Vingt entrées de serrure en fer forgé découpé.

XVIIe et XVIIIe siècles.

Légers accidents.

Hauteurs : de 11,5 à 21 cm

Quinze entrées de serrure différentes, de forme verticale et découpée.

XVIIe et XVIIIe siècles.

Hauteurs : de 11,5 cm à 21 cm

Sept entrées de serrure du XVI^e siècle au XVIII^e siècle et deux platines du XVIII^e siècle.

– Trois entrées de serrure de meubles du XVII^e siècle.

L’une figure un coq stylisé surmontant le cartouche de l’accueillage qui se prolonge en s’amincissant en queue d’animal ondulée.

Tôle de fer découpée.

France, XVII^e siècle ou début du XVIII^e siècle.

– La seconde offre un accueillage entouré de deux volutes prolongées haut et bas de feuilles de persil.

Tôle de fer découpée et légèrement gravée.

France, XVII^e siècle.

– La troisième à disposition horizontale présente un large accueillage flanqué de deux fleurs de lys prolongées de feuilles de persil.

Tôle de fer ajourée et découpée.

France.

Elégante ornementation du XVII^e siècle, mais sans doute exécutée au XIX^e siècle.

Dimensions (pour la plus grande) :

Largeur : 3,5 cm – Hauteur : 16 cm

– la quatrième est une petite entrée de meuble formée d’un ruban mouvementé, gravé de filets, qui dessine l’accueillage et l’enserre de volutes et de petites feuilles.

Fer découpé et gravé du XVII^e siècle.

– La cinquième présente un décor en fer repoussé d’accolades, entrelacs, fleurs de lys et palmettes, qui entoure l’accueillage logé dans un cartouche central.

Fer repoussé à fond sablé.

Modèle et ornementation classiques de la Renaissance française.

– La sixième, rectangulaire, est repoussée d’un décor de fleurons, d’arc, de cuirs et de feuillages entourant un médaillon ovale, souligné d’un rang de perles au centre duquel se trouve l’accueillage.

Ornementation dans l’esprit Renaissance mais d’exécution postérieure.

– La septième pièce, rectangulaire, est repoussée d’entrelacs de volutes feuillagées qui entourent l’accueillage d’un double pêne. Il s’agit en fait de la partie frontale d’une gâche faisant face à la serrure.

Fer repoussé de la fin du XVI^e siècle ou du début du XVII^e siècle.

Largeur : 16,5 cm – Hauteur : 9 cm

Seize entrées de serrure dont suite de huit entrées de serrures de la fin du XVIIe siècle.

A disposition verticale, de taille différente, elles présentent toutes une ornementation identique : un accueillage chanfreiné surmonté de part et d’autre par une volute plus ou moins ciselée de cannelures et terminée par une tête ou un bec de volatile stylisé. L’une d’entre elles, à disposition horizontale, figure une tête de volatile flanquée de ses deux ailes déployées.

Deux pièces, en pendant, sont des platines de poignées à décor identique aux autres entrées.

France.

Forte tôle de fer chanfreinée, découpée et ciselée.

XVIIe siècle ou début du XVIIIe siècle.

Dimensions (pour la plus haute entrée) :

Largeur : 2,5 cm – Hauteur : 18 cm

(Pour la plus haute entrée) : Largeur : 12 cm – Hauteur : 7 cm

Dix entrées de serrure en fer découpé.

Principalement du XVIIe siècle.

Hauteurs : de 11 cm à 17 cm

Cinq entrées de serrure en tôle de fer ajourée d’époque et de style gothique.

Pour trois d’entre elles en forme d’écu, deux rectangulaires, ajourées de motifs ogivaux entourant l’accueillage et pour quatre d’entre elles surmontées d’une couronne stylisée.

Celles qui ne comportent pas d’ornementation autour de l’accueillage sont du XIXe siècle.

Les autres sont de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe siècle.

Quelques accidents et manques.

Dimensions (pour la plus grande) : Largeur : 8 cm – Hauteur : 15 cm

Ensemble comprenant :

– Paire de gonds de porte ou de meule en bronze ciselé et doré du XVIIIe siècle.

