Danseuse debout (quatre exemplaires) – La Ballerine (trois exemplaires) – L’ Habilleuse (cinq exemplaires) – Le Maquillage

14,5 x 11, 2 cm – 14,5 x 8,2 cm – 18 x 12,5 cm – 14,5 x 19, 7 cm – 13,8 x 9 cm

Pointe sèche, gravures signées (hormis une) sur différents papiers. Quelques rousseurs, petites marges.

Ensemble de dix-neuf planches.

Eugène LAERMANS (1864-1940)

Testa di Vecchio – Paysans, l’Eglise – Pan – Crépuscule – Les Pins – Le Soir – Les Récoltes – La Grève – La Terre – Paysage – Maternité…

Réunion de plusieurs sujets.

De 11 x 9 cm à 29,2 x 19 cm

Eau-forte, épreuves signées, nombreuses mouillures, fortes taches d’humidité, oxydations, quelques unes insolées.

Ensemble d’environ vingt-neuf planches en deux cartons.

Giovanni FATTORI (1825- 1908) et autres artistes

Divers sujets : Cheval sans selle – Cheval sellé – Soldat et mulet – Bateau de pêche et barque – Paysan et sa femme rentrant des champs… 

20 x 19 cm – 19 x 11 cm – 11 x 19 cm

Gravures à l’eau-forte, rousseurs.

Avec :

Carmelo FANTAUZZO

Femme attablée – Portrait de femme – Portraits d’enfants – Porteuse d’eau – Jeune femme au chapeau …

Environ 10 x 6 cm – 7 x 4 cm – 13 x 9, 5 cm

Eaux-fortes, la plupart sont signées, légèrement jaunies, rousseurs, petites marges, dix-sept planches.

BARBASAN

A las ombra del Rey Sisebuto, Tolède 87 

17,5 x 12, 4 cm

Puerta de Carmelitas Tolède 13 Sept. 87

Deux dessins à la mine de plomb signés.

19 x 14 cm

Rousseurs.

J. GABRIEL

Lagune à Venise – En Normandie – Marseille

Environ 7 x 11 cm

Pointe sèche, trois planches signées.

On joint :

Scène mythologique

De forme ronde.

14 x 14 cm

Angles collés, accidentés, manques à l’un.

Ensemble d’environ trente-trois planches.

Aimé-EdmondDALLEMAGNE (1882-1971)

Rue de Montargis – Entrée de village à Visquelles (Aine) – Eglise Saint Aubin à Escrouville – Cour du Halage à Rouen – Rue Damiette à Rouen – Tour St Laurent à Rouen – Rue de la Beaudraine à Vitré – Cloître Ste Trophime à Arles – Tour de l’horloge à Dinan – Château de Gosselin. Vers 1906. Environ 20 x 16 cm – 30 x 58 cm – 36 x 75 cm – 58 x 27 cm

Eau-forte imprimées en bistre.

Epreuves signées et numérotées, légèrement jaunies. Nombreuses rousseurs, bonnes marges. Ensemble de dix planches.

Franck BRANGWYN (1867-1956)

Les Enfourneurs de briques – Mine de charbon – Vieilles – Déchargeurs de briques à Gand – Chantier naval à Venise – L’étal du boucher – Chemin de croix (Via Dolorosa)

52 x 66 cm – 61 x 49 cm – 48 x 53 cm – 58 x 68 cm – 49 x 70 cm – 47 x 49 cm – 30 x 94 cm

Eau-forte, impression en brun.

Epreuves signées, rousseurs éparses, grandes marges. Ensemble de sept planches.

Table bureau en bois naturel ouvrant par deux tiroirs, pieds cambrés, dessus de basane, style Louis XV, vers 1940. On joint une vitrine d’exposition en métal et verre.

Petit meuble deux corps en placage d’acajou flammé. Il ouvre par quatre portes. XIXe siècle (accidents et manques). Hauteur : 110 cm – Largeur : 55,5 cm – Profondeur : 41 cm

Coiffeuse d’homme en acajou et placage d’acajou, le plateau mobile découvre une plaque de marbre blanc (cassée). Trois tiroirs en ceinture. Pieds tronconiques se terminant par des roulettes. Epoque Louis XVI (accidents, il manque deux roulettes). Hauteur : 76 cm – Largeur : 89 cm – Profondeur : 54 cm

Grand lustre à pampilles, cristaux et coupelles en cristal et verre à quinze bras de lumières sur deux rangs. Travail de Bagues des années 1940. Hauteur : 120 – Diamètre : 90 cm.

