Vitrine en acajou et placage d’acajou, les angles arrondis à cannelures, elle ouvre par deux portes vitrées, les côtés garnis de vitre. Crémone en acier. Elle repose sur des pieds tronconiques bagués de triglyphes. Les portes cerclées de bronzes perlés, corniche débordante. Époque Louis XVI. Hauteur: 207 cm – Largeur: 118 cm – Profondeur: 42 cm

Miroir en bois doré et sculpté à parties ajourées à décor de pampres et enroulements. Travail provençal, époque Louis XV. Hauteur: 125 cm – Largeur: 95 cm

Commode en placage de palissandre et de bois de rose à encadrement de filets en façade, médaillon au centre aux attributs de la Musique, galbée dans les deux sens sur trois côtés, elle présente deux tiroirs sans traverses. Pieds cambrés, plateau de marbre gris veiné à bec de corbin. Travail provincial de l’époque Louis XV (bronze en partie rapporté). Hauteur: 82 cm – Largeur: 99 cm – Profondeur: 51 cm

Deux miroirs à décor gravé de scènes bibliques dans des cadres en bois dorés sculptés de feuilles d’acanthe, palmes, sur fond de quadrillage. Italie, époque du XVIIIe siècle (restaurations, accidents et manques). Hauteur: 88 cm – Largeur: 58 cm

Travailleuse en acajou et placage d’acajou, repose sur des pieds cylindriques. Époque du milieu du XIXe siècle. Hauteur: 68 cm – Largeur: 42 cm – Profondeur: 38 cm

Grand meuble d’architecte, de forme rectangulaire en acajou et placage d’acajou. Il présente un plateau mobile permettant d’écrire debout reposant sur des colonnes tronconiques. La partie médiane ajourée permettant de recevoir des plans, cartes ou documents, la partie inférieure ouvrant par deux vantaux moulurés. Pieds fuselés (insolé). Première moitié du XIXe siècle. Hauteur: 108 cm – Largeur: 128 cm – Profondeur: 62 cm

Semainier en acajou et placage d’acajou, la ceinture en doucine. Plateau de granit. (très petits accidents) Époque Louis-Philippe

Bureau à cylindre en acajou et placage d’acajou. Il présente un cylindre surmonté de trois tiroirs. A l’intérieur, six tiroirs et casiers et un plateau mobile foncé de basane. Il présente trois tiroirs en ceinture. Pieds gaine tronconique. Plateau de granit noir de Belgique. Début du XIXe siècle (bronzes rapportés, accidents). Hauteur: 112 cm environ – Largeur: 128 cm environ – Profondeur: 65 cm environ

Pendule portique en marbre noir et blanc. Bronze ciselé et doré. A l’amortissement un aigle tenant un éclair dans ses serres. Le cadran signé Arnoux à Paris indiquant les heures, les quantièmes du mois et les jours du calendrier Révolutionnaire de Primitivi à décadi. Époque Révolutionnaire vers 1794 (accidents). Hauteur: 54 cm – Largeur: 39,5 cm – Profondeur: 12,5 cm ARNOUX, reçu maître à Paris en 1788

Paire de bergères en acajou et placage d’acajou à dossier carré, le piétement antérieur fuselé se terminant par des fleurs de lotus. Époque Empire

Mobilier de salle à manger, de style rustique comprenant: une table, six chaises et un buffet

Lustre de style hollandais en dinanderie à six bras de lumière. Montage à clavettes. Travail du XIXe siècle. Hauteur: 60 cm – Diamètre: 55 cm

Paire de bergères en bois naturel mouluré. Accotoirs sinueux, pieds cambrés. Style Louis XV

NON VENU
Commode en bois naturel, elle présente trois tiroirs en façade, les montants à cannelures, pieds gaine. Anneaux de tirage. Travail provincial de la fin du XVIIIe siècle ou du début du XIXe siècle

NON VENU
Semainier en placage de bois noirci formant secrétaire. Il présente sept tiroirs en façade, les côtés incurvés. Galerie de laiton ajouré et ornementation de bronze doré. Époque Napoléon III. Hauteur: 127 cm – Largeur: 55 cm – Profondeur: 37 cm

Buffet à deux corps en placage de bois de rose, marqueterie de fleurs, bois noirci et placage d’ébène. La partie supérieure à retrait ouvrant par deux portes vitrées et surmontées d’une corniche en chapeau de gendarme surmontée de pots à feu en laiton découpé, la partie inférieure présente deux portes à ressauts formée d’ovale marqueté de bouquets de fleurs. Époque Napoléon III

Très petit masque en terre cuite. IIe siècle. On joint: Chat en bronze patiné. Style Egypte (surmoulage) Une tête de femme égyptienne de profil en albâtre polychrome.

Masque en serpentine. Mexique (dans le goût de). On joint: Tête d’animal en terre cuite et deux têtes de personnages en terre cuite. Style antique.

Haut de couvercle de sarcophage. Il représente un homme coiffé de la lourde perruque dégageant les oreilles. Les paupières sont finement fardées. Calcaire et traces de polychromie (fragment, éclats). Égypte, époque Ptolémaïque. Hauteur: 47 cm – largeur: 38 cm – profondeur: 34 cm Provenance: Sur déclaration de notre vendeur, acquis auprès de Marianne MASPERO vers 1972. Muni de son certificat de libre de circulation.

Oushebti au nom du Héraut royal, Oudjahor, surnommé Psamétique-sa-Sekhmet. Il est momiforme, coiffé de la perruque tripartite, paré de la barbe postiche, et tient les instruments aratoires. Les jambes sont gravées de neuf lignes hiéroglyphiques (Chap. VI) avec le nom, le surnom basiliphore et la titulature (Supérieur des scribes de la grande prison, Héraut royal) inscrits lignes 1 et 3. Faïence siliceuse à glaçure verte. Égypte, Guizeh, Basse Époque, XXVIe dynastie, règne de Psamétique II. Hauteur: 18,2 cm Provenance: Collection Daniel Lander (1927 – 2013), acquis auprès de la Galerie Orient – Occident, avant 1975, Paris. Muni de son certificat de libre de circulation Bibliographie: J. & L. Aubert, Statuette égyptiennes, Paris, 1974, p. 224, fig. 138. La tombe de Oudjahor fut inventée au XIXe siècle à Ghizeh (tombe n° 102). Par des oushebti conservés à Berlin, on sait qu’il était le fils de Tachéret-Min, elle-même fille de la maîtresse de maison Neskhons. Lot revendu suite à la défaillance de l’acquéreur lors de la vente du 13 mars dernier