Les deux parties sont à décor semblable de colonnes cannelées émergeant d’un culot feuillagé et sommées d’un petit balustre godronné et feuillagé. Les plaques de fixation marquées au pointeau et chiffrées respectivement d’un 5 et d’un A.

Travail français du XVIIIe siècle.

Hauteur : 27,5 cm pour les deux parties.

– Paire de fiches en bronze ciselé et doré de style Louis XVI.

Les corps, à peu près cylindriques, sont cannelés et rudentés de feuilles d’acanthe. Ils sont sommés de petits balustres feuillagés et godronnés.

Bronze ciselé et doré.

Joli modèle Louis XVI exécuté au XIXe siècle.

Hauteur : 29 cm

– Deux attaches de fixation de tiges d’espagnolette en bronze ciselé et doré de style Louis XVI.

L’une présente en son centre un tore rubané et lauré qui, prolongé d’un axe fileté, assurait la fixation de la tige de l’espagnolette. Ce tore est flanqué de deux éléments ciselés en forme de vases aux flancs recouverts de feuillages d’acanthe. Il a été gardé une partie de la tige de l’espagnolette cylindrique, en fer bleui.

Joli modèle d’attache de style Louis XVI.

Travail parisien de la fin du XIXe siècle.

Diamètre : 6,5 cm – Hauteur : 31 cm

L’autre offre un très riche décor ciselé de rameaux feuillagés et fleuris s’enroulant autour des tiges enrichi de rangs de perles, de frises de rais de cœur et de rosettes et terminé à chaque extrémité par une collerette de feuilles asymétriques.

L’anneau de fixation lui-même est ciselé en fort relief de fleurs, de boutons et de feuillages.

Très beau modèle créé pour le Palais de Versailles et superbement ciselé de la fin du XIXe siècle.

Diamètre : 6,5 cm – Hauteur : 31 cm

Trois paires de fiches de porte en bronze doré.

Chaque élément, cylindrique, surmonté d’un culot conique et mouluré.

Bronze tourné et doré.

France. XVIIIe siècle.

Marquées 22, 24 et 28.

Longueurs : 34,1 cm et 34,3 cm

Ensemble de targettes et gâches en bronze doré d’époque et de style Louis XVI comprenant :

– Targette et gâche sont de forme identique à platines terminées en chapeau de gendarme et encadrées de rais-de-cœur ciselés en fort relief. Au centre, en légère saillie, la cage simple, encadrée d’une baguette, qui accueille le pêne large et plat. Les deux boutons du pêne (dont un factice) sont en forme de crosses fortement cannelées ciselées d’un fleuron et de perles.

Bronze ciselé et doré de style Louis XVI.

Travail du XIXe siècle pour une pièce et la deuxième postérieure.

Largeur totale : 16 cm – Hauteur : 18,5 cm

– Deux gâches de style Louis XVI en bronze ciselé et doré.

La longue platine terminée en chapeau de gendarme est encadrée de frises de rais de cœur qui enserrent un triple entrecroisement de rameaux de laurier liés de rubans. Au centre, la cage, légèrement en saillie, est ciselée d’un visage féminin entouré de draperies.

Le bouton du pêne en forme de crosse est ciselé de deux profonds canaux et orné de perles et d’un fleuron.

Bronze ciselé et doré.

Réplique du XIXe siècle d’un beau modèle Louis XVI utilisé à Versailles.

Largeur : 8,5 cm pour l’une – Hauteur : 23,5 cm

– Belle targette au chiffre de la Reine Marie-Antoinette en bronze ciselé et doré de la fin du XIXe siècle et une gâche à décor en suite.

Elle présente une haute platine terminée en chapeau de gendarme sommé de feuilles et graines. Chaque partie de la platine porte un riche décor de fleurons, rameaux chargés de fruits, culots et fleur de tournesol.

La cage centrale en saillie est bordée de frise de rais de cœur et offre au centre le chiffre de la Reine Marie-Antoinette dans un cartouche entouré de perles.

La prise du pêne en forme de borne est ciselée de rosace, fleuron et rangs de perles, et présente un décor ciselé en suite de fleurons et de fruits.