Fauteuil de bureau en acajou et placage d’acajou. Assise et dossier en cuir. Travail Anglais début XXème.  Hauteur : 78 cm – largeur : 55 cm – profondeur : 52 cm.

Pique-cierge et paire de flambeaux en dinanderie.

Lampe bouillote en bronze et tôle peinte. travail composite.

NICOLAS II(1825-1855). 15 roubles. 1897. (Fr. 159). Or. Très Beau.

Lampe bouillotte en bronze ciselé et doré à deux bras de lumière sur branche à enroulements. Le fût à cannelures reposant dans une cuvette. Abat-jour circulaire en tôle peinte.
Fin du XVIIIe siècle.
Hauteur : 56 cm – Diamètre : 32 cm

FELLETIN
« Verdure aux oiseaux »
Tapisserie.
Fin du XVIIe siècle, avec ses bordures en partie retissées au XIXe siècle.
Environ 295 x 275 cm

Rare et grande tapisserie « mille-fleurs » en laine et soie.
Sur un fond bleu foncé, les fleurs sont disposées en plants dans un agencement dense et sans alignement vertical ou horizontal ; on reconnaît des iris, des œillets, des narcisses, des campanules, des mufliers, des pensées, des pavots, des chardons, des jacinthes, des marguerites, des lys, des pâquerettes, des fraisiers, un rosier et un trèfle ; cette verdure est animée d’un perroquet en haut à gauche mangeant un fruit et d’un lapin au premier plan.
Flandres, premier quart du XVIe siècle.
Hauteur : 225 cm – Largeur : 150 cm
Semble avoir conservée sa hauteur mais a été coupée à gauche et à droite, quelques restaurations notamment aux angles de la partie inférieure, trace de pliure centrale).
Les tapisseries « mille-fleurs » semblent avoir été particulièrement appréciées par la clientèle française à la fin du Moyen Age et au début de la Renaissance en raison vraisemblablement de la modicité de leur prix. La disposition des fleurs et un répertoire botanique constant rattachent cette tapisserie à une production assez large qui illustre parfois des scènes de cour comme la tenture de la Vie Seigneuriale conservée au musée de Cluny (CL 2178 à 2183). Les marchands de tapisserie faisaient eux-mêmes reproduire les cartons ou certains éléments qu’ils possédaient ; la dispersion ainsi de ces modèles parmi les ateliers de tissage œuvrant pour eux explique la difficulté à cerner avec précision un lieu de production. On s’accorde à reconnaître une origine flamande à ces tapisseries sans pouvoir identifier un centre particulier.

Bibliographie :
F. Joubert, La tapisserie médiévale, Musée du Moyen Age – Thermes de Cluny, Paris, 2002, pp 104 à 121.

Tenture murale formée d’un tissu imprimé à décor de la vie d’Alexandre.
Travail chinois, copie des tapisseries du XVIIe siècle.
Hauteur : 185 cm – Largeur : 268 cm

AUBUSSON (dans le goût de)
Tapis à fond clair et fond saumon, au centre un bouquet fleuri dans un cartouche ovale. Bordure à décor de guirlandes de roses.
Travail moderne de la fin du XXe siècle.
241 x 309 cm

Console, le piétement en fer forgé mouvementé sur lequel repose un plateau de marbre griotte rapporté.
En partie du XVIIIe siècle.
Hauteur : 81 cm – Largeur : 102 cm – Profondeur : 40 cm

Petite armoire en acajou et placage d’acajou ouvrant par deux portes à panneaux moulurés, les angles arrondis à cannelures rudentées. Munie de ses quatre étagères d’origine à tranche plaquée d’acajou. Serrure à crémone d’acier poli, entrée de serrure en bronze ciselé. Repose sur de petits pieds fuselés.
Epoque Louis XVI.
Hauteur : 142 cm – Largeur : 84 cm – Profondeur : 40 cm