Sucrier couvert en argent I^er titre à deux anses formées de volutes, à décor gravé de vaguelettes, coquilles stylisées, volutes. Repose sur un piétement rocaille. La prise du couvercle ornée d’un branchage fleuri (chocs).

Travail de la Maison CARDEILHAC à Paris.

Poids : 669,21 g

On joint un couvercle en argent I^er titre, la prise sommée d’un palmier stylisé.

Travail provincial, 1809-1819.

Poids : 91,35 g

Trois petits plats ronds ou assiette en argent uni I^er titre. La bordure gravée de rinceaux feuillagés et fleurs.

Travail français.

Diamètre : 20 cm environ – Poids : 1 838,92 g

Plat creux en argent I^er titre à six contours et filets. Gravé sur l’aile d’armoiries sommées d’une couronne comtale.

Travail de la Maison ODIOT à Paris.

Diamètre : 32 cm – Poids : 853,97 g

Plat creux en argent I^er titre à cinq contours et filets. Gravé sur l’aile d’armoiries doubles sommées d’une couronne de comte.

Travail français.

Diamètre : 32 cm – Poids : 920,04 g

Deux plats pouvant former paire en argent I^er titre de forme demi-creux à cinq contours. Monogrammés sur l’aile en lettre gothique AH.

Travail de la Maison PIAULT LINZLER.

Diamètre : 32 cm – Poids : 1 634,44 g

Ensemble de trois plats en argent I^er titre, modèle à filets et cinq contours. L’aile gravée d’un monogramme en lettre gothique DC. Le dernier monogrammé VG.

Travail français.

Diamètre : 33 cm – Poids : 2 662,6 g

Huilier-vinaigrier et ses bouchons en argent de forme barquette accompagné de deux carafes en verre taillé.

Généralité de Paris, 1774-1781.

Poids : 662,91 g

Paire de rafraîchissoirs à verres en métal argenté.

Hauteur : 11 cm

Plat en argent à six contours et filets.

Poinçon du Maître Orfèvre attribué au Maître Orfèvre Jacques Louis MARTEAU.

Paris, 1776.

Diamètre : 35,5 cm – Poids : 1 256,5 g

Plat en argent de forme ronde à cinq contours gravé d’armoiries.

Poinçon du Maître Orfèvre difficilement lisible.

Paris, 1766. Repoinçonné au XIXe siècle.

Diamètre : 29,5 cm – Poids : 757,58 g

Plat en argent I^er titre de forme ronde à cinq contours et filets (chocs, usures).

Poinçon du Maître Orfèvre Alexandre de ROUSSY, reçu Maître en 1758.

Paris, 1782,

Diamètre : 28,5 cm – Poids : 706,57 g

Plateau de sucrier de forme ovale à deux anses en argent uni à bordure de filets forts. La partie centrale formée d’une cuvette et ombilic gravé de feuilles de laurier. Au centre des armoiries sommées d’une couronne de comte. Il repose sur quatre petits pieds patin à cannelures.

Paris, 1778. Poinçon du Maître Orfèvre Robert Joseph August, reçu Maître en 1757.

Longueur : 27 cm – Poids : 657,6 g

Sucrier en argent de forme ovale à deux anses gravées de guirlandes comme le corps. La base ornée de vagues, les pieds formés de fraisier. Le fretel garni d’un bouquet de fraises.

Marseille, 1790.

Poinçon du Maître Orfèvre Antoine BELLON, reçu en 1781.

Hauteur : 12,5 cm – Largeur aux anses : 18 cm – Poids : 467,22 g

Boules à savon et à éponge formant paire en métal plaqué de forme sphérique à mi-corps souligné d’un jonc et volutes. Le piédouche mouvementé. Le couvercle gravé d’armoiries sommées d’une couronne de marquis.

XVIII^e siècle.

Hauteur : 9,5 cm

Paire de pique-cierges en cristal de roche. La monture en métal plaqué, découpé et gravé de feuillage.

Probablement remontage dans le style du XVII^e siècle.