Le pêne porte la marque ST.

Bronze très finement ciselé à la fin du XIXe siècle ou au début du XXe siècle. (Sterlin).

Largeur : 17 cm – Hauteur : 25 cm

Paire d’importantes targettes de bronze ciselé et doré se faisant pendant.

Les platines à disposition asymétriques présentent un cartouche central, octogonal, posé sur deux carquois dissemblables. Le cartouche est surmonté d’un pot à feu sommé de flammes, supporté par deux volutes ciselées de feuillages et terminé par une ornementation de fleurons feuillagés soutenus par des consoles de feuillages, enserrant un jeu de guirlandes et culs-de-lampe.

Le pêne est orné de deux petits fleurons ciselés en léger relief de part et d’autre d’un encadrement mouluré à l’intérieur sablé. Les étriers moulurés. Les boutons balustrés sont gravés d’une petite frise de feuilles d’eau.

Bronze fondu, ciselé, ajouré, gravé et doré.

Epoque Louis XVI.

Travail français de grande qualité tant d’ornementation que d’exécution.

Une des deux targettes est d’une exécution postérieure au XVIIIe siècle.

Celle qui est d’origine présente quelques anciennes restaurations et cassure.

Largeur : 14 cm – Hauteur : 19 cm

Deux belles targettes et leurs contreparties en bronze ciselé et doré de style Louis XVI.

La première targette et gâche présentent un décor identique composé d’une longue platine sur laquelle s’appuie un boîtier servant de guide au pêne, prolongé d’un long bouton. Les deux parties des platines symétriques, en rectangle allongé, sont ciselées en léger relief de culots et de fleurons feuillagés.

Elles sont sommées d’un petit chapeau de gendarme enrichi de feuilles et de fruits. Elles sont flanquées à leurs bases de chutes de laurier.

Les boîtiers également rectangulaires mais horizontaux sont flanqués de rameaux de laurier noués de rubans et ornés en façade d’un bel ornement feuillagé ciselé sur fond sablé.

Ils sont prolongés de part et d’autre par deux boutons, plats, ciselés en fort relief d’une chute de laurier et terminés par une petite crosse ciselée de cannelures et d’un rang de perles.

Le bouton fixé sur la contrepartie est factice.

Bronze fondu ciselé et doré.

Riche et élégant travail de belle ciselure, réplique postérieure d’un des différents modèles utilisés au château de Versailles.

Fin du XIXe siècle.

Largeur : 23 cm – Hauteur : 25 / 26 cm

Cinq poignées d’espagnolette en bronze ciselé et doré de style ou d’époque Louis XV.

Deux d’entre elles sont des variantes très proches.

Bronze ciselé et doré de style Louis XV.

La troisième, à patine violonée, chargée de feuillages et repercée d’une chute de fleurons.

Bronze ciselé et doré d’époque Louis XV.

La quatrième de style Louis XVI, exécutée au XIXe siècle, se retrouve sur des huisseries de plusieurs appartements du château de Versailles.

Longueur : 19,8 cm – Largeur : 5,5 cm – Diamètre du bouton : 4,5 cm

La dernière, d’époque Louis XV, présente un joli décor rocaille pour la platine repercée et ciselée d’un enroulement de feuilles et de fruits ; principe que l’on retrouve pour l’ornementation du bouton bombé.

Bronze ciselé et doré.

Longueur : 21 cm – Largeur : 8 cm – Diamètre bouton : 4 cm

Sept poignées d’espagnolette.

Quatre poignées d’espagnolette en fer ajouré et ciselé du XIXe siècle.

– La première de forme violonée repercée d’entrelacs et de C affrontés. Le bouton circulaire très légèrement conique.

– La seconde, à platine figurant une lyre à contours géométriques. Le bouton circulaire, en bronze ciselé, est sommé d’un ornement conique figurant une couronne de feuilles de laurier (ou d’olivier) centrée d’un semis de graines.

– La troisième, violonée, présente une platine largement ajourée ornée d’une étoile et d’un petit losange de bronze. Le bouton simplement tourné.

– La quatrième offre une platine ajourée d’un médaillon rond ciselé en très léger relief de quatre feuilles d’acanthe et d’un rang de perles. Il est prolongé par un chapelet d’entrelacs ovales. La base de la poignée à moulurations terminées de denticules. Le bouton tourné de moulurations concentriques.

Fer tourné, découpé, ajouré, ciselé et bronze ciselé.

Travail français du début du XIXe siècle.

– La cinquième, complète de sa prise, présente une platine violonée, ajourée et ciselée de C affrontés, de volutes et d’un cœur feuillagé. La poignée, ronde et bombée est ciselée de C alternés de rameaux feuillus en léger relief. Réplique du XIXe siècle d’un modèle du début du XVIIIe siècle en fonte ciselée.

– La sixième, sans prise, présente aussi une platine violonée ajourée d’une palmette lambrequinée qui est successivement surmontée de fleurons ciselés en opposition et d’une large palmette feuillagée.

Joli travail français du début du XVIIIe siècle, époque de la Régence.

– Et la dernière, sans sa prise, également violonée est ajourée de fleurons et d’un losange dans un encadrement de moulures feuillagées qui s’appuie sur un culot de feuillage.

Fonte de fer ajouré et ciselée.

Travail français du début du XVIIIe siècle.

Dimensions pour les plus grandes :

Longueur : 31 cm – Largeur : 6 cm

Deux platines de targettes du XVIe siècle.

– La première figure en partie haute le chiffre d’Henri IV au H couronné dans un encadrement de volutes moulurées, surmonté de culot et palmette.

En partie basse, il offre le chiffre de Marie de Médicis dans un encadrement identique. Les picolets sont ciselés d’une frise de postes.

Fer repoussé et ciselé.

XVIe siècle.

Il manque le pêne.

– La seconde figure le H royal garni d’un chapelet de perles et d’olives ainsi que d’une palmette.

Les parties supérieure et inférieure de la platine en demi-cintre sont repoussées d’une fontaine jaillissante et d’un personnage aux deux épées symbolisant la Justice.

Fer repoussé.

Vers 1550-1560.

Largeur : 6 cm – Hauteur : 19 cm

On joint deux targettes de fer repoussé d’époque Renaissance.

L’une présente une platine repercée et repoussée d’entrelacs géométriques surmontés d’un double fleuron feuillagé et gravé.

France, fin du XVIe siècle.

Usures et forte oxydation.

L’autre à platine asymétrique offre un décor d’un fleuron entouré de volutes cannelées et entrelacées et surmonté d’une palmette.

Tôle de fer découpé et repoussé.

France.

Les deux pièces sont de la fin du XVIe siècle ou du début du XVIIe siècle.

Largeur : 8 cm – Hauteur : 14 cm

Deux belles targettes encloisonnées à décor similaire à l’antique.

– L’une est encloisonnée à décor à l’antique circa 1550.

La platine, en rectangle terminé par deux demi-cercles, est entourée d’un cadre à triple mouluration (manque les baguettes supérieure et inférieure) fixé en applique. Toute la surface de la platine est repoussée d’un décor présentant un cartouche encadré de deux filets enserrant un chapelet de perles et d’olives ainsi que de petites croix. Il est couronné en partie haute par une femme en buste soutenant deux épées flanquées de roues, elle-même surmontée d’une corbeille garnie. Le demi-cintre en partie basse figure une fontaine jaillissante flanquée de palmes. Le bouton, conique, est ciselé de godrons. (Cf les numéros 381 et 382 in Metman).

Fer et tôle de fer mouluré, ciselé, repoussé.

Epoque Renaissance.

Hauteur : 14,9 cm – Largeur : 6,8 cm

– L’autre est encloisonnée de l’époque de la Renaissance.

Modèle quasiment semblable au précédent à la seule exception du décor du cartouche central de la platine où, entre les filets, les perles et les olives sont remplacées par une frise d’entrelacs (ornementation du n° 381 in Metman).

Infime différence de dimensions.

Hauteur : 15 cm – Largeur : 6,8 cm

Très belle targette encloisonnée à décor à l’antique circa 1550.