Hauteur : 48 cm        600 / 800 €88

Capezzale en cuivre doré, corail et émail. Le revers gravé de rinceaux avec au centre le monogramme MA couronné.  A l’Avers au centre en corail dans une réserve ovale à encadrement de raypns simulés, la Vierge couronnée par deux angelots surmontée de Dieu le Père bénissant. A ses pieds un croissant de lune. Dans un grand cadre à huit pans en bronze doré ciselé incrusté de corail, les alentours à décor de fleurons repercés, l’ensemble partiellement émaillé.

Atelier de TRAPANI, Sicile XVII^e siècle. (accidents et manques).

45,5 x 34 cm

Spécimen en corallium spp n’est pas soumis à la réglementation française (CE) car corail non prélevé sur les côtes françaises. De ce fait, ce spécimen n’est pas soumis au régime d’interdiction du code de l’environnement français. L’utilisation commerciale de ce spécimen est permise dans l’UE car la matière n’est pas brute mais travaillé sous forme de bijou. En revanche, pour une sortie de l’UE, un CITES de ré-export sera nécessaire, celui-ci étant à la charge du futur acquéreur

Coupe en jaspe brun veiné reposant sur un piédouche en argent I^er titre émaillé. Le pied ciselé orné de grenats cabochon et de godrons émaillés blanc. Le nœud orné de tors et plumes stylisées, la base d’oves en cabochons grenat, ronde cerclée de godrons émaillés blanc.

Epoque Napoléon III (fêle dans la coupe, usures, pas de trace de poinçon d’orfèvre).

D’après une étiquette sous le pied Donnée par Napoléon III.

Hauteur : 15,5 cm – Poids brut : 469,9 g

Provenance :

Vente Villa de Prangins sous le n° 297.

Rare montre offerte par le Tsar NICOLAS II à Marie-Ange FERIEL, actrice au théâtre impérial Michel de Saint-Pétersbourg, circa 1901.

Par Pavel BUHRÉ, Fournisseur de montres pour la Cour impériale de Russie.

Montre de poche savonnette pour dame, en or 583‰ (56 zolotniks), suspendue par deux chaînettes à une couronne impériale en or sertie de diamants taillés en rose, montée en broche.

Appliquée sur le couvercle principal d’une aigle impériale sertie de diamants taillés en rose et d’émail bleu, au centre un diamant plus important.

Cadran émaillé à chiffres romains, secondes en chiffres arabes.

Gravée à l’intérieur S. M. l’Empereur Nicolas II / à Mlle Fériel / Théâtre Michelet / 1898-1901».

Numérotée 52068.

Très bon état de conservation, mouvement vendu en l’état.

Fabrication suisse, circa 1901.

La couronne, probablement Saint-Pétersbourg, sans poinçon apparent.

Conservés dans leur écrin d’origine de la Maison PAVEL BUHRE, gainé de cuir rouge et appliqué de l’aigle impériale de Russie en métal doré (pour les présents offerts par le Cabinet de l’empereur Nicolas II).

Poids brut : 48,4 g

Hauteur totale : 10 cm – Diamètre de la montre : 3,4 cm

Provenance :

Présent offert par l’empereur NICOLAS II de RUSSIE à Mademoiselle Marie-Ange FERIEL, actrice française du théâtre impérial Michel de Saint-Pétersbourg, pour ses trois années d’activité (1898-1901).

Conservée depuis dans sa descendance.

Historique :

Le théâtre impérial MICHEL fut nommé en l’honneur du grand-duc MICHEL, fils puîné de PAUL I^er, dont le palais Michel se trouve à proximité et abrite aujourd’hui le Musée Russe de Saint-Pétersbourg. À partir des années 1870, le théâtre accueillit en permanence une troupe française, recevant alors son nom de Théâtre-Français.

Pièce de 5 roubles or ALEXANDRE III 1893.

Poids : 6,4 g

Sept pièces de 20 Francs or. Années 1851 – 1854 – 1859 – 1867 et 1868.

Poids : 44,92 g

Deux pièces de 20 Francs Belge or datées 1868 et 1877.

Poids : 12,89 g