La platine, rectangulaire, encadrée d’une triple mouluration fixée en applique, est repoussée sur toute sa surface d’un très riche décor de satyre, de nymphe, personnages à l’antique, tête de griffons et de chimères mêlés de rinceaux et de volutes entourant au centre l’épée en pal. Le bouton figure un buste de guerrier casqué, ciselé en ronde bosse.

Fer et tôle de fer mouluré ciselé, repoussé vers 1550.

Les petites moulures de l’encadrement, en haut et en bas ont été vraisemblablement remplacées comme le plus souvent puisque ces deux parties, prolongées de longues pointes servaient à fixer la targette dans la porte. Elles ont été le plus souvent détruites lors de la dépose ou perdues.

Hauteur : 14,9 – Largeur : 6,8 cm

Référence :

Voir Le Secq des Tournelles, pl. 159 et 160 ; Musée Grobet Labadie à Marseille …

Deux targettes de décor similaire aux armes des Montmorency, d’époque Renaissance.

– L’une à platine, chantournée, en forme de bouclier est repoussée d’un important H largement mouluré terminé de deux demi-cintres. Les deux demi-cintres présentent l’alérion des Montmorency sous un encadrement de frise de perles et d’olives. Les étriers sont ciselés d’une frise de chevrons. Le bouton en cône orné de godrons. Traces d’étamage au revers.

Fer forgé repoussé et ciselé circa 1550.

Hauteur : 13,2 cm – Largeur : 6,6 cm

– L’autre à platine, à décor symétrique, est repoussée en son milieu d’un H constitué par un jeu de trois petites moulures parallèles dessinant les contours de cette lettre.

De part et d’autre du H, la platine est terminée par un demi-cercle encadré d’olives et de perles alternées au centre duquel est repoussé un alérion.

Les picolets sont ciselés d’une frise de chevrons.

Le bouton, conique, est ciselé d’une corolle en fort relief surmontée d’un petit balustre. La platine est cassée en deux parties à la hauteur du pêne, mais sans manque au décor.

Très élégant travail de fer repoussé et ciselé aux pièces d’armes d’Anne de Montmorency.

Largeur : 7 cm – Hauteur : 26 cm

Référence :

Metmann, Le métal, n° 388 et 404.

Targette en fer repoussé au chiffre de Diane de Poitiers de l’époque de la Renaissance.

La platine est repoussée de cuirs dessinant un fort H surmonté aux deux extrémités d’un croissant dans un encadrement cintré orné d’un pointillé. Le bouton en cône godronné surmonté d’un petit ornement. Les étriers du pêne en tronc de pyramide.

Le H et les croissants peuvent s’appliquer indifféremment à Henri II comme à Diane de Poitiers. Semble provenir du Château d’Anet, demeure de la Grande Sénéchale, où l’ensemble de la décoration mêle ses propres chiffres à ceux de son royal amant.

Hauteur : 13,1 cm – Longueur : 6,9 cm        

Référence :

Pour un modèle quasi identique CRMH : Les targettes volume 1, pl 23

Targette de fer repoussé, ornée de deux monogrammes, époque Renaissance.

La platine repoussée de monogrammes entremêlés, l’un et l’autre flanqués de volutes et surmontés d’une palmette. Le pêne manque.

Fer et tôle de fer, forgé, repoussé et repercé.

France, fin du XVI^e siècle.

Hauteur : 15,9 cm – Largeur : 5,5 cm

Référence :

Un modèle identique Metmann n° 679.

Targette monogrammée en fer repercé, gravé et ciselé du XVII^e siècle.

La platine en forme de navette terminée haut et bas par deux larges fleurons gravés de feuillages. La partie ovale est repercée de deux monogrammes figurant les lettres MVT entremêlées. Forts étriers striés et important bouton en sphère aplatie surmontée d’un téton.

Travail français du XVII^e au monogramme non identifié.

Accident (calamine) et usure sur la surface de la platine.

Hauteur : 16,5 cm – Largeur : 5,2 cm

Référence :

Un modèle semblable dans la collection Le Secq des Tournelles (Metmann n° 622).